 | Alphonse de Lamartine - 1836 - 340 pages
...Confine on doit respecter sa moindre créature , Frère à quelque degré qu'ait voulu la nature ! Ah ! mon pauvre Fido, quand tes yeux sur les miens Le silence...mords plus tendrement ma main vers toi baissée, Que r comme un clair miroir, ma joie ou mon chagrin Rend ton œil fraternel inquiet ou serein , Que l'ame... | |
 | John Sheppard - Christian poetry, English - 1859 - 304 pages
...Comme on doit respecter sa moindre créature, Frère à quelque degré qu'ait voulu la nature ! Ah ! mon pauvre Fido, quand, tes yeux sur les miens Le silence comprend nos muets entretiens, — Que, comme un clair miroir, ma joie ou mon chagrin Rend ton œil fraternel inquiet ou serein, Que... | |
 | 1861 - 966 pages
...Comme on doit respecter sa moindre créature, Frère à quelque degré qu'ail voulu la nature ! Ah ! mon pauvre Fido, quand, tes yeux sur les miens, Le silence comprend nos mucls enlreliens ; Quand, au bord de mou lit, épiant si je veille, Un seul souffle inégal de mon... | |
 | Eugène Crépet - French poetry - 1863 - 778 pages
...Comme on doit respecter sa moindre créature, Frère à quelque degré qu'ait voulu la nature I Ah! mon pauvre Fido, quand tes yeux sur les miens, Le...en mes yeux obscurcis, Dans les plis de mon front lu cherches mes soucis, Et que pour la distraire attirant ma pensée, Tu mords plus tendrement ma main... | |
 | Académie des sciences, inscriptions et belles-lettres de Toulouse - Literature - 1884 - 674 pages
...Comme on doit respecter sa moindre créature. Frère à quelque degré qu'ait voulu la nature ! Ah! mon pauvre Fido! quand, tes yeux sur les miens, Le...veille, Un seul souffle inégal de mon sein te réveille ; Dans les plis de mon front tu cherches mes soucis ; Et que, pour la distraire, attirant ma pensée,... | |
 | Emil Pfundheller - 1875 - 382 pages
...Comme on doit respecter sa moindre créature, Frère à quelque degré qu'ait voulu la nature! Ah! mon pauvre Fido, quand tes yeux sur les miens, Le...de mon lit, épiant si je veille, Un seul souffle inegal de mon sein te réveille, Que, lisant ma tristesse en mes yeux obscurcis, Dans les plis de mon... | |
 | Académie des sciences, inscriptions et belles-lettres de Toulouse - Literature - 1884 - 648 pages
...Comme on doit respecter sa moindre créature. Frère à quelque degré qu'ait voulu la nature ! Ah! mon pauvre Fido! quand, tes yeux sur les miens, Le...épiant si je veille, Un seul souffle inégal de mon saia to réveille ; Que, lisant ma triitessp on mus yeux obscurcis, Dans les plia do mon front tu cherches... | |
 | Académie des sciences, inscriptions et belles-lettres de Toulouse - 1884 - 682 pages
...Comme on doit respecter sa moindre créature. Frère à quelque degré qu'ait voulu la nature ! Ah! mon pauvre Fido! quand, tes yeux sur les miens, Le...silence comprend nos muets entretiens ; Quand, au bord do mon lit, épiant si je veille, Un seul souffle inégal de mon sein te réveille ; Dans les plis... | |
 | Page - 1902 - 64 pages
...• des accents d'une conviction vraiment touchante. Ecoutons-le, s'adressant à son chien : « Ah ! mon pauvre Fido, quand, tes yeux sur les miens, Le...Un seul souffle inégal de mon sein te réveille; Quand, lisant ma tristesse en mes yeux obscurcis, Dans les plis de mon front tu cherches mes soucis,... | |
 | Alphonse de Lamartine - 1903 - 374 pages
...Comme on doit respecter sa moindre créature, Frère à quelque degré qu'ait voulu la nature. Ah! mon pauvre Fido, quand, tes yeux sur les miens, Le...distraire attirant ma pensée, Tu mords plus tendrement rua main vers toi baissée ; Que, comme un clair miroir, ma joie ou mon chagrin Rend ton œil fraternel... | |
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De ton maître et du mien l'ineffable bonté, Comme on doit respecter sa moindre créature, Frère à quelque degré qu'ait voulu la nature. Ah! mon pauvre Fido, quand, tes yeux sur les miens, Le silence comprend nos muets entretiens ; Quand, au bord... 
