Antiquités gauloises et gallo-romaines de l'arrondissement de Mantes (Seine-et-Oise) |
What people are saying - Write a review
We haven't found any reviews in the usual places.
Other editions - View all
Common terms and phrases
ancien antiquaire antique appelé armes assez Auguste aujourd'hui avaient avant beau c'était camp Carnutes célèbre celtique centimètres cercueils César champ chrétienne cité civilisation commune consacré corps côté cromlech culte d'autres d'Épône d'or debout débris découverte découvrit dernier dieu dieux dolmen donner doute Druides druidique élevé enfin environ Épône Fées femme forme fouilles Galles GALLO-ROMAINES Garenne gauche Gaule Gaulois graves Grèce Gressey grossière hache hommes humains hypogée inscription J'ai jeune jour l'ancien l'arrondissement l'époque l'histoire lances langue légende lettres lieu lois long main Mantes médailles mémoire menhir mètres milieu monumens monument morts mots ossemens passage passé pays pères petite peuples peut-être pierres brutes placer porte poteries premiers qu'une quatre recherches religieux religion remarque rencontre renfermait représente reste retrouve revers romaine Rosny sacré savant second sens sépulture servait seul siècle souvenirs souvent squelettes table taille tenant terre tête tombeau tombelles tradition trouve usage vase
Popular passages
Page 48 - Je ne crois pas que le peuple français aime la liberté et l'égalité ; les Français ne sont point changés par dix ans de révolution ; ils sont ce qu'étaient les Gaulois, fiers et légers ; ils n'ont qu'un sentiment, l'honneur. Il faut donc donner un aliment à ce sentiment-là , il leur faut des distinctions.
Page 48 - Ainsi l'on cite toujours Brutus comme l'ennemi des tyrans ; eh bien! Brutus n'était qu'un aristocrate; il ne tua César que parce que César voulait diminuer l'autorité du sénat pour accroître celle du peuple. Voilà comme l'ignorance ou l'esprit de parti cite l'histoire ! « Je défie qu'on me montre une république ancienne ou moderne , dans laquelle il n'y ait pas eu des distinctions.
Page 48 - On appelle cela des hochets; eh bien! c'est avec des hochets que l'on mène les hommes. Je ne dirais pas cela à une tribune; mais dans un conseil de sages et d'hommes d'état , on doit tout dire. Je ne crois pas que le peuple français aime la liberté, l'égalité; les Français ne sont point changés par dix ans de révolution; ils sont ce qu'étaient les Gaulois , fiers et légers.
Page 48 - Le premier Consul répondit à Berlier, et surtout à ceux qui avaient cité les peuples anciens } «On nous parle toujours des Romains; il est assez singulier que, pour repousser les distinctions, on cite l'exemple. du peuple chez lequel elles étaient le plus marquées. Est-ce là connaître l'histoire? Les Romains avaient des patriciens, des chevaliers, des citoyens et des esclaves. Ils avaient pour chaque classe des costumes divers, des mœurs différentes^ Ils décernaient en récompense toutes...
Page 48 - ... distinctions, on cite l'exemple du peuple chez lequel elles étaient le plus marquées. Est-ce là connaître l'histoire? Les Romains avaient des patriciens, des chevaliers, des citoyens et des esclaves. Ils avaient pour chaque classe des costumes divers, des mœurs différentes. Ils décernaient en récompense toutes sortes de distinctions, des noms qui rappelaient des services , les couronnes murales, le triomphe. Ils employaient jusqu'à la superstition. Otez la religion de Rome, il n'y restait...
Page 48 - Voyez comme le peuple se prosterne devant les décorations des étrangers : ils en ont été surpris : aussi ne manquent-ils pas de les porter. » Voltaire a appelé les soldats des Alexandre à cinq sous par jour. Il avait raison ; ce n'est pas autre chose. Croyez-vous que vous feriez battre des hommes par l'analyse ? Jamais; elle n'est bonne que pour le savant dans son cabinet. Il faut au soldat de la gloire, des distinctions, des récompenses. Les armées de la République ont fait de grandes...
Page 20 - C'est, disent-ils, une coutume à Athènes , et une loi qui remonte à Cécrops, que de couvrir les morts de terre. Les plus proches parents jetaient la terre eux-mêmes, et lorsque la fosse était comblée , on semait des graines sur cette terre, dont le sein , comme le giron d'une mère, s'ouvrait pour le mort, et dont le sol purifié par cette semence était rendu aux vivants. Venaient ensuite des festins , où présidaient les parents couronnés de fleurs.
Page 40 - Le nom du gui, dans la langue des Gaules, veut dire remède universel. Lorsque les objets nécessaires pour les sacrifices et le banquet sont prêts sous le chêne , ils amènent deux taureaux blancs qui n'ont jamais été soumis au joug, et dont les cornes sont liées pour la première fois. Le prêtre , vêtu d'une robe blanche , monte sur l'arbre , tranche avec une serpe d'or le gui, qui est reçu dans un sagum blanc. Ils immolent ensuite les victimes, et prient les dieux de rendre ce don propice...
Page 43 - Et quoniam creberrima fama est, multique se expertos, vel ab eis qui experti essent, de quorum fide dubitandum non esset...
Page 31 - Et disputait l'encens aux maîtres du tonnerre , Devient vase, trépied, plat, cuvette, bassin. Va, cours, que des lauriers, suspendus par ta main, De tes toits couronnés embellissent le faîte ; Immole une victime et prépare une fête ; • Ce jour, pour les Romains, est un jour fortuné; Séjan , le fier Séjan au supplice est traîné. Quel spectacle ! on s'étonne , on célèbre sa chute ; Enfin , à ses fureurs je ne...