Mémoires de la Société des sciences morales, des lettres et des arts de Seine-et-Oise, Volumes 7-81866 - Seine-et-Oise (France) |
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... vrai , je crois , de dire que la meilleure expression d'un peuple se trouve dans sa législation . C'est dans ses lois qu'une nation dépose le secret de sa civilisation , de son génie , de son histoire : Religion , Politique , Beaux ...
... vrai , je crois , de dire que la meilleure expression d'un peuple se trouve dans sa législation . C'est dans ses lois qu'une nation dépose le secret de sa civilisation , de son génie , de son histoire : Religion , Politique , Beaux ...
Page v
... vrai du faux , ' cherchant à rendre les hommes meilleurs non- seulement par la crainte des peines , mais encore par l'espoir de récom- penses et pratiquant ainsi une philosophie qui n'est pas feinte , et qui , si nous ne nous trompons ...
... vrai du faux , ' cherchant à rendre les hommes meilleurs non- seulement par la crainte des peines , mais encore par l'espoir de récom- penses et pratiquant ainsi une philosophie qui n'est pas feinte , et qui , si nous ne nous trompons ...
Page xiv
... vrai que les conquérants et les fondateurs de tous les temps ont rendu cet hommage à la législation , qu'elle est la con- reux animal existe au dossier , carton 296 , dossier 253 , archives de l'Em- pire . Ce fait , qui nous était ...
... vrai que les conquérants et les fondateurs de tous les temps ont rendu cet hommage à la législation , qu'elle est la con- reux animal existe au dossier , carton 296 , dossier 253 , archives de l'Em- pire . Ce fait , qui nous était ...
Page xxx
... vrai cara- ctère de Charlotte et la vraie nature de ses relations avec Barbaroux et les autres Girondins . Il a relevé les méprises dans lesquelles sont tombés les historiens de la Révolution , même les plus sérieux et les plus ...
... vrai cara- ctère de Charlotte et la vraie nature de ses relations avec Barbaroux et les autres Girondins . Il a relevé les méprises dans lesquelles sont tombés les historiens de la Révolution , même les plus sérieux et les plus ...
Page xxxi
... vrai , la Sicile et la Grèce d'aujourd'hui , mais celles de 1844 . Au surplus , si le temps a marché traînant après soi les révolutions politiques , M. Digard , visitant de nouveau les pays visités par lui il y a bientôt vingt ans , n ...
... vrai , la Sicile et la Grèce d'aujourd'hui , mais celles de 1844 . Au surplus , si le temps a marché traînant après soi les révolutions politiques , M. Digard , visitant de nouveau les pays visités par lui il y a bientôt vingt ans , n ...
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Common terms and phrases
Adam Mickiewicz Anquetil avaient avez beau Bois-d'Arcy chants Chardon charme Château Château de Versailles chose Clagny cœur Colbert collègue comte d'Estaing Cougny cour d'Urclé Délerot devant Dieu Digard dire donner Doublet enfants enfin entretenus esprit étangs étude famille femmes Gamain garde nationale gardes-du-corps gardes-françaises gloire hommes intitulée jardins Jeandel jeune jour l'Assemblée l'auteur l'esprit l'histoire l'homme laisse législation lettres livres Louis XIV Louis XVI machine de Marly maître mémoire ment Messieurs Mickiewicz mœurs monde Montalant-Bougleux morale mort Mugnot de Lyden œuvre Orgon ouvriers palais parler passé passion peinture pensée père peuple philosophie Pibrac pièce Ploix poème poésie poète politique première président prince qu'un questeurs raison régiment de Flandres reine réservoirs reste rien romain s'est salle savant scène science séance Seine-et-Oise semble sentiment sera seul siècle Société sorte souvent surtout Tartuffe théophilanthropes tion travaux Trianon trouve Vatel vérité Versailles Virgile vrai
Popular passages
Page 151 - ... montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes. Ils se retirent la nuit dans des tanières où ils vivent de pain noir, d'eau et de racines ; ils épargnent aux autres hommes la peine de semer, de labourer et de recueillir pour vivre, et méritent ainsi de ne pas manquer de ce pain qu'ils ont semé.
Page xlviii - L'on voit certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides, et tout brûlés du soleil. attachés à la terre qu'ils fouillent et remuent avec une opiniâtreté invincible. Ils ont comme une voix articulée, et, quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine ; et, en effet, ils sont des hommes.
Page 211 - Ils auront au doigt un anneau d'or, et au cou une médaille d'or avec votre portrait. Ceux du second rang seront vêtus de bleu ; ils porteront une frange d'argent, avec l'anneau, et point de médaille ; les troisièmes, de vert, sans anneau et sans frange...
Page clxi - Le mourant ressuscite en apprenant cette grande nouvelle. Il embrasse bien tendrement M. de Lally. Il voit que le roi est le défenseur de la justice ; il mourra content.
Page cxci - MARCHES DE MARBRE ROSE' DEPUIS qu'Adam, ce cruel homme, A perdu son fameux jardin, Où sa femme, autour d'une pomme, Gambadait sans vertugadin, Je ne crois pas que sur la terre II soit un lieu d'arbres planté Plus célébré, plus visité, Mieux fait, plus joli, mieux hanté', Mieux exercé dans l'art de plaire, Plus examiné, plus vanté, Plus décrit, plus lu, plus chanté, Que l'ennuyeux parc de Versailles.
Page cxciii - Sans herbe ; s'il voulait encor me laisser paître ! Mais je suis attachée ; et si j'eusse eu pour maître Un serpent, eût-il su jamais pousser si loin L'ingratitude ? Adieu : j'ai dit ce que je pense.
Page clxxiii - Ah ! témoin des succès du crime, Si l'homme juste et magnanime Pouvait ouvrir son cœur à la félicité, Versailles , tes routes fleuries , Ton silence, fertile en belles rêveries, N'auraient que joie et volupté. Mais souvent tes vallons tranquilles , Tes sommets verts , tes frais asiles , Tout-à-coup à mes yeux s'enveloppent de deuiL J'y vois errer l'ombre livide D'un peuple d'innocents qu'un tribunal perfide Précipite dans le cercueiL © xi.
Page lv - Assurer l'instruction primaire et l'enseignement religieux des enfants ; 4° Empêcher, à l'égard des enfants, tout mauvais traitement et tout châtiment abusif; 5° Assurer les conditions de salubrité et de sûreté nécessaires à la vie et à la santé des enfants.
Page cxcvi - Ah ! c'est affreux peut-être, eh bien ! c'est encor doux ! 0 mon chien ! Dieu seul sait la distance entre nous ; Seul il sait quel degré de l'échelle de l'être Sépare ton instinct de l'âme de ton maître ; Mais seul il sait aussi par quel secret rapport Tu vis de son regard et tu meurs de sa mort. Et par quelle pitié pour nos cœurs il te donne, Pour aimer encor ceux que n'aime plus personne. Aussi, pauvre animal, quoique à terre couché, Jamais d'un sot dédain mon pied ne t'a touché ;...
Page cxcvi - De ton maître et du mien l'ineffable bonté, Comme on doit respecter sa moindre créature, Frère à quelque degré qu'ait voulu la nature. Ah! mon pauvre Fido, quand, tes yeux sur les miens, Le silence comprend nos muets entretiens ; Quand, au bord de mon lit épiant si je veille, Un seul souffle inégal de mon sein te réveille...