Au jour des cruelles épreuves , quand on croirait que le cœur est desséché à force de dédaigner ou à force de souffrir , tout à coup on se rappelle , comme dans une vision enchantée, ces mille riens qu'on ne pourrait pas raconter et qui font... L'ouvrière - Page 88by Jules Simon - 1862 - 444 pagesFull view - About this book
| L. Pylodet - French literature - 1867 - 330 pages
...à notre insu, qui nous écarte du mal sans que nous ayons la peine de faire un effort et nous porta vers le bien comme par une secrète analogie de nature....force de souffrir, tout à coup on se rappelle, comme dang une vision enchantée, ces mille riens qu'on ne pourrait pas raconter et qui font tressaillir,... | |
| Frederick Leypoldt, L. Pylodet - French literature - 1870 - 324 pages
....console à notre insu, qui nous écarte du mal sans que nous ayons la peine de faire un effort et nous porte vers le bien comme par une secrète analogie...jour des cruelles épreuves, quand on croirait que le coaur est desséché à force de dédaigner ou à force de souffrir, tout à coup on se rappelle, comme... | |
| 1877 - 678 pages
...console à notre insu, qui nous écarte du mal sans que nous ayons la peine de faire un effort et nous porte vers le bien comme par une secrète analogie de nature. Au jour des cruelles ¿preuves, quand on croirait que le cœur est desséché à force de dédaigner ou à force de souffrir,... | |
| Wilhelm Viëtor - Languages, Modern - 1896 - 658 pages
...di'diiiijner ou à force de souffrir, tout à coup, on se nipiie/le, comme dinix une rision enchantée, сея mille riens qu'on ne pourrait pas raconter et qui...tressaillir, ces pleurs, ces baisers, ce cher sourire, ce (/rare et doux enseignement murmuré d'une voix si touchante. La source vive de la morale n'est que... | |
| Wilhelm Viëtor - Languages, Modern - 1896 - 732 pages
...écarte du mal sans que nous ayons la peine de faire un effort et nous porte rers le bien comme pur une secrète analogie de nature. Au jour des cruelles épreuves, quand on croirait que le coeur est ilesxfthé à force de dédaigner ou <) force de souffrir, tout à coup, on se rappelle,... | |
| University College, Galway - 1897 - 394 pages
...console à notre insu, qui nous écarte du mal sans que nous ayons la peine de faire un effort, et nous porte vers le bien comme par une secrète analogie...vision enchantée, ces mille riens qu'on ne pourrait raconter et qui font tressaillir : ces pleurs, ces baisers, ce cher sourire, ce grave et doux enseignement... | |
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