Cours de littérature ancienne et moderne, à l'usage des jeunes personnes, Volume 1 |
From inside the book
Results 1-5 of 17
Page 23
... tombe du haut « < d'un rocher , il entraînoit les esprits par la « force de son éloquence . » " Diomède , blessé , dit à son écuyer : Re- « tire - moi ce fer , et il revole au combat . > " " Ajax , le bouillant Ajax , s'écrie : Que le ...
... tombe du haut « < d'un rocher , il entraînoit les esprits par la « force de son éloquence . » " Diomède , blessé , dit à son écuyer : Re- « tire - moi ce fer , et il revole au combat . > " " Ajax , le bouillant Ajax , s'écrie : Que le ...
Page 58
... tombe sur les lèvres ; mais aussi , tel que je suis , je fais paître un troupeau de mille brebis dont je bois le lait délicieux . Dans l'été , en automne , dans la plus rigoureuse saison , j'ai toujours des fromages frais ; mes éclisses ...
... tombe sur les lèvres ; mais aussi , tel que je suis , je fais paître un troupeau de mille brebis dont je bois le lait délicieux . Dans l'été , en automne , dans la plus rigoureuse saison , j'ai toujours des fromages frais ; mes éclisses ...
Page 108
... tombe , du moins , soit ici notre ouvrage , « Et qu'à l'entour ces vers attestent nos hommages . « C'est moi qui fus Daphnis ; que ce gazon léger « Dans ces bois que j'ai : nois protége encor ma cendre : « De ces bois jusqu'aux cieux ma ...
... tombe , du moins , soit ici notre ouvrage , « Et qu'à l'entour ces vers attestent nos hommages . « C'est moi qui fus Daphnis ; que ce gazon léger « Dans ces bois que j'ai : nois protége encor ma cendre : « De ces bois jusqu'aux cieux ma ...
Page 121
... tombé dans l'oubli à Rome même dès le temps de Sénèque , c'est - à - dire , tout au plus cinquante ans après la mort de l'auteur . Les fables de Tome I. 6 Phèdre demeurèrent dans cet oubli jusqu'au seizième siècle , que DE LITTÉRATURE .
... tombé dans l'oubli à Rome même dès le temps de Sénèque , c'est - à - dire , tout au plus cinquante ans après la mort de l'auteur . Les fables de Tome I. 6 Phèdre demeurèrent dans cet oubli jusqu'au seizième siècle , que DE LITTÉRATURE .
Page 145
... tombé dans l'oubli malgré les services qu'il rendit à notre langue . Cependant lenflure espagnole et l'affectation italienne régnèrent encore long - temps en France . La Marianne de Tristan , dit L'Hermite , la Sophonisbe de Mairet ...
... tombé dans l'oubli malgré les services qu'il rendit à notre langue . Cependant lenflure espagnole et l'affectation italienne régnèrent encore long - temps en France . La Marianne de Tristan , dit L'Hermite , la Sophonisbe de Mairet ...
Common terms and phrases
admire Aristote arts ATHALIE Athènes avant J. C. avoient avoit beau beauté Boileau brillant caractère César chants charme cher CHOEUR Cicéron ciel cieux cœur comédie comique composa Corneille Daphnis déja Démosthènes Dieu Dieux doux écrit élégance éloquence enfans Eschyle Eschyne étoient étoit Euripide fable fils fleurs florissoit foible François Ier gaîté génie genre gloire goût grace Grecs guerre Héraclius héros heureux historien Homère hommes J'ai JOAS JOSABETH jour l'amour l'an de Rome l'art l'esprit l'histoire latin long-temps lyrique Madame main malheureux Marot MÉNALQUE mérite Molière mort l'an n'étoit naturel ouvrages par-tout paroît peint père peuple Phèdre Philoctète philosophe PHOCAS pièce Pierre Corneille Pindare Plaute pleurs poëme poésie poëte poëte tragique premier Pyrrhus qu'un Racan Racine rien Romains sang satire scène Seigneur sentimens sentiment seul siècle Sophocle sort style sublime succès sujet sur-tout talent tendre Térence théâtre Thomas Corneille tion tragédie traits versification Virgile Voltaire yeux
Popular passages
Page 195 - J'ose vous dire ici qu'en l'état où je suis Peut-être assez d'honneurs environnaient ma vie Pour ne pas souhaiter qu'elle me fût ravie, Ni qu'en me l'arrachant, un sévère destin, Si près de ma naissance, en eût marqué la fin. Tille d'Agamemnon, c'est moi qui la première, Seigneur, vous appelai de ce doux nom de père...
Page 191 - Avec lui dans la tombe elle s'est enfermée. Mais il me reste un fils. Vous saurez quelque jour, Madame, pour un fils jusqu'où va notre amour; Mais vous ne saurez pas, du moins je le souhaite, En quel trouble mortel son intérêt nous jette, Lorsque de tant de biens qui pouvaient nous flatter, C'est le seul qui nous reste, et qu'on veut nous l'ôter.
Page 219 - Mes gens à la science aspirent pour vous plaire, Et tous ne font rien moins que ce qu'ils ont à faire : Raisonner est l'emploi de toute ma maison, Et le raisonnement en bannit la raison.
Page 255 - MADAME cependant a passé du matin au soir, ainsi que l'herbe des champs. Le matin elle fleurissait ; avec quelles grâces, vous le savez : le soir, nous la vîmes séchée...
Page 232 - II lit au front de ceux qu'un vain luxe environne Que la Fortune vend ce qu'on croit qu'elle donne. Approche-t-il du but? quitte-t-il ce séjour ? Rien ne trouble sa fin : c'est le soir d'un beau jour.
Page 221 - C'est par là que Molière, illustrant ses écrits, Peut-être de son art eût remporté le prix, Si, moins ami du peuple, en ses doctes peintures, 11 n'eût point fait souvent grimacer ses figures, Quitté, pour le bouffon, l'agréable et le fin, Et sans honte à Térence allié Tabarin '. Dans ce sac ridicule où Scapin s'enveloppe 8, Je ne reconnais plus l'auteur du Misanthrope.
Page 219 - Elles veulent écrire et devenir auteurs. Nulle science n'est pour elles trop profonde, Et céans, beaucoup plus qu'en aucun lieu du monde : Les secrets les plus hauts s'y laissent concevoir, Et l'on sait tout chez moi, hors ce qu'il faut savoir. On y sait comment vont lune, étoile polaire, Vénus, Saturne et Mars, dont je n'ai point affaire...
Page 254 - Saint-Cloud de toutes parts ; on trouve tout consterné, excepté le cœur de cette princesse : partout on entend des cris : partout on voit la douleur et le désespoir, et l'image de la mort. Le Roi, la Reine, Monsieur, toute la cour, tout le peuple, tout est abattu, tout est désespéré ; et il me semble que je vois l'accomplissement de cette parole du prophète : ." Le roi pleurera, le prince sera désolé, et les mains tomberont au peuple de douleur et d'étonnement.
Page 209 - J'aime à voir comme vous l'instruisez. Enfin , Éliacin , vous avez su me plaire ; Vous n'êtes point sans doute un enfant ordinaire. Vous voyez , je suis reine et n'ai point d'héritier : Laissez là cet habit, quittez ce vil métier; Je veux vous faire part de toutes mes richesses; Essayez dès ce jour l'effet de mes promesses.
Page 195 - C'est moi qui, si longtemps le plaisir de vos yeux, Vous ai fait de ce nom remercier les Dieux, Et pour qui tant de fois prodiguant vos caresses Vous n'avez point du sang dédaigné les faiblesses.