| Charles Athanase Walckenaer - France - 1852 - 484 pages
...dans sa pieuse résolution. « J'étais curieuse de savoir (écrivait madame la duchesse d'Orléans) pourquoi elle était restée si longtemps comme une...conséquent, ce qui lui serait le plus douloureux... Et puisque son péché avait été public, il fallait que sa pénitence le fût aussi... Elle avait... | |
| Charles Athanase Walckenaer - 1856 - 486 pages
...dans sa pieuse résolution. « J'étais curieuse de savoir (écrivait madame la duchesse d'Orléans) pourquoi elle était restée si longtemps comme une...conséquent , ce qui lui serait le plus douloureux.... Et puisque son péché avait été public , il fallait que sa pénitence le fût aussi... Elle avait... | |
| Charlotte-Elisabeth Orléans (duchesse d') - 1857 - 436 pages
...grâce et l'amitié que je lui avais témoignée et qu'elle n'avait jamais méritée de ma part '. Peu de temps après je retournai la voir, j'étais curieuse...si longtemps comme une suivante chez la Montespan. Dieu, me dit-elle, avait touché son cœur, lui avait donné à connaître son péché ; elle avait... | |
| Elizabeth Charlotte (duchess of Orleans.) - 1857 - 440 pages
...grâce et l'amitié que je lui avais témoignée et qu'elle n'avait jamais méritée de ma part ' . Peu de temps après je retournai la voir, j'étais curieuse...si longtemps comme une suivante chez la Montespan. Dieu, me dit-elle, avait touché son cœur, lui avait donné à connaître son péché ; elle avait... | |
| Charlotte-Elisabeth Orléans (duchesse d') - 1857 - 442 pages
...grâce et l'amitié que je lui avais témoignée et qu'elle n'avait jamais méritée de ma part ' . Peu de temps après je retournai la voir, j'étais curieuse...était restée si longtemps comme une suivante chez la Montespân. Dieu, me dit-elle, avait touché son cœur, lui avait donné à connaître son péché... | |
| Charlotte-Elisabeth Orléans (duchesse d') - France - 1863 - 440 pages
...grâce et l'amitié que je lui avais témoignée et qu'elle n'avait jamais méritée de ma part '. Peu de temps après je retournai la voir, j'étais curieuse...si longtemps comme une suivante chez la Montespan. Dieu, me dit-elle, avait touché son cœur, lui avait donné à connaître son péché ; elle avait... | |
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