The modern French reader. Prose. Junior course. Ed. by P.H.E. Brette, C. Cassal, T. Karcher, Issue 25Philippe Honoré Ernest Brette |
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... qu'un enfant . Un jour , un étranger le trouva courant par la chambre , à cheval sur un baton , pour amuser le petit garçon . L'étranger se mit à rire . Le grand guerrier lui dit tranquillement : « Attendez que vous soyez père vous ...
... qu'un enfant . Un jour , un étranger le trouva courant par la chambre , à cheval sur un baton , pour amuser le petit garçon . L'étranger se mit à rire . Le grand guerrier lui dit tranquillement : « Attendez que vous soyez père vous ...
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... un pavillon au fond du jardin . Le jardinier avait un fils , petit garçon de six ans ; il lui remit les deux poires et lui dit de les porter au roi . Celui - ci , aussitôt qu'il les vit , en prit une qu'il se mit à manger , et dit à l ...
... un pavillon au fond du jardin . Le jardinier avait un fils , petit garçon de six ans ; il lui remit les deux poires et lui dit de les porter au roi . Celui - ci , aussitôt qu'il les vit , en prit une qu'il se mit à manger , et dit à l ...
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... Un matin qu'il prenait l'air à la fenètre , un de ses gens , voyant un homme accoudé là en bonnet de coton , le prend pour son camarade , et lui donne amicalement un énorme coup de poing . L'homme se retourne , et c'est Turenne . « Mon ...
... Un matin qu'il prenait l'air à la fenètre , un de ses gens , voyant un homme accoudé là en bonnet de coton , le prend pour son camarade , et lui donne amicalement un énorme coup de poing . L'homme se retourne , et c'est Turenne . « Mon ...
Page 10
... qu'un livre ennuyeux ... Et que le pauvre enfant n'avait plus de vivres à lui offrir ... Une idée désespérée lui vint ... Il se mit à jouer un air de sa cornemuse ! .... Le troisième loup , terrifié par cette mélodie , à laquelle son ...
... qu'un livre ennuyeux ... Et que le pauvre enfant n'avait plus de vivres à lui offrir ... Une idée désespérée lui vint ... Il se mit à jouer un air de sa cornemuse ! .... Le troisième loup , terrifié par cette mélodie , à laquelle son ...
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... qu'imaginer , ils en avertirent le roi qui leur dit en souriant : « Laissez - moi faire ! » > Le jour de la ... un joli petit Zouave , de dix - huit ans , amène au quartier - général trois soldats qu'il a faits prisonniers . Le général ...
... qu'imaginer , ils en avertirent le roi qui leur dit en souriant : « Laissez - moi faire ! » > Le jour de la ... un joli petit Zouave , de dix - huit ans , amène au quartier - général trois soldats qu'il a faits prisonniers . Le général ...
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Common terms and phrases
Alexandre Dumas Ange Pitou animaux arbres arriva autruche avaient bailli Bataille de Valmy berger bientôt Birkenhead Boabdil bois brave c'était capitaine casquette chambre château cheval chevreuil chien chose chou cochon cœur cornac coup demanda devant devint Dieu disant dit-il don José éléphant enfants ennemis estomac faisait femme figues fille Flamèche forêt formica rufa frère garçon général George Brooke j'ai Jean-Baptiste Lulli jeta jeune homme jour l'éléphant l'empereur l'estomac l'homme laisser lendemain Louis XVIII loup Lulli main maison maison de Dietrich maitre manger maréchal maréchal Ney Marianne matin mème milieu monsieur Morand mort n'avait Napoléon nuit pain passer pauvre homme Pépin Pépin le bossu père Bribri petit petite peur place poche pont porte premier prit qu'un raconta répondit reste rien s'écria sais Satan savait seul singe soir soldats sortir terre tète tomber trouva venait vint voilà voix voleur voyageur zouaves
Popular passages
Page 161 - Amour sacré de la Patrie, Conduis, soutiens nos bras vengeurs. Liberté, liberté chérie, Combats avec tes défenseurs. Sous nos drapeaux, que la Victoire Accoure à tes mâles accents : Que tes ennemis expirants Voient ton triomphe et notre gloire ! Aux armes, citoyens ! Formez vos bataillons : Marchons, qu'un sang impur abreuve nos sillons.
Page 161 - Nous entrerons dans la carrière Quand nos aînés n'y seront plus ; Nous y trouverons leur poussière Et la trace de leurs vertus ! Bien moins jaloux de leur survivre Que de partager leur cercueil, Nous aurons le sublime orgueil De les venger ou de les suivre...
Page 33 - Non, non, dit Joseph, votre rue ? " Le sergent, indiquant sa demeure, demanda à connaître celui dont il recevait tant d'honnêtetés. " A votre tour, dit Joseph, devinez. — Monsieur est militaire, sans doute ? — Comme dit monsieur. — Lieutenant ? — Ah ! bien, oui, lieutenant ; mieux que ça.
Page 33 - Comme on approchait de la ville, et que la pluie tombait toujours, Joseph demanda à son compagnon dans quel quartier il logeait, et où il voulait qu'on le descendît. — Monsieur, c'est trop de bonté, je craindrais d'abuser de — Non, non, dit Joseph, votre rue ? Le sergent, indiquant sa demeure, demanda à connaître celui dont il recevait tant d'honnêtetés. — A votre tour, dit Joseph, devinez.
Page 167 - Je vous ordonne, Messieurs, de vous séparer tout de suite, et de vous rendre demain matin chacun dans les Chambres affectées à votre ordre, pour y reprendre vos séances. J'ordonne, en conséquence, au grand-maître des cérémonies de faire préparer les salles.
Page 160 - Marchons ! ... qu'un sang impur abreuve nos sillons. Que veut cette horde d'esclaves De traîtres, de rois conjurés? Pour qui ces ignobles entraves, Ces fers dès long-temps préparés ? Français ! pour nous : ah ! quel outrage ! Quels transports il doit exciter...
Page 167 - Oui, Monsieur, nous avons entendu les intentions qu'on a suggérées au roi. Et vous, qui ne sauriez être son organe auprès des États Généraux, vous qui n'avez ici ni place ni droit de parler, vous n'êtes pas fait pour nous rappeler son discours.
Page 200 - dit-elle, Rouen! est-ce ici que je dois mourir? » Le cardinal de Winchester et plusieurs prélats français étaient placés sur un échafaud; les juges ecclésiastiques et séculiers sur un autre. Jeanne fut amenée devant eux. On lui fit d'abord un sermon pour lui reprocher sa rechute; elle l'entendit avec patience et grand calme. « Jeanne, « va en paix; l'Église ne peut plus te défendre, « et te livre aux mains séculières.
Page 163 - encore une dernière bouteille de vin dans mon cellier. « Qu'on l'apporte, dit-il à une de ses filles, et buvons-la « à la liberté et à la patrie ! Strasbourg doit avoir bientôt « une cérémonie patriotique ; il faut que de Lisle puise « dans ces dernières gouttes un de ces hymnes qui portent « dans l'âme du peuple l'ivresse d'où il a jailli.
Page 162 - Lons-le-Saunicr , dans ce Jura, pays de rêverie et d'énergie, comme le sont toujours les montagnes. Ce jeune homme aimait la guerre comme soldat, la Révolution comme penseur; il charmait par les vers et par la musique les lentes impatiences de la garnison. Recherché pour son double talent de musicien et de poète , il fréquentait familièrement la maison...