Seventeenth Century French ReadingsAlbert Schinz, Helen Maxwell King |
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... 117 II . La poésie d'Homère 118 dans les arts II . BOILEAU III . Que « nous avons un avantage visible I 20 Septième des Réflexions sur Longin . ( Extrait ) . 122 FABLES CHAPITRE CINQ LA FONTAINE . 1. La cigale et TABLE DES MATIÈRES xi.
... 117 II . La poésie d'Homère 118 dans les arts II . BOILEAU III . Que « nous avons un avantage visible I 20 Septième des Réflexions sur Longin . ( Extrait ) . 122 FABLES CHAPITRE CINQ LA FONTAINE . 1. La cigale et TABLE DES MATIÈRES xi.
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... avons déjà dit , que Racan avait de la force en ses vers , il disait qu'il était héré- tique en poésie pour ne se tenir pas assez étroitement dans ses ob- servations , et voici particulièrement de quoi il le blâmait : Premièrement , de ...
... avons déjà dit , que Racan avait de la force en ses vers , il disait qu'il était héré- tique en poésie pour ne se tenir pas assez étroitement dans ses ob- servations , et voici particulièrement de quoi il le blâmait : Premièrement , de ...
Page 19
... avons assez vu sur la mer de ce monde Errer au gré des flots notre nef vagabonde : Il est temps de jouir des délices du port . 1 Ne croit pas ( à l'existence ) d'autres mers . 5 ΙΟ 15 20 25 5 ΙΟ 15 20 25 Le bien de la fortune RACAN 19 ...
... avons assez vu sur la mer de ce monde Errer au gré des flots notre nef vagabonde : Il est temps de jouir des délices du port . 1 Ne croit pas ( à l'existence ) d'autres mers . 5 ΙΟ 15 20 25 5 ΙΟ 15 20 25 Le bien de la fortune RACAN 19 ...
Page 56
... avons de la connaissance de la vertu . De sorte qu'en ce royaume de demi - lieue on ne sait tromper que les oiseaux et les bêtes , et le style du Palais 4 est une langue aussi inconnue que celle de l'Amérique ou de quelque autre nouveau ...
... avons de la connaissance de la vertu . De sorte qu'en ce royaume de demi - lieue on ne sait tromper que les oiseaux et les bêtes , et le style du Palais 4 est une langue aussi inconnue que celle de l'Amérique ou de quelque autre nouveau ...
Page 65
... avons vu les ans passés Que les galants étaient glacés ; Mais maintenant tout en foisonne , L'année est bonne . Le temps n'est pas bien loin encor Qu'ils se vendaient au poids de l'or , Et pour le présent on les donne , L'année est ...
... avons vu les ans passés Que les galants étaient glacés ; Mais maintenant tout en foisonne , L'année est bonne . Le temps n'est pas bien loin encor Qu'ils se vendaient au poids de l'or , Et pour le présent on les donne , L'année est ...
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Common terms and phrases
admirable aime âme assez auteurs avez Bayard beau beauté belle Bétique Boileau Bossuet carte de Tendre casuistes choses chrétiens ciel Clélie Clèves cœur connaissance connaître Connétable cour courage d'être dessein Dieu dire dis-je discours dit-il divin doctrine donner duc d'Enghien écrits enfin esprit êtes eût femmes fille gens gloire guerre Guirlande de Julie Henriette d'Angleterre hommes j'ai j'avais jamais jour jugement l'âme l'amour l'esprit l'homme laisse lanturlu Louis XIV Madame mains maximes ment merveilles mieux Mlle de Scudéry monde morale mort mourir n'avait n'en nature ouvrages parler paroles passage du Rhin passer passions pense père personne peuple plaisir poète premier prince de Condé princesse qu'à qu'un quelquefois Racan raison regarde reste Rhin rien rimer rois s'il sage saint sais sait Sapho savez semble sentiments sera seul sorte souvent Télémaque Tendre terre tion trouve vanité vérité vertu veux victoire voilà voyez vrai XVIIe siècle yeux ΙΟ
Popular passages
Page 88 - Mais nous, que la raison à ses règles engage, Nous voulons qu'avec art l'action se ménage : Qu'en un lieu, qu'en un jour, un seul fait accompli Tienne jusqu'à la fin le théâtre rempli.
Page 224 - L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature ; mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser : une vapeur, une goutte d'eau, suffit pour le tuer. Mais, quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt, et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien.
Page 327 - L'on voit certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible ; ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes.
Page 327 - ... montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes. Ils se retirent la nuit dans des tanières où ils vivent de pain noir, d'eau et de racines ; ils épargnent aux autres hommes la peine de semer, de labourer et de recueillir pour vivre, et méritent ainsi de ne pas manquer de ce pain qu'ils ont semé.
Page 173 - Le premier était de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie que je ne la connusse évidemment être telle; c'est-à-dire d'éviter soigneusement la précipitation et la prévention, et de ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute.
Page 81 - Aimez donc la raison : que toujours vos écrits Empruntent d'elle seule et leur lustre et leur prix.
Page 231 - Et c'est sur ces connaissances du cœur et de l'instinct qu'il faut que la raison s'appuie, et qu'elle y fonde tout son discours. (Le cœur sent qu'il ya trois dimensions dans l'espace, et que les nombres sont infinis ; et la raison démontre ensuite qu'il n'ya point deux nombres carrés dont l'un soit double de l'autre.
Page 222 - Nous avons beau enfler nos conceptions, au delà des espaces imaginables, nous n'enfantons que des atomes, au prix de la réalité des choses. C'est une sphère infinie dont le centre est partout, la circonférence nulle part.
Page 85 - L'expression la suit ou moins nette, ou plus pure. Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement , Et les mots pour le dire arrivent aisément.
Page 146 - Je tondis de ce pré la largeur de ma langue ; Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net. A ces mots on cria haro sur le baudet. Un loup, quelque peu clerc, prouva par sa harangue Qu'il fallait dévouer ce maudit animal, Ce pelé, ce galeux, d'où venait tout leur mal. Sa peccadille fut jugée un cas pendable. Manger l'herbe d'autrui ! quel crime abominable ! Rien que la mort n'était capable D'expier son forfait. On le lui fit bien voir. Selon que vous serez puissant ou misérable, Les...