Recherches historiques sur Mayet, Maine, Volume 2Dehallais et Du Temple, 1859 - Mayet (France) |
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Common terms and phrases
armée arpents Aubigné bailli Beauvau Bellanger Bersay bois boisseaux Bottu bourg Bouttevin bureau canton de Mayet chapelle Charles château Chesneau chevaux Chicouasne chouans citoyens Clairian commune de Mayet conseil général Coulongé curé d'Écommoy damoiselle Dangeul deniers district de Château-du-Loir Dronne Dupuy Écommoy Fialeix fief filius Flèche Follin forêt de Bersay François Froger froment Galpin garde nationale Gasse Gaufridus Gervasius Gourdin grains Grand-Perray Guesclin Hamelinus hectares hist Hodon hommes horloge Jacques Jean Jehan Johannes jour Jousse juge de paix Julien l'administration de Mayet l'église ladite Lavernat Lebouc livres Loiseau Lude maire de Mayet maison Manonville Mans Marigné Martineau Maucourt messire monachis Mont-sur-Loir moulin municipalité de Mayet Papin paroisse Perroux Pichon pièce Pierre Pontvallain préfet prieur Pruillé-l'Éguillé quod Raguideau religieux René RENÉ de Beauvau rente républicains république Requeil Robertus saint Saint-Calais Saint-Mars-d'Outillé Sarcé Sarciaco Sarthe seigle seigneur Serpin sieur soulz terre tion toyens Verneil Verneil-le-Chétif veuve vigne Vincentii
Popular passages
Page 154 - Je jure haine à la royauté et à l'anarchie; je jure attachement et fidélité à la république et à la constitution de l'an III...
Page 104 - Au nom de la nation, je jure de maintenir de tout mon pouvoir la liberté et l'égalité, ou de mourir à mon poste...
Page 191 - Si nous avions de l'argent à n'en savoir que faire, toutes nos dettes payées, nos chemins réparés, nos pauvres soulagés, notre église d'abord (car Dieu passe avant tout) pavée, recouverte et vitrée, s'il nous restait quelque somme à pouvoir dépenser hors de cette commune, je crois, mes amis, qu'il faudrait contribuer, avec nos voisins, à refaire le pont de Saint-Avertin...
Page 75 - Je jure d'être fidèle à la nation et de maintenir la liberté et l'égalité, ou de mourir en les défendant.
Page 118 - Des attentats inouïs contre notre liberté, l'intolérance la plus cruelle, le despotisme, les injustices, les vexations les plus odieuses que nous avons éprouvées nous ont mis les armes à la main. « Nous avons vu avec horreur notre malheureuse patrie livrée à des ambitieux qui, sous les apparences du patriotisme le plus pur, sous le masque séduisant de la popularité, aspiraient à une dictature perpétuelle.
Page 148 - ... de haine à la royauté et à l'anarchie, de fidélité et attachement à la République et à la Constitution de l'an III.
Page 119 - Réunis sous une même tente avec les représentants du peuple, nous avons senti plus fortement encore, s'il est possible, que nous étions Français, que le bien général de notre patrie devait seul nous animer. « Et c'est dans ces sentiments que nous déclarons solennellement à la Convention nationale et à la France entière, nous soumettre à la République française, une et indivisible, que nous reconnaissons ses lois et que nous prenons l'engagement...
Page 119 - Nous n'avons eu aucune répugnance pour des rapprochements capables de mettre fin aux calamités qui nous déchirent. « De nouveaux représentants, dignes de notre estime et de nos éloges, ont été adjoints au premier : nous leur avons fait connaître à tous nos intentions et le désir d'une pacification sincère, garantie par l'honneur. « Dans les conférences que nous avons eues avec eux, nous nous sommes appliqués à leur faire connaître ce qui intéressait...
Page 118 - ... de la popularité, aspiraient à une dictature perpétuelle. Pouvions-nous, en discernant leurs projets à travers le voile dont ils s'enveloppaient, ne pas tenter les derniers efforts pour replacer l'autorité dans des mains que nos principes légitimaient.
Page 62 - Et par les soldats , entre les mains de leurs officiers, d'être fidèles à la nation, à la loi , au Roi et à la constitution ; de n'abandonner jamais leurs drapeaux , et d'observer exactement les règles de la discipline militaire.