La FontainePlon-Nourrit et cie, 1912 - 334 pages |
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Page 286
... Harpagème qui a formé le projet d'épouser sa pupille Hor- tense ; mais Hortense aime Timante ; c'est pour éprouver les véritables sentiments de la jeune fille à la fois que pour lui offrir le mariage , que le barbon , grimé en docteur ...
... Harpagème qui a formé le projet d'épouser sa pupille Hor- tense ; mais Hortense aime Timante ; c'est pour éprouver les véritables sentiments de la jeune fille à la fois que pour lui offrir le mariage , que le barbon , grimé en docteur ...
Page 287
... HARPAGÈME ( A Marinette . ) ( A Hortense . ) Des sièges ... Seyez - vous . ( A Marinette . ) Regardez - moi ... Fermez ce faux jour . Laissez - nous . ( Marinette sort . ) SCÈNE IX . – HARPAGÈME , HORTENSE HARPAGÈME Ma cousine ཞུས ཞུ.
... HARPAGÈME ( A Marinette . ) ( A Hortense . ) Des sièges ... Seyez - vous . ( A Marinette . ) Regardez - moi ... Fermez ce faux jour . Laissez - nous . ( Marinette sort . ) SCÈNE IX . – HARPAGÈME , HORTENSE HARPAGÈME Ma cousine ཞུས ཞུ.
Page 288
Jean de La Fontaine Edmond Pilon. SCÈNE IX . – HARPAGÈME , HORTENSE HARPAGÈME Ma cousine , en ces lieux , de la part d ' Harpagème , Je viens pour vous porter à l'hymen . Il vous aime . Dès vos plus jeunes ans on vous marqua ce choix ...
Jean de La Fontaine Edmond Pilon. SCÈNE IX . – HARPAGÈME , HORTENSE HARPAGÈME Ma cousine , en ces lieux , de la part d ' Harpagème , Je viens pour vous porter à l'hymen . Il vous aime . Dès vos plus jeunes ans on vous marqua ce choix ...
Page 289
... HARPAGÈME , à part Je déteste ... HORTENSE Quoi donc ! ce franc aveu vous déplaît - il ? Comment ! Est - ce que je m'explique à vous trop hardiment ? Non pas , non pas . HARPAGÈME HORTENSE Je vais me contraindre . HARPAGÈME Au contraire ...
... HARPAGÈME , à part Je déteste ... HORTENSE Quoi donc ! ce franc aveu vous déplaît - il ? Comment ! Est - ce que je m'explique à vous trop hardiment ? Non pas , non pas . HARPAGÈME HORTENSE Je vais me contraindre . HARPAGÈME Au contraire ...
Page 290
... Harpagème avait dit vrai . HARPAGÈME , à part HORTENSE J'enrage ! Cet homme enfin , monsieur , dont Timante est le nom , Me fit voir en ses yeux qu'il m'aimait tout de bon . Il est jeune , bien fait ; sa personne rassemble Dans leur ...
... Harpagème avait dit vrai . HARPAGÈME , à part HORTENSE J'enrage ! Cet homme enfin , monsieur , dont Timante est le nom , Me fit voir en ses yeux qu'il m'aimait tout de bon . Il est jeune , bien fait ; sa personne rassemble Dans leur ...
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Common terms and phrases
ACHILLE Adieu aime amis amour animaux Arbate assez Baucis beau beauté belle bêtes Boileau Bonaventure Des Périers Bonhomme bruit c'était Cérès Champmeslé chanter charmes chat Château-Thierry cher chose Clymène cœur Contes Cythérée déesse dieu dieux dire dit-il donner doux écrit enfans enfin Esope esprit eût fable faisait femme fils fleurs Fontaine Fouquet François de Maucroix fût gens gloire goût HARPAGÈME homme HORTENSE j'ai j'en jamais jour Jupiter l'Amour l'autre l'un là-dessus laisse Louis Louis Racine loup LYDIE m'en maître malheur MARCHAND MARINETTE Maucroix mieux Mlle Mme de Bouillon Molière monde monsieur mort n'avait n'en n'était nymphes Oronte ouvrage parler passer PATROCLE peine pensée personne Philémon Philémon et Baucis plaire plaisir pleurs poème poète Polyphile prince Psyché qu'un raison regarde rien Roman de Renart s'en Sablière savetier seigneur semble sentiment sera seulement soin songe sorte sujet Taine temple Timante traits trouve Vaux Vénus veux Voilà yeux
Popular passages
Page 212 - Perrette là-dessus saute aussi, transportée: Le lait tombe; adieu veau, vache, cochon, couvée. La dame de ces biens, quittant d'un œil marri Sa fortune ainsi répandue. Va s'excuser à son mari, En grand danger d'être battue.
Page 215 - Tantôt plus, tantôt moins : le mal est que toujours (Et sans cela nos gains seraient assez honnêtes), Le mal est que dans l'an s'entremêlent des jours Qu'il faut chômer ; on nous ruine en fêtes ; L'une fait tort à l'autre ; et monsieur le curé De quelque nouveau saint charge toujours son prône.
Page 109 - La Cigale, ayant chanté Tout l'Été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue. Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la Fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l'Oût, foi d'animal, Intérêt et principal.
Page 320 - Je t'assure que le meilleur de tes amis n'a plus à compter sur quinze jours de vie. Voilà deux mois que je ne sors point, si ce n'est pour aller un peu à l'Académie, afin que cela m'amuse. Hier, comme j'en revenais il me prit, au milieu de la rue du Chantre, une si grande faiblesse que je crus véritablement mourir.
Page 115 - L'invention des arts étant un droit d'aînesse, Nous devons l'apologue à l'ancienne Grèce : Mais ce champ ne se peut tellement moissonner Que les derniers venus n'y trouvent à glaner. La feinte est un pays plein de terres désertes; Tous les jours nos auteurs y font des découvertes.
Page 137 - Ne pleurez point; Trois jours au plus rendront mon âme satisfaite: Je reviendrai dans peu conter de point en point Mes aventures à mon frère; Je le désennuierai. Quiconque ne voit guère N'a guère à dire aussi. Mon voyage dépeint Vous sera d'un plaisir extrême. Je dirai: J'étois là; telle chose m'avint: Vous y croirez être vous-même.
Page 112 - Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un bon naturel : mais quittez ce souci ; Les vents me sont moins qu'à vous redoutables : Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos : Mais attendons la fin.
Page 136 - L'un d'eux, s'ennuyant au logis, Fut assez fou pour entreprendre Un voyage en lointain pays. L'autre lui dit : « Qu'allez-vous faire ? Voulez-vous quitter votre frère ? L'absence est le plus grand des maux : , Non pas pour vous, cruel ! Au moins, que les travaux, Les dangers, les soins du voyage, Changent un peu votre courage.
Page 224 - Ils disent donc Que la bête est une machine ; Qu'en elle tout se fait sans choix et par ressorts. Nul sentiment, point d'âme, en elle tout est corps. Telle est la montre qui chemine A pas toujours égaux, aveugle et sans dessein.
Page 215 - L'argent et sa joie à la fois. Plus de chant ; il perdit la voix Du moment qu'il gagna ce qui cause nos peines. Le sommeil quitta son logis, II eut pour hôtes les soucis, Les soupçons, les alarmes vaines.