Leçons française de littérature et de moraleHauman, 1835 |
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... pleurs . Ils s'arrêtent au pied du tombeau , le re- gardent , l'arrosent de leurs larmes . Alors l'un d'eux tire son épée , l'applique au marbre de la tombe . Saisi du même sentiment , son compagnon imite son exemple . Tous deux ensuite ...
... pleurs . Ils s'arrêtent au pied du tombeau , le re- gardent , l'arrosent de leurs larmes . Alors l'un d'eux tire son épée , l'applique au marbre de la tombe . Saisi du même sentiment , son compagnon imite son exemple . Tous deux ensuite ...
Page 28
... pleurs , ces vieillards soucieux ? Je les vois qui cherchent un asile dans les roches caverneuses de la contrée , tandis qu'au fond de la vallée , luttant contre le débordement des eaux , et mêlant les sons aigus de leurs cors rustiques ...
... pleurs , ces vieillards soucieux ? Je les vois qui cherchent un asile dans les roches caverneuses de la contrée , tandis qu'au fond de la vallée , luttant contre le débordement des eaux , et mêlant les sons aigus de leurs cors rustiques ...
Page 40
... pleurs , et qu'elle appelle par son éclat et par ses parfums la main des amants . Quelquefois une cantharide , nichée dans sa corolle , en relève le carmin par son vert d'émeraude : c'est alors que cette fleur semble nous dire que , sym ...
... pleurs , et qu'elle appelle par son éclat et par ses parfums la main des amants . Quelquefois une cantharide , nichée dans sa corolle , en relève le carmin par son vert d'émeraude : c'est alors que cette fleur semble nous dire que , sym ...
Page 88
... pleurs , livré lui - même à l'activité du poi- son qui dévore tout à ses yeux , il l'affoiblit . ille détourne ; ce qu'il ne peut sauver , il le console , il le porte jusque dans le sein de Dieu ; nuls témoins , nuls spectateurs , rien ...
... pleurs , livré lui - même à l'activité du poi- son qui dévore tout à ses yeux , il l'affoiblit . ille détourne ; ce qu'il ne peut sauver , il le console , il le porte jusque dans le sein de Dieu ; nuls témoins , nuls spectateurs , rien ...
Page 96
François Noel. Fables et Allégories . pleurs . CHATEAUBRIAND . Les Natchez , liv . 11. Là , pour nous enchanter tout est mis en usage , Tout prend un corps , une ame , un esprit , un visage . BOILEAU . Art poét . , chant III . OBJET ET ...
François Noel. Fables et Allégories . pleurs . CHATEAUBRIAND . Les Natchez , liv . 11. Là , pour nous enchanter tout est mis en usage , Tout prend un corps , une ame , un esprit , un visage . BOILEAU . Art poét . , chant III . OBJET ET ...
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Common terms and phrases
AGAMEMNON ATHALIE avoient avoit beau beauté BERNARDIN DE SAINT-PIERRE BOILEAU Bossuet brillant bruit Buffon chant charme choses Cicéron ciel cieux Cinna cœur combats connoître courage Démosthène Dieu dieux discours divin douleur doux éclat enfants enfin ennemis ÉROSTRATE Eschyle esprit étoient étoit Euripide fils fleurs flots foible foiblesse force François François Ier front fureur génie gloire goût grandeur Grèce guerre Henri IV héros heureux Homère hommes humain j'ai jamais jour l'ame l'amour l'art l'esprit l'homme l'univers laisse loin lois long-temps Louis Louis XIV madame de Sévigné main malheureux MARMONTEL MASSILLON ment mœurs monde mort mortels n'étoit nature noble paroît passions pensée père peuple philosophie plaisir plaisirs pleurs poésie poète prince qu'un quelquefois Racine regards rien rois Rome sage sang scène semble sentiment seroit seul siècle soleil Sophocle sort souvent style sublime sujet talents tantôt terre tombeau triste trône Turenne vertu voit voix Voltaire Voyez yeux zéphyrs
Popular passages
Page 118 - Conscience! conscience! instinct divin, immortelle et céleste voix; guide assuré d'un être ignorant et borné, mais intelligent et libre; juge infaillible du bien et du mal, qui rends l'homme semblable à Dieu, c'est toi qui fais l'excellence de sa nature et la moralité de ses actions...
Page 116 - L'ÉVANGILE. La majesté des Écritures m'étonne ; la sainteté de l'Évangile parle à mon cœur. Voyez les livres des philosophes avec toute leur pompe ; qu'ils sont petits près de celui-là ! Se peut-il qu'un livre , à la fois si sublime et si simple, soit l'ouvrage des hommes? Se peut-il que celui dont il fait l'histoire ne soit qu'un homme lui-même ? Est-ce là le ton d'un enthousiaste ou d'un ambitieux sectaire?
Page 166 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs ; Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs.
Page 166 - J'ai passé les premiers à peine. Au banquet de la vie à peine commencé Un instant seulement mes lèvres ont pressé La coupe en mes mains encor pleine. Je ne suis qu'au printemps, je veux voir la moisson, Et, comme le soleil, de saison en saison, Je veux achever mon année. Brillante sur ma tige, et l'honneur du jardin, Je n'ai vu luire encor que les feux du matin ; Je veux achever ma journée.
Page 122 - Nous avons beau enfler nos conceptions au delà des espaces imaginables, nous n'enfantons que des atomes, au prix de la réalité des choses. C'est une sphère infinie dont le centre est partout, la circonférence nulle part.
Page 143 - ... c'est plutôt une gloire céleste qu'une lumière : elle pénètre plus subtilement les corps les plus épais, que les rayons du soleil ne pénètrent le plus pur cristal ; elle n'éblouit jamais ; au contraire, elle fortifie les yeux, et porte dans le fond de l'âme je ne sais quelle sérénité.
Page 89 - Qui, brûlants et priants, demandent chaque jour Et prêchent la retraite au milieu de la cour ; Qui savent ajuster leur zèle avec leurs vices, Sont prompts, vindicatifs, sans foi, pleins d'artifices, Et, pour perdre quelqu'un, couvrent insolemment De l'intérêt du Ciel leur fier ressentiment...
Page 4 - Quelque sujet qu'on traite, ou plaisant ou sublime, Que toujours le bon sens s'accorde avec la rime. L'un l'autre vainement ils semblent se haïr : La rime est une esclave et ne doit qu'obéir. Lorsqu'à la bien chercher d'abord on s'évertue, L'esprit à la trouver aisément s'habitue ; Au joug de la raison sans peine elle fléchit , Et , loin de la gêner, la sert et l'enrichit.
Page 4 - N'offrez rien au lecteur que ce qui peut lui plaire. Ayez pour la cadence une oreille sévère ; Que toujours dans vos vers le sens coupant les mots Suspende l'hémistiche, en marque le repos.
Page 178 - France, mais aujourd'hui obscurcies et couvertes de votre douleur comme d'un nuage ; venez voir le peu qui nous reste d'une si auguste naissance, de tant de grandeur, de tant de gloire. Jetez les yeux de toutes parts : voilà tout ce qu'a pu faire la magnificence et la piété...