Œuvres complètes de Lamartine: Histoire de girondinsL'auteur, 1861 |
Common terms and phrases
20 juin âme amis appartements applaudissements armée armes avaient baïonnettes Barbaroux bataillons bras Brissot C'était Camille Desmoulins camp canon Carrousel château chef citoyens clubs cœur commandant conjurés conseil conspirateurs constitution constitutionnel coup cour crime cris Danton décret députés devant dévouement dit-il duc d'Orléans duc de Brunswick Dumouriez enfants ennemis eût factieux factions famille royale faubourgs Fayette fédérés femmes fenêtres force fortune foule garde nationale général Gensonné geste Girondins grenadiers Guadet guerre heures hommes Jacobins jardin jeune jour l'armée l'Assemblée Lessart liberté Louis XVI lui-même Madame Élisabeth madame Roland main marche Marseillais masses menace ment ministres Mirabeau monarchie mort municipalité n'avait nation nuit officiers outrages palais paroles passer patrie patriotisme pavillon de Flore Pétion peuple politique populaire porte poste prince princesse Prusse rassemblement reine répondit Révolution Robespierre Roederer royauté sabre salle sang Santerre secret sentiment seul soldats sort Suisses tête tion tribune trône troupes Tuileries vengeance Vergniaud voix
Popular passages
Page 245 - Français, pour nous, ah ! quel outrage ! Quels transports il doit exciter ! C'est nous qu'on ose méditer De rendre à l'antique esclavage ! Aux armes, citoyens ! etc. Quoi ! ces cohortes étrangères Feraient la loi dans nos foyers...
Page 247 - Nous entrerons dans la carrière Quand nos aînés n'y seront plus ; Nous y trouverons leur poussière Et la trace de leurs vertus ! Bien moins jaloux de leur survivre Que de partager leur cercueil, Nous aurons le sublime orgueil De les venger ou de les suivre ! .... Aux armes, citoyens ! etc.
Page 245 - Allons, enfants de la patrie, Le jour de gloire est arrivé ! Contre nous de la tyrannie L'étendard sanglant est levé ! Entendez-vous, dans les campagnes, Mugir ces féroces soldats ? Ils viennent jusque dans nos bras Égorger vos fils, vos compagnes.
Page 412 - Sire," répondit Vergniaud qui occupait le fauteuil, "vous pouvez compter sur la fermeté de l'assemblée nationale ; ses membres ont juré de mourir en soutenant les droits du peuple et les autorités constituées.
Page 284 - Serait-il vrai qu'on redoute nos triomphes? Est-ce du sang de l'armée de Coblentz ou du nôtre qu'on est avare? Si le fanatisme des prêtres menace de nous livrer à la fois aux déchirements de la guerre civile et à...
Page 288 - Constitution ; il est vrai enfin que la contrerévolution se fait, que le despotisme va remettre entre mes mains son sceptre de fer, que je vous en écraserai, que vous allez ramper, que je vous punirai d'avoir eu l'insolence de vouloir être libres, mais j'ai fait...
Page 287 - Si le Roi se met à la tête d'une armée et en dirige les forces contre la nation, ou s'il ne s'oppose pas par un acte formel à une telle entreprise qui s'exécuterait en son nom, il sera censé avoir abdiqué la royauté.
Page 139 - J'ai dû épuiser tous les moyens de maintenir la paix. Maintenant je viens, aux termes de la constitution, vous proposer formellement la guerre contre le roi de Hongrie et de Bohême.
Page 111 - Je sais que le langage austère de la vérité est rarement accueilli près du trône ; je sais aussi que c'est parce qu'il ne s'y fait presque jamais entendre, que les révolutions deviennent nécessaires...
Page 39 - En méritant le titre de bienfaiteurs de votre patrie, vous mériterez aussi celui de bienfaiteurs du genre humain. » Les applaudissements prolongèrent longtemps dans la salle le retentissement de l'émotion que ce discours avait portée dans tous les cœurs.