Histoire de France depuis les temps les plus reculés jusqu'en 1789, Volume 12Furne, 1858 - France |
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2º sér anglais Anne d'Autriche août armée arrêt avaient Bacon Beaufort Bordeaux bourgeois c'était campagne cardinal Catalogne catholiques cavalerie chambre Saint-Louis chef chose coadjuteur comte conseil corps cour Cromwell déclaration députés Descartes devant Dieu don Luis duc d'Orléans Dunkerque Enghien ennemis Espagnols eût Flandre force française Freybourg Fronde fût garnison Gaston général gens gouvernement gouverneur Gramont guerre Guyenne Hollande jésuites Journal du Parlement jours juillet l'archiduc l'armée l'empereur l'ennemi l'Espagne l'esprit l'état l'homme l'Hôtel laisser Lenet Longueville Lorraine Louis XIV madame de Motteville maréchal maréchal du Plessis Mazarin Mém ment Michaud mille hommes ministre monde Montglat morale moyen âge Münster n'avait n'était négociations paix Pascal passé passion pensée peuple philosophie politique premier président prince de Condé principe prit protestants Provinces-Unies raison reine reste Retz Rhin Richelieu rien Rocroi royale s'était saint science secours sentiment septembre seulement siècle siége soldats sorte Suède Suédois tion traité de Westphalie troupes Turenne voulait
Popular passages
Page 108 - Ce chien est à moi, disaient ces pauvres enfants; c'est là ma place au soleil : voilà le commencement et l'image de l'usurpation de toute la terre.
Page 33 - ... par laquelle, connaissant la force et les actions du feu, de l'eau, de l'air, des astres, des cieux et de tous les autres corps qui nous environnent aussi distinctement que nous connaissons les divers métiers de nos artisans, nous les pourrions employer en même façon à tous les usages auxquels ils sont propres, et ainsi nous rendre comme maîtres et possesseurs de la nature.
Page 19 - ... ce qu'on nomme le bon sens ou la raison, est naturellement égale en tous les hommes ; et ainsi , que la diversité de nos opinions ne vient pas de ce que les uns sont plus raisonnables que les autres, mais seulement de ce que nous conduisons nos pensées par diverses voies, et ne considérons pas les mêmes choses. Car ce n'est pas assez d'avoir l'esprit bon, mais le principal est de l'appliquer bien.
Page 36 - Premièrement, j'ai tâché de trouver en général les principes ou premières causes de tout ce qui est ou qui peut être dans le monde, sans rien considérer pour cet effet que Dieu seul, qui l'a créé, ni les tirer d'ailleurs que de certaines semences de vérités qui sont naturellement en nos âmes.
Page 86 - ... entre elles, et en même temps lui défendit d'en parler davantage et d'y penser jamais. Mais cet esprit qui ne...
Page 95 - Feu. Dieu d'Abraham, Dieu d'Isaac, Dieu de Jacob. non des philosophes et des savants.
Page 36 - ... trouvé des cieux, des astres, une terre, et même sur la terre de l'eau, de l'air, du feu, des minéraux, et quelques autres telles choses qui sont les plus communes de toutes et les plus simples, et par conséquent les plus aisées à connaître.
Page 20 - Le troisième, de conduire par ordre mes pensées, en commençant par les objets les plus simples et les plus, aisés à connaître, pour monter peu à peu comme par degrés jusques à la connaissance des plus composés, et supposant même de l'ordre entre ceux qui ne se précèdent point naturellement les uns les autres.
Page 32 - Toute la philosophie est comme un arbre, dont les racines sont la métaphysique, le tronc est la physique, et les branches qui sortent de ce tronc sont toutes les autres sciences, qui se réduisent à trois principales, la médecine, la mécanique et la morale...
Page 33 - Ce qui n'est pas seulement à désirer pour l'invention d'une infinité d'artifices qui feraient qu'on jouirait sans aucune peine des fruits de la terre et de toutes les commodités qui s'y trouvent...