Nous attendîmes l'empereur à la poste, et pendant qu'il changeait de chevaux, il s'entretint avec le général d'Avenay relativement à la fatigue des hommes et des chevaux qui venaient de faire une marche de quatre cents lieues. Il eut l'air satisfait... Souvenirs militaires du colonel de Gonneville - Page 94by Aymar-Olivier Le Harivel de Gonneville, Joachim Marie Jean Jacques Alexandre Jules Ambert - 1895 - 393 pagesFull view - About this book
| Aymar Olivier Le Harivel de Gonneville - 1875 - 486 pages
...notre division à Ruffec, entre Poitiers et Bordeaux, le jour même où l'Empereur revenant d'Erl'urth y passait; nous l'attendîmes à la poste, et pendant...que nous étions là, un colonel d'infanterie, dont la tenue datait d'une époque antérieure, s'approcha de la portière, car l'Empereur n'était pas... | |
| Charles Henry Parry (M.A.) - 1884 - 188 pages
...et tomber, avec lui, chacun de son côté, à la renverse. LA BRUYÈRE. Nous attendîmes l'empereur à la poste, et pendant qu'il changeait de chevaux,...que nous étions là, un colonel d'infanterie, dont la tenue datait d'une époque antérieure, s'approcha de la portière, car l'empereur n'était pas... | |
| Charles Henry Parry (M.A.) - 1884 - 188 pages
...tomber, avec lui, chacun de son côté, à la renverse. LA BRUYÈRE. XX. Nous attendîmes l'empereur à la poste, et pendant qu'il changeait de chevaux,...d'Avenay relativement à la fatigue des hommes et des chveaux qui venaient de faire une marche de quatre cents lieues. Il eut l'air satisfait du compte rendu.... | |
| Michel Combe - France - 1896 - 348 pages
...champ de bataille avait quelque chose de plus triste, de plus saisissant qu'à l'ordinaire. Malgré la fatigue des hommes et des chevaux, qui venaient de faire une marche de quinze heures consécutives, après un repos d'un quart d'heure pour nous laisser, ainsi que je l'ai... | |
| René Moulin - Literature - 1896 - 820 pages
...champ de bataille avait quelque chose de plus triste, de plus saisissant qu'à l'ordinaire. Malgré la fatigue des hommes et des chevaux, qui venaient de faire une marche de quinze heures consécutives, après un repos d'un quart d'heure pour nous laisser, ainsi que je l'ai... | |
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