Journal littéraire, Volume 1A. CL. Forget, 1796 |
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Abufar amans amant amour Anacréon Armide arts assez auroit avoient avoit barbarie beau beauté Bélisaire belle bonheur c'étoit Chabanon Chamfort chants charme chose ciel citoyen Claribel cœur connoissance conte d'Anacreon Delphis Dermid devoit Diderot Dieu dire discours disoit dit-il dramatique enfans Epictete esprit étoient étoit fabliau faisoit falloit Farhan femme fleurs Floradin foible fortune fous françois galante gens gloire goût graces grec guerriers hecto héros heureux homme Ixion j'ai jeune jour l'abbé Roubaud l'ame l'amour l'auteur l'esprit laisse Leucippe LITTÉRAIRE long-tems madame madame de Genlis main malheur Malvina ment mœurs monde morale mort musique NOUVELLES LITTÉRAIRES Oscar parens paroît passions peine père peuple Pharasmin philosophie pièce plaisir plaisirs poésie poète pouvoit qu'un raison regards reste reux rien sais Saléma sentimens sentiment seroit seul sophes sort Sosthènes style sur-tout talent Tarare Tartuffe tems teur théâtre Thersandre tion toyen traits trouve veut Voilà Voltaire yeux
Popular passages
Page 94 - II m'enseigne à n'avoir affection pour rien; De toutes amitiés il détache mon âme ; Et je verrais mourir frère , enfants , mère , et femme, Que je m'en soucierais autant que de cela.
Page 187 - J'écris pour lui, non pour moi-même, Et cherche des succès dont je n'ai qu'à rougir.
Page 311 - Lors il lève la jambe au jarret ramassée, Et d'un œil innocent il couvroit sa pensée, Se tenant suspendu sur les pieds en avant. Le loup qui l'apperçoit se lève de devant, S'excusant de ne lire avecq' ceste parolle, Que les loups de son temps n'alloient point à l'esr olle.
Page 238 - Phyllis , avec moi , viens passer la soirée ; Qu'à table les Amours nous couronnent de fleurs ; De myrte , comme toi , que leur mère parée Vienne de mon esprit effacer ces noirceurs : Et toi , père de l'allégresse , Viens à l'ardeur de ma tendresse ,, Bacchus , joindre ton enjoûment; Viens sur moi d'une double ivresse Répandre tout l'enchantement.
Page 239 - Essai sur la propagation de la musique en France, sa conservation et ses rapports avec le gouvernement, par J.-B.
Page 90 - La même erreur les fait errer diversement : Chacun suit dans le monde une route incertaine, Selon que son erreur le joue et le promène ; Et tel y fait l'habile et nous traite de fous, Qui sous le nom de sage est le plus fou de tous.
Page 104 - ... les gens de lettres sont si épris, j'en ai par-dessus la tête. Puisque, de votre aveu, je n'ai presque rien à prétendre, trouvez bon que je me retire. Si la société ne m'est bonne à rien, il faut que je commence à être bon pour moi-même. Il est ridicule de vieillir, en qualité d'acteur, dans une troupe où l'on ne peut pas même prétendre à la demi-part.
Page 310 - L'insatiable faim qu'elle avoit au dedans. Furieuse elle approche, et le loup, qui l'advise, D'un langage flateur luy parle et la courtise : Car ce fut de tout temps que, ployant sous l'effort, Le petit cède au grand, et le foible au plus fort.
Page 250 - Ma foi, c'est un triste soldat Que celui qui ne sait pas boire; II voit les dangers du combat; Le buveur n'en voit que la gloire. Versez donc, etc.
Page 90 - N'en déplaise à ces fous nommés sages de Grèce , En ce monde il n'est point de parfaite sagesse : Tous les hommes sont fous , et , malgré tous leurs soins , Ne diffèrent entre eux que du plus ou du moins. Comme on voit qu'en un bois que cent...