 | François Moysant - 1803 - 438 pages
...humains, mon frère, que voilà! ORGON. Ah ! si vous aviez vu comme j'en fis rencontre, Vous auriez pris pour lui l'amitié que je montre. Chaque jour à l'église...poussoit sa prière; II faisoit des soupirs, de grands élancemens, Et baisoit humblement la terre à tous momens ; Et lorsque je sortois, il me devançoit... | |
 | Molière - 1821 - 488 pages
...l'église il venoit , d'un air doux , Tout vis-à-vis de moi se mettre à deux genoux. Il attiroit les yeux de l'assemblée entière, Par l'ardeur dont au ciel il poussoit sa prière; Il faisoit des soupirs, de grands élancemens, Et baisoit humblement la terre à tous momens ; Et lorsque... | |
 | Molière - French drama - 1822 - 338 pages
...rencontre , Vous auriez pris pour lui l'amitié que je montra Chaque jour à l'église il venait , d'un air doux , Tout vis-à-vis de moi se mettre à...l'assemblée entière Par l'ardeur dont au Ciel il poussait sa prière ; II faisait des soupirs, de grands élancemens, Et haisait humblement la terre... | |
 | Jean Baptiste Poquelin de Molière - 1823 - 376 pages
...à l'église il venoit, d'un air doux , Tout vis-à-vis de moi se mettre à deux genoux. Il attiroit les yeux de l'assemblée entière, Par l'ardeur dont au ciel il poussoit sa prière; Ilfaisoit des soupirs, de grands éjancements, Et baisoit humblement la terre à tous moments : Et... | |
 | Nicolas Gouin Dufief - French language - 1823 - 634 pages
...femme, Que je m'en soucierais autant que de cela. CU. Les sentimens humains, mon frère, que voilà! Il attirait les yeux de l'assemblée entière Par l'ardeur dont au ciel il poussait sa pi ,ii II fesait des soupirs, de grands élancemeus, Et baisait humblement la terte à... | |
 | Molière - 1825 - 414 pages
...à l'église il venoit, d'un air doux, Tout vis-à-vis de moi se mettre à deux genoux. Il attiroit les yeux de l'assemblée entière Par l'ardeur dont au ciel il poussoit sa prière ; Il faisoit des soupirs, de grands élancements, Et baisoit humblement la terre à tous moments :... | |
 | Molière - 1829 - 538 pages
...à l'église il venoit, d'un air doux, Tout vis-à-vis de moi se mettre à deux genoux. Il attiroit les yeux de l'assemblée entière Par l'ardeur dont au ciel il poussoit sa prière; Il faisoit des soupirs, de grands élancements, Et baisoit humblement la terre à tous moments : Et,... | |
 | Scènes - 1829 - 394 pages
...Chaque jour à l'église il venait, d'un air doux, Tout vis-à-vis de moi se mettre à deux genoux, 11 attirait les yeux de l'assemblée entière, Par l'ardeur dont au ciel il poussait sa prière ; II faisait des soupirs, de grands élancemens, Et baisait humblement la terre... | |
 | Pierre François Merlet - 1833 - 624 pages
...fis rencontre, Vous auriez pris pour lui l'amitié que je montre. Chaque jour à l'église il venait d'un air doux, Tout vis-à-vis de moi se mettre à...l'assemblée entière, Par l'ardeur dont au ciel il poussait sa prière; Il faisait des soupirs, de grands élancemens, Et baisait humblement la terre... | |
 | Molière, Jean-Léonor Le Gallois de Grimarest - 1833 - 750 pages
...auriez pris pour lui l'amitié que je montre. Chaque jour à l'église il veuoit , d'un air doux , Toul vis-à-vis de moi se mettre à deux genoux. Il attirait...l'ardeur dont au ciel il poussoit sa prière ; II faisoitdes soupirs, de grands élancements, Et baisoil humblement la terre à tous moments : Et, lorsque... | |
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Ah! si vous aviez vu comme j'en fis rencontre, Vous auriez pris pour lui l'amitié que je montre. Chaque jour à l'église il venait, d'un air doux, Tout vis-à-vis de moi se mettre à deux genoux. Il... 
