La FontainePlon-Nourrit et cie, 1912 - 334 pages |
From inside the book
Results 1-5 of 64
Page 8
... son Repas ridicule ( Satires ) ? Il y a tout lieu de le penser . ( 3 ) Paul MESNARD , Euvres de Jean de La Fontaine ( coll . des grands écrivains ) . LES RIEURS DU BEAU - RICHARD BALLET ( 1 ) 8 CHAP . 1er oc LA FONTAINE .
... son Repas ridicule ( Satires ) ? Il y a tout lieu de le penser . ( 3 ) Paul MESNARD , Euvres de Jean de La Fontaine ( coll . des grands écrivains ) . LES RIEURS DU BEAU - RICHARD BALLET ( 1 ) 8 CHAP . 1er oc LA FONTAINE .
Page 15
... lieu d'avancer il recule . Celui - ci marche à pas comptés ; On le prendroit pour un chanoine . Allons donc , mon âne . L'ANE Attendez , Je n'ai pas mangé mon avoine . LE MEUNIER Vous mangerez tout votre soûl . L'ANE , sentant une ...
... lieu d'avancer il recule . Celui - ci marche à pas comptés ; On le prendroit pour un chanoine . Allons donc , mon âne . L'ANE Attendez , Je n'ai pas mangé mon avoine . LE MEUNIER Vous mangerez tout votre soûl . L'ANE , sentant une ...
Page 22
... lieu de se plaindre ; il eut le poète le lui avait promis une abondante récolte de beaux vers . Mme Fouquet reçut la ballade en payement pour le premier terme . Cette dame adressa en échange à La Fontaine une < quittance publique » qu ...
... lieu de se plaindre ; il eut le poète le lui avait promis une abondante récolte de beaux vers . Mme Fouquet reçut la ballade en payement pour le premier terme . Cette dame adressa en échange à La Fontaine une < quittance publique » qu ...
Page 26
... moyen , ( 1 ) Les Fragmens du Songe de Vaux ne parurent en réalité qu'en 1671 , mais conçus dans le temps de la splendeur de Fouquet , il nous a semblé qu'il y avait lieu de les donner ici . il pût voir le palais de Vaux avec ses jardins.
... moyen , ( 1 ) Les Fragmens du Songe de Vaux ne parurent en réalité qu'en 1671 , mais conçus dans le temps de la splendeur de Fouquet , il nous a semblé qu'il y avait lieu de les donner ici . il pût voir le palais de Vaux avec ses jardins.
Page 30
... lieu de notre naissance ; Sans nous vanter , et sans mentir , Nous y trouvions en abondance De quoi soûler nos appétits : Si les gros nous mangeaient , nous mangions les petits Ainsi que l'on fait en France ; Et pour ne pas tenir votre ...
... lieu de notre naissance ; Sans nous vanter , et sans mentir , Nous y trouvions en abondance De quoi soûler nos appétits : Si les gros nous mangeaient , nous mangions les petits Ainsi que l'on fait en France ; Et pour ne pas tenir votre ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
ACHILLE Adieu aime amis amour animaux Arbate assez Baucis beau beauté belle bêtes Boileau Bonaventure Des Périers Bonhomme bruit c'était Cérès Champmeslé chanter charmes chat Château-Thierry cher chose Clymène cœur Contes Cythérée déesse dieu dieux dire dit-il donner doux écrit enfans enfin Esope esprit eût fable faisait femme fils fleurs Fontaine Fouquet François de Maucroix fût gens gloire goût HARPAGÈME homme HORTENSE j'ai j'en jamais jour Jupiter l'Amour l'autre l'un là-dessus laisse Louis Louis Racine loup LYDIE m'en maître malheur MARCHAND MARINETTE Maucroix mieux Mlle Mme de Bouillon Molière monde monsieur mort n'avait n'en n'était nymphes Oronte ouvrage parler passer PATROCLE peine pensée personne Philémon Philémon et Baucis plaire plaisir pleurs poème poète Polyphile prince Psyché qu'un raison regarde rien Roman de Renart s'en Sablière savetier seigneur semble sentiment sera seulement soin songe sorte sujet Taine temple Timante traits trouve Vaux Vénus veux Voilà yeux
Popular passages
Page 212 - Perrette là-dessus saute aussi, transportée: Le lait tombe; adieu veau, vache, cochon, couvée. La dame de ces biens, quittant d'un œil marri Sa fortune ainsi répandue. Va s'excuser à son mari, En grand danger d'être battue.
Page 215 - Tantôt plus, tantôt moins : le mal est que toujours (Et sans cela nos gains seraient assez honnêtes), Le mal est que dans l'an s'entremêlent des jours Qu'il faut chômer ; on nous ruine en fêtes ; L'une fait tort à l'autre ; et monsieur le curé De quelque nouveau saint charge toujours son prône.
Page 109 - La Cigale, ayant chanté Tout l'Été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue. Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la Fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l'Oût, foi d'animal, Intérêt et principal.
Page 320 - Je t'assure que le meilleur de tes amis n'a plus à compter sur quinze jours de vie. Voilà deux mois que je ne sors point, si ce n'est pour aller un peu à l'Académie, afin que cela m'amuse. Hier, comme j'en revenais il me prit, au milieu de la rue du Chantre, une si grande faiblesse que je crus véritablement mourir.
Page 115 - L'invention des arts étant un droit d'aînesse, Nous devons l'apologue à l'ancienne Grèce : Mais ce champ ne se peut tellement moissonner Que les derniers venus n'y trouvent à glaner. La feinte est un pays plein de terres désertes; Tous les jours nos auteurs y font des découvertes.
Page 137 - Ne pleurez point; Trois jours au plus rendront mon âme satisfaite: Je reviendrai dans peu conter de point en point Mes aventures à mon frère; Je le désennuierai. Quiconque ne voit guère N'a guère à dire aussi. Mon voyage dépeint Vous sera d'un plaisir extrême. Je dirai: J'étois là; telle chose m'avint: Vous y croirez être vous-même.
Page 112 - Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un bon naturel : mais quittez ce souci ; Les vents me sont moins qu'à vous redoutables : Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos : Mais attendons la fin.
Page 136 - L'un d'eux, s'ennuyant au logis, Fut assez fou pour entreprendre Un voyage en lointain pays. L'autre lui dit : « Qu'allez-vous faire ? Voulez-vous quitter votre frère ? L'absence est le plus grand des maux : , Non pas pour vous, cruel ! Au moins, que les travaux, Les dangers, les soins du voyage, Changent un peu votre courage.
Page 224 - Ils disent donc Que la bête est une machine ; Qu'en elle tout se fait sans choix et par ressorts. Nul sentiment, point d'âme, en elle tout est corps. Telle est la montre qui chemine A pas toujours égaux, aveugle et sans dessein.
Page 215 - L'argent et sa joie à la fois. Plus de chant ; il perdit la voix Du moment qu'il gagna ce qui cause nos peines. Le sommeil quitta son logis, II eut pour hôtes les soucis, Les soupçons, les alarmes vaines.