 | M. de Fontenelle (Bernard Le Bovier) - Comparative literature - 1701 - 346 pages
...Ameriquains plus propres à eftre traverfécs ? En verité, dit la Marquife en me regardant, vous e/les fou. Qui vous dit le contraire , répondis-je ? Mais...me contente pas de l'aveu que .vous en faites. Les Ameriquains eftoient fi ignorans, qu'ils n'avoient garde de foupçonner qu'on puftfe faire des chemins... | |
 | M. de Fontenelle (Bernard Le Bovier) - Comparative literature - 1742 - 428 pages
...paroiflbient elles aux Amériquains plus propres à être traverfées ? En vérité , dit la Marquife , en me regardant , vous êtes fou. Qui vous dit le...me contente pas de l'aveu que vous en faites. Les Amériquains étoient fi ignorans , qu'ils n'avoient garde de foupçonner qu'on pût fe faire des chemins... | |
 | M. de Fontenelle (Bernard Le Bovier) - 1752 - 426 pages
...paroiftbientelles aux Amériquains plus propres à être traverfées? En vérité, clitlaMarquife, en me regardant, vous êtes fou. Qui vous dit le contraire...Mais je veux vous le prouver , repritelle , je ne me conteste pas de l'aveu que vous en faites. Les Arnériquains étoient fi ignorans , qu'ils n'avoient... | |
 | M. de Fontenelle (Bernard Le Bovier) - Philosophy, French - 1766 - 426 pages
...paroiflbient-elles aux Américainsplus profres à être traverfecs? En- vérité , dit la Marquife, en me regardant , vous êtes fou. Qui vous dit le...répondis-je? Mais je veux vous le prouver, reprit-elle; je ne mecontente pas de l'aveu que vous en faites. Les Américains étoient fi ignorans , qu'ils n'a" voient... | |
 | M. de Fontenelle (Bernard Le Bovier) - Philosophy - 1790 - 482 pages
...espace d'air et de ciel, qui est entre la terre et la lune. Mais ces grandes mers paraissent-elles aux Américains plus propres à être traversées ? En...l'aveu que vous en faites. Les Américains étoient si ignorons, qu'ils n'avoient garde de soupçonner qu'on pût se- faire des chemins au travers de mers... | |
 | M. de Fontenelle (Bernard Le Bovier) - French drama - 1818 - 660 pages
...d'air et de ciel , qui est entre la terre et la lune. Mais ces grandes mers paraissent - elles aux Américains plus propres à être traversées? En...pas de l'aveu que vous en faites. Les Américains étaient si ignorans , qu'ils n'avaient garde de soupçonner qu'on pût se faire des chemins au travers... | |
 | Bernard Le Bouyer de Fontenelle - Plurality of worlds - 1820 - 424 pages
...espace d'air et de ciel qui est entre la terre et la lune. Mais ces grandes mers paroissoient-elles aux Américains plus propres à être traversées? En...marquise en me regardant, vous êtes fou. Qui vous d^t le contraire? répondis-je. Mais je veux vous le prouver, reprit-elle, je ne me contente p -s de... | |
 | M. de Fontenelle (Bernard Le Bovier) - 1825 - 472 pages
...d'air et de ciel , qui est entre la terre et la lune ; mais ces grandes mers paraissent-elles aux. Américains plus propres à être traversées? En...reprit-elle; je ne me contente pas de l'aveu que vous en laites. Les Américains étaient si ignorans, qu'ils n'avaient garde <le soupçonner qu'on pût se... | |
 | Bernard Le Bouyer de Fontenelle - 1826 - 428 pages
...espace d'air et de ciel qui est entre la terre et la lune. Mais ces grandes mers paroissoient-elles aux Américains plus propres à être traversées ? En...l'aveu que vous en faites. Les Américains étoient si ignorants, qu'ils n'avoient garde de soupçonner qu'on pût se faire des chemins au travers de mers... | |
 | Bernard Le Bouyer de Fontenelle - 1829 - 482 pages
...espace d'air et de ciel , qui est entre la terre et la lune ; mais ces grandes mers paraissent-elles aux Américains plus propres à être traversées? En...vérité , dit la marquise, en me regardant, vous êtes (ou. Qui vous dit le contraire, répondis-je? Mais je veux vous le prouver, reprit-elle; je ne m,e... | |
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Mais ces grandes mers paraissaient-elles aux Américains plus propres à être traversées ? — En vérité, dit la Marquise en me regardant, vous êtes fou. — Qui vous dit le contraire ? répondis-je. — Mais je veux vous le prouver, reprit-elle;... 
