Drames et mélodrames ...1819 |
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ALBERTI Alcuna Allons ALTERKAN Amélie amis arrive aurait avez belle BENINI BETZI BONARDIN bonheur CAROLINE CÉCILE Célesta château cher chercher ciel Clémentine cœur Colonel COMMANDEUR COMTE conduite côté cour crois Czar D'ARBOIS D'ORVILLIERS DAHEN demande dernier devant dieu dire doit DOMINIQUE donne doute Duflos ÉBÉRARD ELISABETH enfant êtes fais femme fille fils fond force gardes haut heureux homme Hurtado IVAN j'ai jeune jour Justinio L'INSPECTEUR LAURENT loin Luce madame de St.-Pol mademoiselle main malheureux MARECHAL MARIA MARIE mère MICHEL Mme DE ST.-POL monde Monsieur Montalban mort n'ai ordres pardon parler passer pensée père personne peuple peut-être Pharès place porte POTOSKI pourrait pouvait premier présent prince qu'un quitter raison regarde rendre reste RIBALDI rien ROLAND s'il sais SCENE seigneur sera seul SEYMOUR Siripa sort STEPHANO théâtre THIBAULT trouve vais venir veux viens vient vivement voilà voix voyez vrai WILLIAMS yeux ZANETTA Zulmé
Popular passages
Page 1 - Celui qui met un frein à la fureur des flots Sait aussi des méchants arrêter les complots. Soumis avec respect à sa volonté sainte, Je crains Dieu, cher Abner, et n'ai point d'autre crainte Cependant je rends grâce au zèle officieux Qui sur tous mes périls vous fait ouvrir les yeux.
Page 8 - Le temps , le plus inexorable des souverains, a aussi son droit de grâce, et c'est lui qui inspire souvent aux rois le noble usage qu'ils font du plus bel attribut de la souveraineté.
Page 11 - Ivan ! quel mal t'avions-nous fait pour nous persécuter ainsi? MICHEL. Ivan , dites-vous? n'était-ce pas un riche boyard de la Livonie? PHÉDORA. Oui. MICHEL. Eh bien ! Madame, le Ciel l'a puni. Il gémit à son tour: comme vous , il est malheureux. Il l'est bien plus , sans doute, car il a mérité son sort, et n'a pas le droit de se plaindre. A quiconque a fait le mal , le mal doit advenir , T.
Page 37 - IVAN. .Oui. C'est moi qui , abusant du pouvoir dont j'étais revêtu, ai dépouillé son père, autrefois riche et puissant, de ses honneurs et de ses richesses; c'est moi qui les ai tous opprimés , plongés dans la misère et l'exil où ils languissent depuis seize ans; c'est moi qui suis la cause des affreux périls qu'elle court; et quand c'est par moi que ses jours sont en danger, elle".
Page 31 - Ivan. ELISABETH. Ivan! IVAN. Lui-même. J'étais , il ya dix-huit ans , l'un des principaux boyards de la Livonie. Mes immenses richesses me semblaient un titre suffisant pour n'éprouver jamais d'obstacles dans l'accomplissement de mes désirs. Dévoré d'ambition...
Page 36 - Tartares, détache son collier, et suspend sa croix sur la tète d'Ivan.) . . Malheureux! prosternez-vous devant ce signe révéré, et n'oubliez pas que, dans ce vaste empire, tout être placé sous sa protection est inviolable. ALTERKAN. C'est vrai. OURZAK. Elle a raison. (Les Tartares reculent et laissent tomber leurs armes.) T.
Page 20 - Un époux, ô mes parents ! ne m'aurait-il pas séparée de vous aussi ? Des dangers? il n'y en a point : les hivers de ce climat m'ont accoutumée à la rigueur des saisons, et mes courses dans nos landes à la fatigue d'une longue marche.
Page 23 - Ferme les portes , et donne-moi les clefs. S'il prenait fantaisie à ce méchant inspecteur de venir nous épier, que du moins il ne puisse pénétrer la nuit dans l'intérieur de notre habitation. MARIE. Madame la Comtesse a raison : c'est bien le moins que l'on ait la liberté de se plaindre chez soi , de gémir sur ses maux , et d'en maudire l'auteur à son aise. POTOSKI. Ne maudissons personne, Marie. MARIE , tout en parlant, a fermé les portes. Voilà les clefs , Madame. • POTOSKI.
Page 61 - C'est donc toi , misérable , qui es cause de l'accident arrivé à Elisabeth? ALTERKAN. Hein ? Qu'est-ce que tu me demandes , toi ? MICHEL. Sais-tu quel mal lui a fait ta présence? ALTERKAN. De quel droit viens-tu m'interroger? MICHEL. Du droit le plus sacré, le plus légitime; de celui qu'inspire le malheur. ALTERKAN. Et qui t'a dit queje n'y prends pas le même intérêt que toi?
Page 14 - Je te remercie, ma fille.... Ah ! je ne puis mieux comparer son doux parfum qu'à l'innocence , à la pureté de ton tme.