| Sophie Cottin - Exiles - 1823 - 442 pages
...étaient tranquilles, les oiseaux ne chantaient point, tout se taisait jusqu'au moindre insecte. On eût dit que la nature entière se tenait dans un respectueux...travers la forêt, criait encore un adieu à sa fille, fut le dernier son qu'elle pût entendre. J'ai essayé de dire les douleurs du père, mais celles de... | |
| Madame Cottin (Sophie) - 1825 - 226 pages
...tranquilles, les oiseaux ne ciiap.taLeiit point, tout se taisait jusqu'au moindre insecte. On eût dit que la nature entière se tenait dans un respectueux...travers la forêt, criait encore un adieu à sa fille, fut le dernier son qu'elle pût entendre. J'ai essaye de dire l?s douleurs du père, mais Celles d«... | |
| French language - 1831 - 438 pages
...étaient tranquilles, les oiseaux ne chantaient point, tout se taisait jusqu'au moindre insecte. On eût dit que la nature entière se tenait dans un respectueux...travers la forêt, criait encore un adieu à sa fille, fut le dernier son qu'elle pût entendre. J'ai essayé de dire les douleurs du père, mais celles de... | |
| Madame Cottin (Sophie) - 1838 - 844 pages
...celles mêmes du bouleati étaient tranquilles ; les oiseaux ne chantaient point, tout se taisait, jusqu'au moindre insecte : on eut dit que la nature...respectueux silence, afin que la voix d'un père qui , a travers la forêt. criait encore un adieu à sa fille, fût le dernier son qu'elle pût entendre.... | |
| Sophie Ristaud Cottin - 1847 - 142 pages
...wcre motionless ; the birds were not singing, ail was silent, even to the least insecte ; [on eût dit] que la nature entière se tenait dans un respectueux silence, [afin que] la voix d' un père qui, [à travers] la forêt criait encore un adieu à sa fille, fût le dernier son qu'elle... | |
| M. Saint-Marc Girardin - Drama - 1857 - 446 pages
...tranquilles', les oiseaux ne chantaient point , tout se taisait, jusqu'au moindre insecte. Ou eût dit que la nature entière se tenait dans un respectueux...travers la forêt , criait encore un adieu à sa fille , fut le dernier son qu'elle pût entendre. » (Élitabeth, p. ii8.) i « On la prenait souvent pour... | |
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