First Readings from Modern French Writers |
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... larmes . Je représentai à l'abbé Egault qu'il m'avait appris le latin ; que j'étais son écolier , son disciple , son enfant ; qu'il ne voudrait pas déshonorer son élève , et me rendre la vue de mes compa- gnons insupportable ; qu'il ...
... larmes . Je représentai à l'abbé Egault qu'il m'avait appris le latin ; que j'étais son écolier , son disciple , son enfant ; qu'il ne voudrait pas déshonorer son élève , et me rendre la vue de mes compa- gnons insupportable ; qu'il ...
Page 13
... larmes et ses protestations , elle prit le parti de s'en débarrasser en l'enfermant seul dans une chambre . Trompé dans l'attente d'un plaisir , con- damné pour une faute dont il n'était pas coupable , tout son être se révolta contre l ...
... larmes et ses protestations , elle prit le parti de s'en débarrasser en l'enfermant seul dans une chambre . Trompé dans l'attente d'un plaisir , con- damné pour une faute dont il n'était pas coupable , tout son être se révolta contre l ...
Page 46
... larmes . -Avant de commander , lui dis - je , vous serez d'obéir , et longtemps . En entrant au service , of fera pas général . Il s'avança vers moi , me prit la main et la serr pour me dire que j'avais raison , et pour se dis l'avouer ...
... larmes . -Avant de commander , lui dis - je , vous serez d'obéir , et longtemps . En entrant au service , of fera pas général . Il s'avança vers moi , me prit la main et la serr pour me dire que j'avais raison , et pour se dis l'avouer ...
Page 47
... larmes ; je lui baisai la main , et je sortis le cœur serré vio- lemment , et pourtant joyeux de tout ce que j'avais vu chez cette femme , et de tout ce qu'elle m'avait dit . MÉRY ( 1798- NARRATIONS ET CONTES HISTORIQUES . MADEMOISELLE ...
... larmes ; je lui baisai la main , et je sortis le cœur serré vio- lemment , et pourtant joyeux de tout ce que j'avais vu chez cette femme , et de tout ce qu'elle m'avait dit . MÉRY ( 1798- NARRATIONS ET CONTES HISTORIQUES . MADEMOISELLE ...
Page 49
... larmes : Vous n'arriverez à mon père , disait - elle , qu'après m'avoir percé le cœur . Un cri de grâce se fait entendre ; cent voix le répètent ; les Marseillais ouvrent le passage à mademoiselle Cazotte , qui emmène son père , et ...
... larmes : Vous n'arriverez à mon père , disait - elle , qu'après m'avoir percé le cœur . Un cri de grâce se fait entendre ; cent voix le répètent ; les Marseillais ouvrent le passage à mademoiselle Cazotte , qui emmène son père , et ...
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First Readings from Modern French Writers (Classic Reprint) Gustave Chouquet No preview available - 2017 |
Common terms and phrases
adada against the rule ALICE Allons AMANDA AMETHYSTE assez avant J. C. avez avoit beau Bergeronnette Bichonne Biscotin Bonaparte bonne bras BRIE Brisquet c'était célèbre chant CHARLES NODIER cher chose CHOUQUET cœur Comte de Bruce COMTOIS CORALIE coup D'ORVILLE demande Dietrick Dieu dit-il EUPHROSYNE FÉLICIE femme fleurs FREMONT frère gens geôlier Georges Cadoudal Hélas Henri Henri de Guise heures homme Hortense j'ai j'étais jeune fille Joséphine jour Julienne l'empereur l'ennui l'impératrice laisse larmes LÉONIDE Louis m'en madame mademoiselle Lajolais main maman manche à balai manger Maria Marie-Rose matin ment mère monsieur mort Napoléon parler paroles passe PAULINE pauvre enfant peine pensée Père Confiance père Lazare petite pieds Pierre Hello plaisir pleurs poulet pouvait princesse regard répondit reste rien rire rose s'écria sais SAPHIR seul sœur soir Sorcier sort soupe take tête Trempé jusqu'aux os Trois-Ilets trône vais veux vieille voix yeux
Popular passages
Page 231 - Français ! pour nous : ah ! quel outrage ! Quels transports il doit exciter ! C'est nous qu'on ose méditer De rendre à l'antique esclavage ! ... Aux armes, citoyens ! formez vos bataillons, Marchons ! ... qu'un sang impur abreuve nos sillons.
