Revue littéraire de l'Université d'Ottawa, Volumes 5-7Juniorat du Sacre-Coeur., 1904 - French-Canadian literature |
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... Bois pour plancher et embourde , moulures , bois de construction et bardeaux . Angle des Rues Friel et Murray , TELEPHONE 1157 . Ottawa . PHARMACIEN CHIMISTE ..... Angle des Rues Clarence et Dalhousie ASSORTIMENT. THORNTON & TRUMAN.
... Bois pour plancher et embourde , moulures , bois de construction et bardeaux . Angle des Rues Friel et Murray , TELEPHONE 1157 . Ottawa . PHARMACIEN CHIMISTE ..... Angle des Rues Clarence et Dalhousie ASSORTIMENT. THORNTON & TRUMAN.
Page 38
... bois , Envoyait à Dieu sa prière . Le silence règne à l'entour : Le vent n'ose agiter la feuille , Et la nature se recueille Pour écouter l'hymne d'amour . Tout à coup , un autre cantique S'élève encore plus ravissant . C'est François ...
... bois , Envoyait à Dieu sa prière . Le silence règne à l'entour : Le vent n'ose agiter la feuille , Et la nature se recueille Pour écouter l'hymne d'amour . Tout à coup , un autre cantique S'élève encore plus ravissant . C'est François ...
Page 84
... BOIS , PIERRE ET MARBRE , ECLAIRAGE ET DÉCORATION . Spécialité de Broderies Artistiques . Ateliers de broderies , bronze et ameublement : Paris Fabrique de dorures , étoffes et passementeries : 2 rue Fargues , Lyon . NOTA . Nous ...
... BOIS , PIERRE ET MARBRE , ECLAIRAGE ET DÉCORATION . Spécialité de Broderies Artistiques . Ateliers de broderies , bronze et ameublement : Paris Fabrique de dorures , étoffes et passementeries : 2 rue Fargues , Lyon . NOTA . Nous ...
Page 100
... bois chercher quelque fleuve ignoré , où la fraîcheur des ombrages et la beauté des solitudes les invi- taient à se fixer de nouveau . Mais il fallait une boussole pour se conduire dans ces forêts sans che- mins , et le long de ces ...
... bois chercher quelque fleuve ignoré , où la fraîcheur des ombrages et la beauté des solitudes les invi- taient à se fixer de nouveau . Mais il fallait une boussole pour se conduire dans ces forêts sans che- mins , et le long de ces ...
Page 102
... coteau , herbes , brebis , chariots , peaux , bois , fleuve ignoré ; " puis il revient à l'abstrait et au général : " fraîcheur des ombrages , beauté des solitudes qui les invitaient ... " 6. " Mais il fallait une boussole " : celle 102.
... coteau , herbes , brebis , chariots , peaux , bois , fleuve ignoré ; " puis il revient à l'abstrait et au général : " fraîcheur des ombrages , beauté des solitudes qui les invitaient ... " 6. " Mais il fallait une boussole " : celle 102.
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Common terms and phrases
50 cents âme ameublement Angle des Rues ANNECY-LE-VIEUX ANTOINE PACCARD assortiment BALBRIGGAN Barsac beau beauté belle broderies Bryson Canada Canadiens Cartier catholique Champagne Champlain chant charme CHATEAU-RICHER Chateaubriand chose ciel cieux cœur d'Ottawa DALHOUSIE Dieu douleur doux élèves enfants Epernay Esther expositions universelles fleurs FONDÉE EN 1782 forme Fournisseur GASPÉSIE genre goût Graham grandeur hommes idées image inclinations Iroquois jeune jour Juniorat du Sacré-Cœur l'action l'âme l'amour l'année scolaire l'auteur l'Eglise l'homme langue leçon MAISON FONDÉE membres du Clergé ment Mgr Grandin Mgr l'Archevêque monde Montréal morale Moronvilliers mots musique nuit Oporto OTTAWA PACCARD passion pensée père personne philosophie PHONE phrase plaisir pleurs poésie poète poétique premier prière Québec raison recommandons religieux REVUE LITTÉRAIRE rimes RUE RIDEAU RUE SPARKS Saint-Emilion sainte Sauternes sens sentiment seul soleil sortes Spécialité stance style suffixes Sussex syllabes TELEPHONE tion tour verbe VINS DE MESSE Voilà voix
Popular passages
Page 4 - L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser; une vapeur, une goutte d'eau suffit pour le tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt; et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien.
Page 224 - Entre toutes les différentes expressions qui peuvent rendre une seule de nos pensées, il n'y en a qu'une qui soit la bonne. On ne la rencontre pas toujours en parlant ou en écrivant ; il est vrai néanmoins qu'elle existe, que tout ce qui ne l'est point est faible, et ne satisfait point un homme d'esprit qui veut se faire entendre.
Page 96 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs : Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs. Salut, champs que j'aimais, et vous, douce verdure, Et vous, riant exil des bois ! Ciel, pavillon de l'homme, admirable nature, Salut pour la dernière fois ! Ah! puissent voir longtemps votre beauté sacrée Tant d'amis sourds à...
Page 229 - Pour un plus noble usage il réserve ses saints. S'immoler pour son nom et pour son héritage, D'un enfant d'Israël voilà le vrai partage : Trop heureuse pour lui de hasarder vos jours!
Page 268 - J'attendais le moment marqué dans ton arrêt, Pour oser de ton peuple embrasser l'intérêt, Ce moment est venu ; ma prompte obéissance Va d'un roi redoutable affronter la présence.
Page 340 - Ainsi tel autrefois qu'on vit avec Faret Charbonner de ses vers les murs d'un cabaret S'en va, mal à propos, d'une voix insolente, Chanter du peuple hébreu la fuite triomphante, Et, poursuivant Moïse au travers des déserts, Court avec Pharaon se noyer dans les mers.
Page 225 - Une heure après le coucher du soleil, la lune se montra au-dessus des arbres, à l'horizon opposé. Une brise embaumée, que cette reine des nuits amenait de l'orient avec elle, semblait la précéder dans les forêts comme sa fraîche haleine. L'astre solitaire...
Page 268 - Pour moi que tu retiens parmi ces infidèles, Tu sais combien je hais leurs fêtes criminelles , Et que je mets au rang des profanations Leur table , leurs festins , et leurs...
Page 186 - La conscience de notre petitesse à la vue de l'infini, nos chants s'étendant au loin sur les vagues, la nuit s'approchant avec ses embûches, la merveille de notre vaisseau au milieu de tant de merveilles, un équipage religieux saisi d'admiration et de crainte...
Page 225 - La rivière qui coulait à mes pieds tour à tour se perdait ?° dans le bois, tour à tour reparaissait brillante des constellations de la nuit qu'elle répétait dans son sein. Dans une savane, de l'autre côté de la rivière, la clarté de la lune dormait sans mouvement sur les gazons ; des bouleaux agités par les brises et dispersés ça et là formaient des îles d'ombres flottantes sur cette mer immobile de lumière.