Le rire: essai littéraire, moral et psychologique |
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... différences entre ces deux esthé- tiques : 1o le plaisant n'a pas d'idéal ; démonstration de cette proposition fondamentale ; 2 ° le plaisant est senti et jugé par tout le monde avec une compétence et une uniformité qui contrastent avec ...
... différences entre ces deux esthé- tiques : 1o le plaisant n'a pas d'idéal ; démonstration de cette proposition fondamentale ; 2 ° le plaisant est senti et jugé par tout le monde avec une compétence et une uniformité qui contrastent avec ...
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... différence entre les deux termes de notre comparaison provient de ce que le beau ( concret ) est toujours la réalisation , réalisation partielle et im- parfaite , d'un idéal , tandis que le plaisant n'est jamais qu'un désordre . Qu'est ...
... différence entre les deux termes de notre comparaison provient de ce que le beau ( concret ) est toujours la réalisation , réalisation partielle et im- parfaite , d'un idéal , tandis que le plaisant n'est jamais qu'un désordre . Qu'est ...
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essai littéraire, moral et psychologique Louis Philbert. A cette différence s'en ajoute une seconde ; celle - ci est si visible qu'il suffit de l'énoncer pour qu'aussitôt on la reconnaisse , et elle coïncide en fait si exactement avec la ...
essai littéraire, moral et psychologique Louis Philbert. A cette différence s'en ajoute une seconde ; celle - ci est si visible qu'il suffit de l'énoncer pour qu'aussitôt on la reconnaisse , et elle coïncide en fait si exactement avec la ...
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... aurait dû aboutir à quelque chose de meilleur qu'à une nomenclature compliquée et sans pro- fit de seize cas comiques distribués en tableau . tort une différence entre eux du côté des facultés qu'ils 26 INTRODUCTION.
... aurait dû aboutir à quelque chose de meilleur qu'à une nomenclature compliquée et sans pro- fit de seize cas comiques distribués en tableau . tort une différence entre eux du côté des facultés qu'ils 26 INTRODUCTION.
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essai littéraire, moral et psychologique Louis Philbert. tort une différence entre eux du côté des facultés qu'ils intéressent : l'un et l'autre affectent l'intelligence d'abord , et la sensibilité consécutivement ( 1 ) ; mais si tous ...
essai littéraire, moral et psychologique Louis Philbert. tort une différence entre eux du côté des facultés qu'ils intéressent : l'un et l'autre affectent l'intelligence d'abord , et la sensibilité consécutivement ( 1 ) ; mais si tous ...
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Common terms and phrases
agréable analyse assez avons beau Bossuet c'est-à-dire caractère cause cause finale cesse charme chose Chrysale cinq éléments citée des Femmes cœur comédie comique d'imposture comique naïf conscience contraire d'abord désordre différence dire distinction doit donner dupe effet éléments erreur esprit esthétique exemple façon faculté finesse gaieté généralisation gens George Dandin Gil Blas goût Harpagon Herbert Spencer homme idées impostures impression intellectuelle intelli intelligence jamais joie juste justesse justice Kant l'autre l'erreur l'esprit l'esthétique l'homme l'idée laisse ment mieux mique Mme de Sévigné Molière montre morale mots n'avons naïveté nature naturel nécessaire observations œuvre musicale Orgon parler particulièrement passion peine pensée personnage personne peuvent physiologie pourtant première présente presque produit propre pure qu'un raison remarquer ridicule rien rire risible sait Scapin scène science semble sens sensibilité sentiment serait seulement Sganarelle simple sion sorte sottise sourire souvent spectateur spirituel subtilité surtout Tartuffe tion tromper trouve vérité veut voilà Voltaire vrai
Popular passages
Page 352 - Souvent un peu de vérité Se mêle au plus grossier mensonge, Cette nuit, dans l'erreur d'un songe, Au rang des rois j'étais monté. Je vous aimais, princesse, et j'osais vous le dire! Les dieux à mon réveil ne m'ont pas tout ôté ; Je n'ai perdu que mon empire.
Page 145 - Mais encor ? - Le collier dont je suis attaché De ce que vous voyez est peut-être la cause. - Attaché ? dit le Loup : vous ne courez donc pas Où vous voulez ? - Pas toujours, mais qu'importé ? - Il importe si bien, que de tous vos repas Je ne veux en aucune sorte, Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor.
Page 293 - Sa pensée n'osa aller plus loin. Madame, il se porte bien de sa blessure. — Il ya eu un combat ! Et mon fils ? — On ne lui répondit rien. — Ah, mademoiselle, mon fils, mon cher enfant, répondez-moi, est-il mort ? — Madame, je n'ai point de paroles pour vous répondre.
Page 192 - Le voilà qui enfile l'avenue. Bientôt il la trouve longue, après il va aux arbres et n'en trouve plus. Il s'aperçoit qu'il a passé le bout et revient à tâtons chercher les arbres. Il les suit à l'estime, puis croise et ne trouve point sa maison. Il ne comprend point cette aventure. La nuit se passe dans cet exercice, le jour arrive et devient bientôt assez clair pour aviser sa maison. Il ne voit rien, il se frotte les yeux, il cherche d'autres objets pour découvrir si c'est la faute de...
Page 105 - Elles trouvent sous leur plume des tours et des expressions qui souvent en nous ne sont l'effet que d'un long travail et d'une pénible recherche : elles sont heureuses dans le choix des termes , qu'elles placent si juste, que, tout connus qu'ils sont, ils ont le charme de la nouveauté, et semblent être faits seulement pour l'usage où elles les mettent.
Page 248 - C'est un homme.. .qui. ..ah!. ..un homme... un homme enfin. Qui suit bien ses leçons goûte une paix profonde , Et comme du fumier regarde tout le monde.
Page 192 - A force d'aller, de venir, et de porter sa vue de tous côtés, il aperçoit à une assez grande distance de l'avenue, une maison qui ressemble à la sienne comme deux gouttes d'eau. Il ne...
Page 306 - Ah! si vous aviez vu comme j'en fis rencontre, Vous auriez pris pour lui l'amitié que je montre. Chaque jour à l'église il venait, d'un air doux, Tout vis-à-vis de moi se mettre à deux genoux. Il...
Page 137 - Nous ne nous contentons pas de la vie que nous avons en nous et en notre propre être : nous voulons vivre dans l'idée des autres d'une vie imaginaire, et nous nous efforçons pour cela de paraître.
Page 192 - Tout cela fut exécuté encore plus tôt que la livrée faite, et cependant le tailleur doucement gardé à vue de peur de quelque indiscrétion. Enfin la besogne achevée de part et d'autre, Charnacé amuse son homme jusqu'à la nuit bien noire, le paye et le renvoie content. Le voilà qui enfile l'avenue.