La FontainePlon-Nourrit et cie, 1912 - 334 pages |
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... force » . D'Essonnes à la Ferté , en pas- sant par Nogent - l'Artaud , ce ne sont que rus coulant sous les saules , boqueteaux disposés sur les pentes et de frais villages aux vieux noms poétiques : Saacy , Charly , Saul- I chery , Azy ...
... force » . D'Essonnes à la Ferté , en pas- sant par Nogent - l'Artaud , ce ne sont que rus coulant sous les saules , boqueteaux disposés sur les pentes et de frais villages aux vieux noms poétiques : Saacy , Charly , Saul- I chery , Azy ...
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... pensa perdre le souffle à force d'admirer . « L'herbe l'au- rait portée , dit - il , ... une fleur n'aurait pas Reçu l'empreinte de ses pas . » Mme de Conti était certainement jeune , élancée , fière 56 CHAP . III LA FONTAINE .
... pensa perdre le souffle à force d'admirer . « L'herbe l'au- rait portée , dit - il , ... une fleur n'aurait pas Reçu l'empreinte de ses pas . » Mme de Conti était certainement jeune , élancée , fière 56 CHAP . III LA FONTAINE .
Page 67
... force châteaux : je n'en dirai mot , ce serait une œuvre infinie . Seulement nous passâmes auprès du Plessis - Pâté ( 3 ) , et ( 1 ) Contrairement à ce qu'écrit La Fontaine , Montlhéri a été bâti par Thibault File - étoupe . ( 2 ) ...
... force châteaux : je n'en dirai mot , ce serait une œuvre infinie . Seulement nous passâmes auprès du Plessis - Pâté ( 3 ) , et ( 1 ) Contrairement à ce qu'écrit La Fontaine , Montlhéri a été bâti par Thibault File - étoupe . ( 2 ) ...
Page 70
... force les parens du gentilhomme s'y opposèrent ; ils n'y eussent pourtant rien gagné , si Cloton ne se fût mise de la partie ; l'amant mourut à l'armée , où il commandait un régiment . Les dernières actions de sa vie et ses derniers ...
... force les parens du gentilhomme s'y opposèrent ; ils n'y eussent pourtant rien gagné , si Cloton ne se fût mise de la partie ; l'amant mourut à l'armée , où il commandait un régiment . Les dernières actions de sa vie et ses derniers ...
Page 81
... force bustes et force statues , la plupart antiques ; comme vous pourriez dire des Jupiters et des Apollons , des Bacchus , des Mercures , et autres gens de pareille étoffe ; car , pour les dieux , je les connais bien , mais pour les ...
... force bustes et force statues , la plupart antiques ; comme vous pourriez dire des Jupiters et des Apollons , des Bacchus , des Mercures , et autres gens de pareille étoffe ; car , pour les dieux , je les connais bien , mais pour les ...
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ACHILLE Adieu aime amis amour animaux Arbate assez Baucis beau beauté belle bêtes Boileau Bonaventure Des Périers Bonhomme bruit c'était Cérès Champmeslé chanter charmes chat Château-Thierry cher chose Clymène cœur Contes Cythérée déesse dieu dieux dire dit-il donner doux écrit enfans enfin Esope esprit eût fable faisait femme fils fleurs Fontaine Fouquet François de Maucroix fût gens gloire goût HARPAGÈME homme HORTENSE j'ai j'en jamais jour Jupiter l'Amour l'autre l'un là-dessus laisse Louis Louis Racine loup LYDIE m'en maître malheur MARCHAND MARINETTE Maucroix mieux Mlle Mme de Bouillon Molière monde monsieur mort n'avait n'en n'était nymphes Oronte ouvrage parler passer PATROCLE peine pensée personne Philémon Philémon et Baucis plaire plaisir pleurs poème poète Polyphile prince Psyché qu'un raison regarde rien Roman de Renart s'en Sablière savetier seigneur semble sentiment sera seulement soin songe sorte sujet Taine temple Timante traits trouve Vaux Vénus veux Voilà yeux
Popular passages
Page 212 - Perrette là-dessus saute aussi, transportée: Le lait tombe; adieu veau, vache, cochon, couvée. La dame de ces biens, quittant d'un œil marri Sa fortune ainsi répandue. Va s'excuser à son mari, En grand danger d'être battue.
Page 215 - Tantôt plus, tantôt moins : le mal est que toujours (Et sans cela nos gains seraient assez honnêtes), Le mal est que dans l'an s'entremêlent des jours Qu'il faut chômer ; on nous ruine en fêtes ; L'une fait tort à l'autre ; et monsieur le curé De quelque nouveau saint charge toujours son prône.
Page 109 - La Cigale, ayant chanté Tout l'Été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue. Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la Fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l'Oût, foi d'animal, Intérêt et principal.
Page 320 - Je t'assure que le meilleur de tes amis n'a plus à compter sur quinze jours de vie. Voilà deux mois que je ne sors point, si ce n'est pour aller un peu à l'Académie, afin que cela m'amuse. Hier, comme j'en revenais il me prit, au milieu de la rue du Chantre, une si grande faiblesse que je crus véritablement mourir.
Page 115 - L'invention des arts étant un droit d'aînesse, Nous devons l'apologue à l'ancienne Grèce : Mais ce champ ne se peut tellement moissonner Que les derniers venus n'y trouvent à glaner. La feinte est un pays plein de terres désertes; Tous les jours nos auteurs y font des découvertes.
Page 137 - Ne pleurez point; Trois jours au plus rendront mon âme satisfaite: Je reviendrai dans peu conter de point en point Mes aventures à mon frère; Je le désennuierai. Quiconque ne voit guère N'a guère à dire aussi. Mon voyage dépeint Vous sera d'un plaisir extrême. Je dirai: J'étois là; telle chose m'avint: Vous y croirez être vous-même.
Page 112 - Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un bon naturel : mais quittez ce souci ; Les vents me sont moins qu'à vous redoutables : Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos : Mais attendons la fin.
Page 136 - L'un d'eux, s'ennuyant au logis, Fut assez fou pour entreprendre Un voyage en lointain pays. L'autre lui dit : « Qu'allez-vous faire ? Voulez-vous quitter votre frère ? L'absence est le plus grand des maux : , Non pas pour vous, cruel ! Au moins, que les travaux, Les dangers, les soins du voyage, Changent un peu votre courage.
Page 224 - Ils disent donc Que la bête est une machine ; Qu'en elle tout se fait sans choix et par ressorts. Nul sentiment, point d'âme, en elle tout est corps. Telle est la montre qui chemine A pas toujours égaux, aveugle et sans dessein.
Page 215 - L'argent et sa joie à la fois. Plus de chant ; il perdit la voix Du moment qu'il gagna ce qui cause nos peines. Le sommeil quitta son logis, II eut pour hôtes les soucis, Les soupçons, les alarmes vaines.