La sincérité religieuse de ChateaubriandLecoffre, 1900 - 410 pages |
From inside the book
Results 1-5 of 25
Page 54
... voyait venir à lui des sympathies enflammées . Nul ne fut plus recherché , ni plus fêté , ni plus aimé . Sainte - Beuve lui pardonnait mal ces triomphes . Il les avait peu connus lui - même , quoiqu'il les eût beaucoup désirés toujours ...
... voyait venir à lui des sympathies enflammées . Nul ne fut plus recherché , ni plus fêté , ni plus aimé . Sainte - Beuve lui pardonnait mal ces triomphes . Il les avait peu connus lui - même , quoiqu'il les eût beaucoup désirés toujours ...
Page 68
... voyait en cela < « < une dernière manière de le juger et de faire mieux sentir ce qu'il n'a pas été , en n'ayant l'air que de vouloir montrer ce qu'il aurait pu être . » Or , au point de vue qui nous occupe , s'il avait ressemblé à ce ...
... voyait en cela < « < une dernière manière de le juger et de faire mieux sentir ce qu'il n'a pas été , en n'ayant l'air que de vouloir montrer ce qu'il aurait pu être . » Or , au point de vue qui nous occupe , s'il avait ressemblé à ce ...
Page 86
... voyait enfin arriver son heure , et les philosophes , enflés de leurs succès , achevaient dédaigneusement , dans les salons , contre la doctrine ennemie , la victoire éclatante qu'ils remportaient sur elle dans les lois . C'est parmi ...
... voyait enfin arriver son heure , et les philosophes , enflés de leurs succès , achevaient dédaigneusement , dans les salons , contre la doctrine ennemie , la victoire éclatante qu'ils remportaient sur elle dans les lois . C'est parmi ...
Page 95
... ou à une belle action , et ayant un de ces fonds propres à porter le repentir1 . » 1. Mémoires d'outre - tombe , t . II , p . 299-300 . Chateaubriand voyait tous ces lettrés à la mode , tantôt AVANT LA CONVERSION 95.
... ou à une belle action , et ayant un de ces fonds propres à porter le repentir1 . » 1. Mémoires d'outre - tombe , t . II , p . 299-300 . Chateaubriand voyait tous ces lettrés à la mode , tantôt AVANT LA CONVERSION 95.
Page 96
Georges Bertrin. Chateaubriand voyait tous ces lettrés à la mode , tantôt chez eux , tantôt chez lui , soit isolément , dans un tête - à - tête intime , soit dans des soupers joyeux où ils se trouvaient quelquefois réunis . « Fontanes m ...
Georges Bertrin. Chateaubriand voyait tous ces lettrés à la mode , tantôt chez eux , tantôt chez lui , soit isolément , dans un tête - à - tête intime , soit dans des soupers joyeux où ils se trouvaient quelquefois réunis . « Fontanes m ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
aime âme amis Armand Carrel arrive beau Beuve Bossuet briand C'était catholique célèbre chap charme Chateau Chênedollé cher choses chré chrétien ciel cœur confidences critique croire croyant devant Dieu dire disait disait-il divine doctrine doute écrit écrivain écrivait édition esprit Esprit des Lois faiblesses Génie du Chris Génie du Christianisme Ginguené gloire groupe homme Hortense Allart Ibid idées j'ai jamais jeune jeunesse Joubert jour juger l'âme l'auteur du Génie l'autre l'écrivain l'Église l'esprit l'Essai laisser Lamennais lecteurs lettre livre lui-même malheur Mémoires d'outre-tombe ment Mme de Beaumont Mme de Chateaubriand Mme de Staël Mme Récamier monde morale mort n'avait n'était nisme OEuvres ouvrage Pailhès parle paroles passage passé pensée philosophie politique préface public raconte raison religieux religion renommée reste rien Rome s'en s'il Saint-Malo Sainte Sainte-Beuve sait scep sceptique sentiments serait seul siècle sincérité société souvenirs souvent talent teaubriand tianisme tion trouve vérité Voilà Voltaire vrai yeux
Popular passages
Page 220 - Chose admirable ! la religion chrétienne, qui ne semble avoir d'objet que la félicité de l'autre vie, fait encore notre bonheur dans celle-ci.
Page 31 - ... l'impression que fit sur moi le chant de guerre des Franks eut quelque chose d'électrique. Je quittai la place où j'étais assis, et, marchant d'un bout à l'autre de la salle, je répétai à haute voix et en faisant sonner mes pas sur le pavé : » — Pharamond ! Pharamond ! nous avons combattu avec l'épée.
Page 210 - Chacun se réveille à ce son, Les Brebis, le Chien, le Garçon. Le pauvre Loup, dans cet esclandre, Empêché par son hoqueton, Ne put ni fuir ni se défendre. Toujours par quelque endroit fourbes se laissent prendre. Quiconque est Loup agisse en Loup : C'est le plus certain de beaucoup.
Page 172 - Nous avons une si grande idée de l'âme de l'homme, que nous ne pouvons souffrir d'en être méprisés , et de n'être pas dans l'estime d'une âme ; et toute la félicité des hommes consiste dans cette estime.
Page 362 - Je dois donc une tendre et éternelle reconnaissance à ma femme, dont l'attachement a été aussi touchant que profond et sincère. Elle a rendu ma vie plus grave, plus noble, plus honorable, en m'inspirant toujours le respect, sinon toujours la force des devoirs.
Page 134 - Ah ! si la morale la plus pure, et le cœur le plus tendre , si une vie passée à combattre l'erreur et à soulager les maux des hommes , sont les attributs de la Divinité , qui peut nier celle de Jésus-Christ.
Page 213 - Gengiskan, qui ont dévasté l'Asie ; et nous verrons que nous devons au christianisme, et dans le gouvernement un certain droit politique, et dans la guerre un certain droit des gens, que la nature humaine ne saurait assez reconnaître.
Page 218 - C'est mal raisonner contre la religion, de rassembler dans un grand ouvrage une longue énumération des maux qu'elle a produits, si l'on ne fait de même celle des biens qu'elle a faits.
Page 255 - Le christianisme est l'appréciation la plus philosophique et la plus rationnelle de Dieu et de la création : il renferme les trois grandes lois de l'univers, la loi divine, la loi morale, la loi politique : la loi divine, unité de Dieu en trois personnes ; la loi morale, charité; la loi politique, c'est-à-dire liberté, égalité, fraternité.
Page 154 - Je dirigerai le peu de forces qu'il m'a données vers sa gloire, certain que je suis que là gît la souveraine beauté et le souverain génie, là où est un Dieu immense qui fait cingler les étoiles sur la mer des cieux comme une flotte magnifique, et qui a placé le cœur de l'honnête homme dans un fort inaccessible aux méchants.