Principes de littérature, Volume 3E. Luzac, fils, 1755 - Art |
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... Dieu qui dictoit ? Il eft le maître : il n'a pas be foin d'imiter , il crée . Au - lieu que nos poètes dans leur ivreffe prétenduë , n'ont d'autre fecours que celui de leur génie na- turel , qu'une imagination échauffée par l'art , qu ...
... Dieu qui dictoit ? Il eft le maître : il n'a pas be foin d'imiter , il crée . Au - lieu que nos poètes dans leur ivreffe prétenduë , n'ont d'autre fecours que celui de leur génie na- turel , qu'une imagination échauffée par l'art , qu ...
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... Dieu qui dictoit ? Il est le maître : il n'a pas be foin d'imiter , il crée . Au - lieu que nos poètes dans leur ivreffe prétenduë , n'ont d'autre fecours que celui de leur génie na turel , qu'une imagination échauffée par l'art , qu'un ...
... Dieu qui dictoit ? Il est le maître : il n'a pas be foin d'imiter , il crée . Au - lieu que nos poètes dans leur ivreffe prétenduë , n'ont d'autre fecours que celui de leur génie na turel , qu'une imagination échauffée par l'art , qu'un ...
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... Dieu lictoit ? Il eft le maître : il n'a pas be- d'imiter , il crée . Au - lieu que nos tes dans leur ivreffe prétenduë , n'ont utre fecours que celui de leur génie na- el , qu'une imagination échauffée par t , qu'un enthousiasme de ...
... Dieu lictoit ? Il eft le maître : il n'a pas be- d'imiter , il crée . Au - lieu que nos tes dans leur ivreffe prétenduë , n'ont utre fecours que celui de leur génie na- el , qu'une imagination échauffée par t , qu'un enthousiasme de ...
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... Dieu qui dictoit ? Il eft le maître : il n'a pas be foin d'imiter , il crée . Au - lieu que nos poètes dans leur ivreffe prétenduë , n'ont d'autre fecours que celui de leur génie na- turel , qu'une imagination échauffée par l'art , qu ...
... Dieu qui dictoit ? Il eft le maître : il n'a pas be foin d'imiter , il crée . Au - lieu que nos poètes dans leur ivreffe prétenduë , n'ont d'autre fecours que celui de leur génie na- turel , qu'une imagination échauffée par l'art , qu ...
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... Dieu . L'Univers tomberoit fur la tête du jufte , fon ame fe- roit tranquille dans le tems même de la chûte . L'idée de cette tranquillité compa- rée avec le fracas d'un monde entier qui fe brife , eft une image fublime ; & la tran ...
... Dieu . L'Univers tomberoit fur la tête du jufte , fon ame fe- roit tranquille dans le tems même de la chûte . L'idée de cette tranquillité compa- rée avec le fracas d'un monde entier qui fe brife , eft une image fublime ; & la tran ...
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Common terms and phrases
affez aïant aifé Ainfi Arts atque auffi auroit avoit beau befoin bon fens c'eft c'eſt c'étoit caufe chant chofes conféquent confifte COURS DE BELLES d'Horace Defpréaux Dieu Dieux difcours doit efpèces efprit enfuite épigramme eſpèce eſt étoient étoit facrés fans fatire fcène fe trouve feconde felon femble fens fentimens fentiment fera feroit fervir feul fignifie fimple foient foin foit fon caractère font fouvent fpectateurs ftyle fublime fuit fujet fur-tout genre gens goût grace Grecs hæc hiftorique Homère homme Horace ipfa jufqu'à jufte Juvenal l'art l'efprit l'Epigramme l'expreffion l'hiftoire l'imitation l'Ode laiffe malè mefures ment mife Mufes Mufique n'eft néceffaire odes ouvrages paffer paffions paroit penfée penſée perfonne philofophe Pindare plaifir poè Poéfie lyrique Poème didactique poète poétique préfente prefque prémier puiffe qu'un quæ quelquefois quid Quintilius quod raifon refte règles Sappho Satire Satyres Séjan tems théatre tibi verfification Virgile vuë XUAND دو وو
Popular passages
Page 14 - Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois ; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend pas nos rois.
Page 115 - C'est où je serai des suivants De ce bon monarque de France, Qui fut le père des savants , Dans un siècle plein d'ignorance. Dès que j'approcherai de lui , II voudra que je lui raconte Tout ce que tu fais aujourd'hui Pour combler l'Espagne de honte.
Page 115 - Pavie. Mais s'il demande à quel emploi Tu m'as occupé dans le monde, Et quel bien j'ai reçu de toi, Que veux-tu que je lui réponde ! "Rien," repondit sèchement11 le cardinal, qui voulait donner de lui-même, et n'aimait pas qu'on lui demandât.
Page 132 - MA foi, c'est fait de moi ; car Isabeau M'a conjuré de lui faire un rondeau, Cela me met en une peine extrême. Quoi ! treize vers, huit en eau, cinq en ème ! Je lui ferais aussitôt un bateau.
Page 130 - Vous n'écrivez que pour écrire, C'est pour vous un amusement ; Moi qui vous aime tendrement, Je n'écris que pour vous le dire.
Page 18 - Là rendront tes guerriers tant de sortes de preuves, Et d'une telle ardeur pousseront leurs efforts, Que le sang étranger fera monter nos fleuves Au-dessus de leurs bords. Par cet exploit fatal en tous lieux va renaître La bonne opinion des courages françois; Et le monde croira, s'il doit avoir un maître, Qu'il faut que tu le sois. O que pour avoir part en si belle aventure Je me souhaiterais la fortune d'Éson, Qui, vieil comme je suis, revint contre nature En sa jeune saison...
Page 99 - Distillé sur sa vie un venin dangereux? Ma muse, en l'attaquant, charitable et discrète, Sait de l'homme d'honneur distinguer le poète. Qu'on vante en lui la foi, l'honneur, la probité...
Page 96 - Tous les jours à la cour un sot de qualité Peut juger de travers avec impunité ; A Malherbe, à Racan préférer Théophile Et le clinquant du Tasse à tout l'or de Virgile.
Page 129 - L'épigramme peut être douce, polie, mordante, maligne, &c. pourvu qu'elle foit vive , c'eft a (Tez. Le madrigal an contraire a une pointe toujours douce, gracieufe , qui n'a de piquant que ce qu'il lui en faut pour n'être pas fade.
Page 100 - En vain contre le Cid un ministre se ligue : Tout Paris pour Chimène a les yeux de Rodrigue. L'Académie en corps a beau le censurer : Le public révolté s'obstine à l'admirer.