Feiz ha Breiz: Foi et Bretagne1900 |
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amzer anezhan anezho ar pez Autrou Doue Autrou Person bêleg bemdez benag beteg beza bloaz Brest BRETAGNE REVUE breton brezoneg bugale c'hoant c'hoaz c'houlen c'hui caout caved Cetu chom d'an d'ar d'he d'ho daou deomp deued deus deuz devoa dezhan dezhi dezho dioc'h dirag divar benn douar dourn droug ebed ec'h eged emezhan Emgann epad eun dra evel evid evit Feiz ha Breiz Finistère Franç gant ganthan gaout gomz goude goudeze gouscoude great Groaz gueled guella guir hano he-unan hent hini hor Zalver Iliz kement kenta labour lakeat Landerneau langue bretonne lavar lavared leac'h maro n'e ket n'oa nemed netra neuze oc'h oferen paour petra Quimper reas santel traou unan veled Verc'hez veza vezo vloaz vraz vugale yaouanc zeus zoken Zoue
Popular passages
Page 492 - la mort de Socrate sont d'un sage, la vie et la mort de Jésus-Christ sont d'un Dieu.
Page 171 - A ces mots on cria haro sur le baudet. Un loup, quelque peu clerc, prouva par sa harangue Qu'il fallait dévouer ce maudit animal, Ce pelé, ce galeux, d'où venait tout leur mal. Sa peccadille fut jugée un cas pendable. Manger l'herbe d'autrui ! quel crime abominable ! Rien que la mort n'était capable D'expier son forfait. On le lui fit bien voir. Selon que vous serez puissant ou misérable, Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir.
Page 171 - Sire, dit le renard, vous êtes trop bon roi ; Vos scrupules font voir trop de délicatesse. Eh bien ! manger moutons, canaille, sotte espèce, Est-ce un péché? Non, non. Vous leur fîtes, seigneur, En les croquant, beaucoup d'honneur. Et quant au berger, l'on peut dire Qu'il était digne de tous maux, Etant de ces gens-là qui sur les animaux Se font un chimérique empire.
Page 171 - L'âne vint à son tour, et dit : « J'ai souvenance Qu'en un pré de moines passant, La faim , l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue ; Je n'en avois nul droit, puisqu'il faut parler net.
Page 171 - Ne nous flattons donc point; voyons sans indulgence L'état de notre conscience. Pour moi, satisfaisant mes appétits gloutons J'ai dévoré force moutons. Que m'avaient-ils fait? nulle offense; $ Même il m'est arrivé quelquefois de manger Le berger. Je me dévouerai donc, s'il le faut: mais je pense Qu'il est bon que chacun s'accuse ainsi que moi: Car on doit souhaiter, selon toute justice, 10 Que le plus coupable périsse.
Page 216 - Il ya un homme poursuivi, dans son supplice et sa tombe, par une inextinguible haine, et qui, demandant des apôtres et des martyrs à toute postérité qui se lève, trouve des apôtres et des martyrs au sein de toutes les générations. Il ya un homme enfin, et le seul qui ait fondé son amour sur la terre, et cet homme, c'est Vous, ô Jésus!
Page 163 - ... d'abord il n'entend que les mots, puis il s'élève jusqu'à la conception de la phrase, et bientôt après le charme de l'expression, sa force, son harmonie, tout ce qui se trouve enfin dans le langage de l'homme, se fait sentir par degrés à l'enfant qui traduit. Il...
Page 170 - Un mal qui répand la terreur, Mal que le Ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre, La Peste * (puisquTIl faut l'appeler par son nom) Capable d'enrichir en un jour l'Achéron, § Faisait aux animaux la guerre.
Page 215 - C'est fini, c'est à jamais fini, et telle est l'histoire de l'homme dans l'amour. Je me trompe, messieurs, il ya un homme dont l'amour garde la tombe...
Page 320 - ... avons épargné s'en va à d'autres qu'à nous * \ Nous nous attachons au foyer, à l'arbre, au puits, au chien de la cour, et le foyer, l'arbre, le puits, le chien nous sont enlevés quand il plaît à nos maîtres...