Oeuvres complètes d'Étienne Jouy ... avec des éclaircissements et des notes... |
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... n'ai rien à dire sur ce premier volume de l'Ermite de la Guiane , sinon que j'ai cher- ché à le rendre digne des honorables suffrages les précédents ont obtenus . que DE LA GUIANE . N ° 1. [ 16 JUILLET AVANT - PROPOS . 5.
... n'ai rien à dire sur ce premier volume de l'Ermite de la Guiane , sinon que j'ai cher- ché à le rendre digne des honorables suffrages les précédents ont obtenus . que DE LA GUIANE . N ° 1. [ 16 JUILLET AVANT - PROPOS . 5.
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... turé son caractère , qu'elle est devenue tout - à - fait méconnaissable . D'ailleurs je ne connais , tout Franc- Parleur que je suis , ni vérités bonnes à dire , ni vé- rités bonnes à entendre , au milieu de cinq ou L'ERMITE.
... turé son caractère , qu'elle est devenue tout - à - fait méconnaissable . D'ailleurs je ne connais , tout Franc- Parleur que je suis , ni vérités bonnes à dire , ni vé- rités bonnes à entendre , au milieu de cinq ou L'ERMITE.
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... dire . Si vous ne pouvez rien ajouter aux pro- « grès de nos lumières , vous pouvez nous apporter « des bords de l'Orénoque l'exemple de quelques « < vertus qu'on ne connaît plus sur les bords de la Seine ; faites sur - tout provision ...
... dire . Si vous ne pouvez rien ajouter aux pro- « grès de nos lumières , vous pouvez nous apporter « des bords de l'Orénoque l'exemple de quelques « < vertus qu'on ne connaît plus sur les bords de la Seine ; faites sur - tout provision ...
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... dire ce qu'il faut dire , et taire ce qu'il faut taire ? Ai - je encore une patrie ? Cette question que je me fais , et que tous les Français peuvent se faire au- jourd'hui , me semble résolue négativement du mo- ment qu'elle est posée ...
... dire ce qu'il faut dire , et taire ce qu'il faut taire ? Ai - je encore une patrie ? Cette question que je me fais , et que tous les Français peuvent se faire au- jourd'hui , me semble résolue négativement du mo- ment qu'elle est posée ...
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... dire que nous avions nos habitudes , et que nous n'occupions jamais qu'une seule pièce , il m'objecta fort sensément que j'étais le maître de n'occuper qu'une chambre , pourvu que je consentisse à en payer quatre ou cinq . Il fallut en ...
... dire que nous avions nos habitudes , et que nous n'occupions jamais qu'une seule pièce , il m'objecta fort sensément que j'étais le maître de n'occuper qu'une chambre , pourvu que je consentisse à en payer quatre ou cinq . Il fallut en ...
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Common terms and phrases
abus Amioïa arriver avez beau Binôme bonheur bords de l'Orénoque cabriolet Caraïbes cause Césarine Champ-de-Mars chanson chant charme cher chose cœur connaître conversation corossol couvre-pied croire dame Datès déja demande dîner dire dit-il donner douzaine Dufain Énéide enfants ERMITE espèce faisait famille femme figure fortune foule François Ier gens gloire grace grand-papa Gréville GUIANE heures homme j'ai j'aurais j'avais j'en j'étais jeune fille jongleurs jour juger JULES DIDOT l'amour L'ERMITE l'esprit laisse lettres long-temps m'avait m'étais madame de Lorys madame de Mérange mademoiselle ment milieu mœurs monde Montgolfier moyen n'avait Nanine nature Norville Pageville parcequ'il pareil parler passer peine pense personne petite philosophe place plaisir poëte politique pouvait première qu'un raison ridicule rien rue Coquillière Saint-Cloud sais salon sauvage sentiment serait seul sortir sots sottise talent teurs tion Tivoli tout-à-fait toyen trousseau trouve Verberie Vésuve visite voiture Voltaire yeux Zaméo Zangaïs
Popular passages
Page 236 - L'orage a brisé le chêne Qui seul était mon soutien ; De son inconstante haleine Le zéphyr ou l'aquilon Depuis ce jour me promène De la forêt à la plaine, De la montagne au vallon . Je vais où le vent me mène; Sans me plaindre ou m'effrayer ; Je vais où va toute chose, Où va la feuille de rose, Et la feuille de laurier.
Page 311 - Pour chasser de sa souvenance L'ami secret, On se donne tant de souffrance Pour peu d'effet : Une si douce fantaisie Toujours revient; En songeant qu'il faut qu'on l'oublie, On s'en souvient.
Page 329 - J'ai écrit mes mémoires sans autre but que de me comparer à moi-même, et de pouvoir, en bon comptable, dresser à toutes If s époques de ma vie le bilan de ma situation physique et morale. L'amour, qui tient une si grande place dans les destinées humaines, a eu sur les miennes une double influence, si parfaitement compensée, que je me trouve, à ce sujet, dans la même perplexité où se trouvait Corneille par rapport au cardinal de Richelieu ; II m'a fait trop de bien pour en dire du mal;...
Page 365 - ... même des mœurs et des caractères, en un mot, un grand nombre de qualités que la nature réunit si rarement dans une même personne, qu'on compte plus de grands auteurs que de grands comédiens.
Page 390 - Sont une espèce encor plus odieuse. Quant aux catins, j'en fais assez de cas; Leur art est doux, et leur vie est joyeuse Si quelquefois leurs dangereux appas A l'hôpital mènent un pauvre diable, Un grand benêt, qui fait l'homme agréable, Je leur pardonne, il l'a bien mérité.
Page 272 - GLOIRE. — Le mot le plus français et le plus ancien de la langue; on serait néanmoins tenté de croire que beaucoup de gens ne l'entendent plus, à la difficulté avec laquelle ils le prononcent, et aux différens sens qu'ils lui donnent. — Gloire , voyez fortune , succès , coUrs de la bourse , coalition , livres sterling.
Page 386 - DE quelque côté que je tourne les yeux , je ne vois que des abus. LE PHILOSOPHE. Je ne Connais rien de plus facile que de les indiquer , et rien de plus difficile que de les détruire : ce sont des taches que l'on remarque sur une étoffe , et qu'on n'enlève le plus souvent qu'en emportant la pièce.
Page 300 - Cicéron) sont l'aliment de la jeunesse, la passion de l'âge mûr et l'amusement de la vieillesse; elles nous donnent de l'éclat dans la prospérité, et sont une ressource, une consolation dans l'infortune; elles font les délices du cabinet...
Page 150 - FIGARO, vivement. Moi, j'entre ici, où, par la force de mon art, je vais, d'un seul coup de baguette, endormir la vigilance, éveiller l'amour, égarer la jalousie, fourvoyer l'intrigue, et renverser tous les obstacles.
Page 137 - Un paradoxe qui lui est très familier, et qu'il soutient avec autant d'esprit que de logique, c'est que la langue française est, sans aucune comparaison, la plus belle des langues modernes: peu s'en faut même qu'il ne lui donne la préférence sur le latin , qui manque, à son avis, d'euphonie et de clarté; la langue française est, selon lui, celle qui se rapproche le plus du grec, c'est-à-dire de la langue la plus parfaite qu'aient jamais parlé les hommes. Je ne m'engagerai...