Page 41 - Le souper fini, on nous laisse ; nos hôtes couchaient en bas ; nous dans la chambre haute, où nous avions mangé : une soupente élevée de sept à huit pieds, où l'on montait par une échelle; c'était là le coucher...
Page 231 - Amour sacré de la patrie, Conduis, soutiens nos bras vengeurs ! Liberté ! Liberté chérie, Combats avec tes défenseurs ! Sous nos drapeaux, que la victoire Accoure à tes mâles accents ! Que tes ennemis expirants Voient ton triomphe et notre gloire ! Aux armes, etc.
Page 11 - Majesté, dit le camarade en lui frappant sur la cuisse. — Tiré sur les plaisirs de Sa Majesté, îl n'en devait être que meilleur ? — Je vous en réponds. Comme on approchait de la ville, et que la pluie tombait toujours, Joseph demanda à son compagnon dans quel quartier il logeait, et où il voulait qu'on le descendît. — Monsieur, c'est trop de bonté, je craindrais' d'abuser de. . . . — Non, non, dit Joseph, votre rue ? Le sergent, indiquant sa demeure, demanda à connaître celui...
Page 42 - L'appeler, faire du bruit, je n'osais; m'échapper tout seul, je ne pouvais; la fenêtre n'était guère haute, mais en bas deux gros dogues hurlant comme des loups... En quelle peine je me trouvais, imaginez-le, si vous pouvez.
Page 196 - L'orage a brisé le chêne Qui seul était mon soutien ; De son inconstante haleine, Le zéphyr ou l'aquilon Depuis ce jour me promène De la forêt à la plaine, De la montagne au vallon, Je vais où le vent me mène, Sans me plaindre ou m'effrayer ; Je vais où va toute chose, Où va la feuille de rose Et la feuille de laurier.
Page 40 - Nous cherchâmes, tant qu'il fit jour, notre chemin à travers ces bois; mais plus nous cherchions, plus nous nous perdions, et il était nuit noire quand nous arrivâmes près d'une maison fort noire. Nous y entrâmes, non sans soupçon; mais comment faire ? Là nous trouvons toute une famille de charbonniers à table, où du premier mot on nous invita. Mon jeune homme ne se fit pas prier : nous voilà mangeant et buvant, lui du moins; car pour moi, j'examinai le lieu et la mine de nos hôtes.
Page 25 - ... j'avais, depuis quelques années, un joli chien que j'aimais beaucoup, et je lui avais donné le nom de Suderland, parce que c'était celui d'un Anglais qui m'en avait fait présent. Ce chien vient de mourir : j'ai ordonné à...
Page 41 - ... le jour ne pouvait être loin, j'entendis au-dessous de moi notre hôte et sa femme parler et se disputer ; et prêtant l'oreille par la cheminée qui communiquait avec celle d'en bas, je distinguai parfaitement ces propres mots du mari : Eh bien enfin voyons, faut-il les tuer tous deux ? A quoi la femme répondit : Oui.
Page 32 - Alors, il se prit à pleurer parce qu'il s'imagina que ses enfants étaient perdus. Après avoir couru longtemps, longtemps, il lui sembla reconnaître la voix de la Bichonne. Il marcha droit dans le fourré, à l'endroit où il l'avait entendue, et il y entra, sa bonne hache levée. La Bichonne était arrivée là, au moment où Biscotin et Biscotine allaient être dévorés par un gros loup.