| Petitot (M., Claude-Bernard) - France - 1823 - 558 pages
...mere répond que, s'il plaisoit à Dieu, je n'aurois point de mal ; mais quoy que ce fut , il falloit que j'allasse, de peur de leur faire soupçonner quelque...me dit bon soir, sans m'oser dire autre chose ; et moy je m'en allay toute transie et éperdue, sans me pouvoir imaginer ce que j'avois à craindre. Soudain... | |
| France - 1823 - 548 pages
...mere répond que, s'il plaisoit à Dieu, je n'aurois point de mal; mais quoy que ce fut, il falloit que j'allasse, de peur de leur faire soupçonner quelque...me dit bon soir, sans m'oser dire autre chose ; et moy je m'en allay toute transie et éperdue, sans me pouvoir imaginer ce que j'avois à craindre. Soudain... | |
| Petitot (M., Claude-Bernard) - 1823 - 550 pages
...mais quoy que ce fut, il falloit que j'allasse, de peur de leur faire soupçonner quelque chose.... 9 Je voyois bien qu'ils se contestoient , et n'entendois...me dit bon soir, sans m'oser dire autre chose; et moy je m'en allay toute transie et éperdue, sans me pouvoir imaginer ce que j'avois à craindre. Soudain... | |
| John Lingard - France - 1826 - 156 pages
...peur de leur faire soupçonner quelque chose. Je voyois bien qu'ils se contestoient» et n'entendoient (n'entendois) pas leurs paroles. Elle me commanda encore rudement que je m'en alasse coucher. Ma sœur fondant en larmes me dit bon soir, sans m'oser dire autre chose ; et moy je... | |
| John Lingard - Great Britain - 1827 - 714 pages
...peur de leur faire soupconner quelque chose. Je voyois bien qu'ils se contestoient, et n'entendoient (n'entendois) pas leurs paroles. Elle me commanda encore rudement que je m'en alasse coucher. Ma socur fondant en larmes me dit bon soir, sans m'oser dire autre chose; et moy je... | |
| Pierre-Louis Roederer - France - 1830 - 520 pages
...mal; mais quoique ce fust, iljalloitque j'allasse, de peur de leur faire soupçonner quelque chose. u Je voyois bien qu'ils se contestoient et n'entendois...allasse coucher ; ma sœur fondant en larmes me dit bonsoir, sans m'oser dire autre chose ; et moi , je m'en allai toute transie et éperdue sans me pouvoir... | |
| Jean-Charles-Léonard Simonde Sismondi - France - 1835 - 582 pages
...voyois bien qu'ils se coûtes toient , et n'enten« dois pas leurs paroles ; elle me commanda en« core rudement que je m'en allasse coucher. « Ma sœur, fondant en larmes , me dit bon soir, « sans oser me dire autre chose ; et moi je m'en « allai , toute transie et éperdue , sans me pou« voir... | |
| Joseph Fr. Michaud, Jean Joseph François Poujoulat - France - 1838 - 630 pages
...leur faire soupçonner quelque chose.... Je voyois bien qu'ils se contcstoient , et n'entendois par leurs paroles. Elle me commanda encore rudement que...me dit bon soir , sans m'oser dire autre chose ; et moy je m'en allay toute transie et éperdue, sans me pouvoir imaginer ce que j'avois à craindre. Soudain... | |
| Margarete (Frankreich, Königin), François Guessard - France - 1842 - 526 pages
...il falloit que j'allasse, de peur de leur faire soupçonner quelque chose qui empeschast l'efïect. Je voyois bien qu'ils se contestoient et n'entendois...fondant en larmes me dit bon soir, sans m'oser dire aultre chose; et moy je m'en vois toute transie, esperdue, sans me pouvoir imaginer ce que j'avois... | |
| Margarete (Frankreich, Königin), François Guessard - France - 1842 - 530 pages
...il falloit que j'allasse, de peur de leur faire soupçonner quelque chose qui empeschast l'efïect. Je voyois bien qu'ils se contestoient et n'entendois...rudement que je m'en allasse coucher. Ma sœur fondant en laruies me dit bon soir, sans m'oser dire aultre chose; et moy je m'en vois toute transie, esperdue,... | |
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