 ... le devant de ma veste mouillé de mes larmes sans avoir senti que j'en répandais. Oh Monsieur, si j'avais jamais pu écrire le quart de ce que j'ai vu et senti sous cet arbre...  Œuvres - Page 209by Jean-Jacques Rousseau - 1827Full view - About this book
 | Jean-Jacques Rousseau - French literature - 1782 - 470 pages
...j'en répandois. Oh , Monfieur , fi j'avois jamais pu écrire le quart de ce que j'ai vu & fenti fous cet arbre , avec quelle clarté j'aurois fait voir toutes les contradictions du fyftême focial ; avec quelle force j'aurois expofé tous les abus de nos inftitutions ; avec quelle... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1782 - 476 pages
...j'en répandois. Oh , Monfieur , fi j'avois jamais pu écrire le quart de ce que j'ai vu & fenti fous cet arbre , avec quelle clarté j'aurois fait voir toutes les contradictions du fyftême focial ; avec quelle force j'aurois expofé tous les abus de nos inftitutions ; avec quelle... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 732 pages
...larmes , sans avoir senti que j'en répandois. O monsieur , si j'avois jamais pu écrire le quart de ee que j'ai vu et senti sous cet arbre , avec quelle...système social ; avec quelle force j'aurois exposé tous leà aLus i 3 nos institutions ; avec quelle simplicité j'aurois démontré que l'homme est bon naturellement... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 696 pages
...veste mouillé de mes larmes sans avoir senti que j'en répandais. Oh , monsieur , si j'avais jamais pu écrire le quart de ce que j'ai vu et senti sous cet arbre , avec quelle clarté j'aurais fait voir toutes les contradictions du système social ; avec quelle force j'aurais exposé... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 522 pages
...ma veste mouillé de mes larmes, sans avoir senti que j'en répandais. O monsieur! si j'avais jamais pu écrire le quart de ce que j'ai vu et senti sous cet arbre, avec quelle clarté j'aurais fait voir toutes les contradictions du système social ; avec quelle force j'aurais exposé... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1831 - 1060 pages
...ma veste mouilld de mes larmes, sans avoir senti que j'en répandais. O monsieur, si j'avais jamais pu écrire le quart de ce que j'ai vu et senti sous cet arbre, avec quelle clarté j'aurais fait voir toutes les contradictions du système social; avec quelle force j'aurais exposé... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1836 - 818 pages
...veste mouillé de mes larmes , sans avoir senti que j'en répandois. 0 monsieur! si j'avois jamais pu écrire le quart de ce que j'ai vu et senti sous cet arbre , avec quelle clarté j'aurois lait voir toutes les contradictions du système social ; avec quelle force j'aurois exposé tous les... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1852 - 816 pages
...veste mouillé de mes larmes, sans avoir senti que j'en répandois. 0 monsieur ! si j'avois jamais pu écrire le quart de ce que j'ai vu et senti sous cet arbre, avec quelle clarié j'aurois fait voir toutes les contradictions du système social javecquelle force j'aurois... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1857 - 548 pages
...veste mouillé de mes larmes , sans avoir senti que j'en répandais. O monsieur, si j'avais jamais pu écrire le quart de ce que j'ai vu et senti sous cet arbre , avec quelle clarté fanrais fait voir toules les contradictions du système social ! avec quelle force j'aurais exposé... | |
 | C. Estienne - 1858 - 254 pages
...mouillé de mes larmes, » sans avoir senti que j'en répandais. 0 monsieur ! » si j'avais jamais pu écrire le quart de ce que j'ai » vu et senti sous cet arbre, avec quelle clarté H j'aurais fait voir toutes les contradictions du sys» terne social; avec quelle force j'aurais exposé... | |
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