| French periodicals - 1828 - 688 pages
...fatigue ! L'appeler, faire du bruit, je n'osais; m'échapper tout seul , je ne pouvais; la fenêtre n'était guère haute, mais en bas deux gros dogues hurlant comme des loups.... En quelle peine je mu trouvais, imaginez-le si vous pouvez. Au bout d'un quart d'heure , qui fut long, j'entends sur l'escalier... | |
| Paul-Louis Courier - 1828 - 514 pages
...fatigue ! L'appeler, faire du bruit, je n'osais; m'échapper tout seul, je ne pouvais; la fenêtre n'était guère haute, mais en bas deux gros dogues hurlant comme des loups...A En quelle peine je me trouvais, imaginez-le si vous pouvez. Au bout d'un quart d'heure, qui... | |
| Paul-Louis Courier - French literature - 1830 - 478 pages
...de fatigue! L'appeler, faire du bruit, je n'osais; m'échapper tout seul, je ne pouvais; la fenêtre n'était guère haute, mais en bas deux gros dogues hurlant comme des loups... En quelle peine je rne trouvais, imaginez-le, si vous pouvez. \u bout d'un quart d'heure qui fut long, j'entends sur l'escalier... | |
| Paul-Louis Courier - France - 1834 - 428 pages
...de fatigue! L'appeler, faire du bruit, je n'osais; m'échapper tout seul, je ne pouvais; la fenêtre n'était guère haute, mais en bas deux gros dogues...une main, dans l'autre un de ses grands .couteaux. 11 montait , sa femme après lui ; moi derrière la porte : il ouvrit ; mais avant d'entrer il posa... | |
| Paul-Louis Courier - France - 1834 - 454 pages
...de fatigue! L'appeler, faire du bruit, je n'osais; m'échapper tout seul, je ne pouvais; la fenêtre n'était guère haute, mais en bas deux gros dogues...une main, dans l'autre un de ses grands couteaux. 11 montait, sa femme après lui; moi derrière la porte: il ouvrit ; mais avant d'entrer il posa la... | |
| French authors - 1839 - 512 pages
...fatigue ! L'appeler, faire du bruit, je n'osais ; m'échapper tout seul, je ne pouvais ; la fenêtre n'était guère haute, mais en bas deux gros dogues...une main, dans l'autre un de ses grands couteaux. Il montait, sa femme après lui ; moi derrière la porte ; il ouvrit ; mais avant d'entrer il posa... | |
| Guyet de Fernex - French literature - 1843 - 576 pages
...fatigue ! L'appeler, faire du bruit, je n'osais; m'échapper tout seul, je ne te pouvais ; la fenêtre n'était guère haute, mais en bas deux gros dogues...fut long, j'entends sur l'escalier quelqu'un, et par la fente de la porte je vis le père, sa lampe dans une main, dans l'autre un de ses grands couteaux.... | |
| Ghewond Hovnanean - French language - 1844 - 472 pages
...fatigue! L'appeler, faire du bruit, je n'osais ; m'échapper tout seul, je ne pouvais; la fenêtre n'était guère haute , mais en bas deux gros dogues...pouvez. Au bout d'un quart d'heure, qui fut long, j'entendis sur l'escalier quelqu'un, et par la fente de la porte, je vis le père, sa lampe dans une... | |
| Antonin Roche - 1845 - 766 pages
...fatigue ! L'appeler, faire du bruit, je n'osais; m'échapper tout seul , je ne pouvais ; la fenêtre n'était guère haute, mais en bas deux gros dogues...une main , dans l'autre un de ses grands couteaux. Il montait, sa femme après lui ; moi derrière la porte : il ouvrit ; mais avant d'entrer il posa... | |
| Edouard Salvador - Authors, French - 1845 - 320 pages
...fatigue ! L'appeler, faire du bruit, je n'o» sais; m'échapper tout seul, je ne pouvais; la » fenêtre n'était guère haute , mais en bas » deux gros dogues...comme des loups... » En quelle peine je me trouvais, imaginez» le, si vous pouvez. Aubout d'un quart .d'heure » qui fut long, j'entends sur l'escalier... | |
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