La FontainePlon-Nourrit et cie, 1912 - 334 pages |
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Page 16
... soin de notre honneur , Je ferai tout . ( Le marchand entre dans la boutique du savetier . ) LE MARCHAND Ma douce amie , On doit apporter du vin frais ; Quelque régal il nous faut faire . SEPTIÈME ENTRÉE . LA FEMME ET LE MARCHAND , tous ...
... soin de notre honneur , Je ferai tout . ( Le marchand entre dans la boutique du savetier . ) LE MARCHAND Ma douce amie , On doit apporter du vin frais ; Quelque régal il nous faut faire . SEPTIÈME ENTRÉE . LA FEMME ET LE MARCHAND , tous ...
Page 21
... soins à la fois , Honneur du nom public , défenseur de nos lois ; Toi dont l'âme s'élève au - dessus du vulgaire , Qui connais les beaux - arts , qui sais ce qui doit plaire , Et de qui le pouvoir , quoique peu limité , Par le rare ...
... soins à la fois , Honneur du nom public , défenseur de nos lois ; Toi dont l'âme s'élève au - dessus du vulgaire , Qui connais les beaux - arts , qui sais ce qui doit plaire , Et de qui le pouvoir , quoique peu limité , Par le rare ...
Page 27
... soin , comme étant les plus précieuses pièces de son trésor ( 2 ) . Ce fut sur ce fondement que le Songe éleva son frêle édifice , et tâcha de me faire voir les choses en leur plus grande perfection . Il choisit pour cela ( 1 ) « Le ...
... soin , comme étant les plus précieuses pièces de son trésor ( 2 ) . Ce fut sur ce fondement que le Songe éleva son frêle édifice , et tâcha de me faire voir les choses en leur plus grande perfection . Il choisit pour cela ( 1 ) « Le ...
Page 58
... soins pour moi tu te surpasses ; Clarice est en mon âme avec toutes ses grâces ; Je m'en fais des tableaux où tu n'as point de part . Pour me faire sans cesse adorer cette belle , Il n'était pas besoin des efforts de ton art ; Mon cœur ...
... soins pour moi tu te surpasses ; Clarice est en mon âme avec toutes ses grâces ; Je m'en fais des tableaux où tu n'as point de part . Pour me faire sans cesse adorer cette belle , Il n'était pas besoin des efforts de ton art ; Mon cœur ...
Page 70
... soin qu'il ne mourût point sans être payé de ses peines . Il y a , dit - on , sacrement entre eux , mais la chose est tenue secrète . Que dites- vous de ces mariages de conscience ? Ceux qui en ont amené l'usage n'étaient pas niais . On ...
... soin qu'il ne mourût point sans être payé de ses peines . Il y a , dit - on , sacrement entre eux , mais la chose est tenue secrète . Que dites- vous de ces mariages de conscience ? Ceux qui en ont amené l'usage n'étaient pas niais . On ...
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Common terms and phrases
ACHILLE Adieu aime amis amour animaux Arbate assez beau beauté belle Boccace Boileau Bonaventure Des Périers Bonhomme bruit c'était Cérès Champmeslé chanter charmes chat Château-Thierry Chaulieu cher chose cieux Clymène cœur Contes Cythérée Daphnis déesse dieu dieux dire dit-il donner douleur doux écrit enfans enfin épître Esope esprit eût fable faisait femme fleurs Fontaine Fouquet fût gens gloire goût HARPAGÈME HARPAGÈME HORTENSE homme j'ai j'en jamais jour Jupiter l'Amour l'autre l'un là-dessus laisse Louis Louis Racine loup LYDIE m'en Madame maître MARINETTE Maucroix messieurs mieux Mlle Mme de Bouillon Molière monde monsieur mort n'avait n'en Oronte ouvrage parler passer PATROCLE peine pensée personne Philémon et Baucis plaire plaisir Platon pleurs poème poète prince prose Psyché raison renard rien Roman de Renart Sablière savetier SCÈNE seigneur sentiment sera seulement soin songe sorte souris sujet Taine temple Timante trouve Vaux Vendôme Vénus veux Voilà yeux
Popular passages
Page 212 - Perrette là-dessus saute aussi, transportée: Le lait tombe; adieu veau, vache, cochon, couvée. La dame de ces biens, quittant d'un œil marri Sa fortune ainsi répandue. Va s'excuser à son mari, En grand danger d'être battue.
Page 215 - Tantôt plus, tantôt moins : le mal est que toujours (Et sans cela nos gains seraient assez honnêtes), Le mal est que dans l'an s'entremêlent des jours Qu'il faut chômer ; on nous ruine en fêtes ; L'une fait tort à l'autre ; et monsieur le curé De quelque nouveau saint charge toujours son prône.
Page 109 - La Cigale, ayant chanté Tout l'Été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue. Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la Fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l'Oût, foi d'animal, Intérêt et principal.
Page 320 - Je t'assure que le meilleur de tes amis n'a plus à compter sur quinze jours de vie. Voilà deux mois que je ne sors point, si ce n'est pour aller un peu à l'Académie, afin que cela m'amuse. Hier, comme j'en revenais il me prit, au milieu de la rue du Chantre, une si grande faiblesse que je crus véritablement mourir.
Page 115 - L'invention des arts étant un droit d'aînesse, Nous devons l'apologue à l'ancienne Grèce : Mais ce champ ne se peut tellement moissonner Que les derniers venus n'y trouvent à glaner. La feinte est un pays plein de terres désertes; Tous les jours nos auteurs y font des découvertes.
Page 137 - Ne pleurez point; Trois jours au plus rendront mon âme satisfaite: Je reviendrai dans peu conter de point en point Mes aventures à mon frère; Je le désennuierai. Quiconque ne voit guère N'a guère à dire aussi. Mon voyage dépeint Vous sera d'un plaisir extrême. Je dirai: J'étois là; telle chose m'avint: Vous y croirez être vous-même.
Page 112 - Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un bon naturel : mais quittez ce souci ; Les vents me sont moins qu'à vous redoutables : Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos : Mais attendons la fin.
Page 136 - L'un d'eux, s'ennuyant au logis, Fut assez fou pour entreprendre Un voyage en lointain pays. L'autre lui dit : « Qu'allez-vous faire ? Voulez-vous quitter votre frère ? L'absence est le plus grand des maux : , Non pas pour vous, cruel ! Au moins, que les travaux, Les dangers, les soins du voyage, Changent un peu votre courage.
Page 224 - Ils disent donc Que la bête est une machine ; Qu'en elle tout se fait sans choix et par ressorts. Nul sentiment, point d'âme, en elle tout est corps. Telle est la montre qui chemine A pas toujours égaux, aveugle et sans dessein.
Page 215 - L'argent et sa joie à la fois. Plus de chant ; il perdit la voix Du moment qu'il gagna ce qui cause nos peines. Le sommeil quitta son logis, II eut pour hôtes les soucis, Les soupçons, les alarmes vaines.