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IL FAUT QUE LE MAL CÈDE.

Sur l'air de la Boulangère.

Donn'-moi ton bras que j'te guérisse, Car tu m'as

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tu m'as l'air ma- la- de, Lon la, Car tu m'as l'air ma

1-de Lon la. Car tu m'as l'air ma- la de.

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Donn'-moi ton bras que j' te guérisse,

Car tu m'as l'air malade,

Lon la,

Car tu m'as l'air malade.

Cueille la plante que yoilà,

C'est un fort bon remède,

C'est un fort bon remède,
Lon la,

Il faut que le mal cède.

Danse sur le pied que voilà,
C'est un fort bon remède,
C'est un fort bon remède,
Lon la,

Il faut que le mal cède.

Frotte bien l'œil que voilà,

C'est un fort bon remède,
C'est un fort bon remède,
Lon la,

Il faut que le mal cède.

Mon baiser te redressera,

C'est un fort bon remède,
C'est un fort bon remède,
Lon la,

Il faut que le mal cède.

Dans cette ronde, chacune des jeunes filles simule une infirmité, et celle qui dirige la ronde, en chantant, doit trouver un remède à cette infirmité, jusqu'au couplet de la Bossue, qui termine la ronde.

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LA BONNE AVENTURE.

Je suis un pe- tit pou - pon De

bel-le figu

re, Qui aime bien les bon-bons Et les con- fitu

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res; Si vous voulez m'en don-ner, Je sau- rai bien les man

ger. La bonne aventure, oh! gai! La bonne aventu

Je suis un petit poupon

De belle figure,
Qui aime bien les bonbons

Et les confitures;

Si vous voulez m'en donner,

Je saurai bien les manger.

La bonne aventure,

Oh! gai!

La bonne aventure.

"" re.

Lorsque les petits garçons
Sont gentils et sages,

On leur donne des bonbons,
De joli's images;

Mais quand ils se font gronder,
C'est le fouet qu'il faut donner.
La triste aventure,
Oh! gai!

La triste aventure.

Je serai sage et bien bon,
Pour plaire à ma mère;
Je saurai bien ma leçon,

Pour plaire à mon père;
Je veux bien les contenter,
Et s'ils veulent m'embrasser,

La bonne aventure,
Oh! gai!

La bonne aventure.

Nous n'aurions peut-être pas donné une place à cette ronde très-enfantine, si elle ne rappelait un vieil air sur lequel on a composé diverses chansons. Il paraît que la plus ancienne de ces chansons fut chantée par Antoine de Navarre, duc de Vendôme, qui résidait au château de la Bonnaventure, près le Gué-du-Loir; d'après cela, le refrain devrait être ainsi écrit: La bonne aventure au gué; et non Oh! gai! comme on le trouve souvent.

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Où est la Margue- ri - te? Oh! gai! oh! gai! oh!

gai! Où est la Margue-ri- te? Oh! gai! franc ca-va- lier.

Où est la Marguerite?

Oh! gai! oh! gai! oh! gai!
Où est la Marguerite?

Oh! gai! franc cavalier.

Elle est dans son château,

Oh! gai! etc.

Elle est dans son château,

Oh! gai! franc cavalier.

Ne peut-on pas la voir?

Oh! gai! etc.

Ne peut-on pas la voir ?

Oh! gai! franc cavalier.

Les murs en sont trop hauts,

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