Mémoires de la Société d'agriculture, commerce, sciences et arts du département de la Marne |
Other editions - View all
Common terms and phrases
abbaye ancien arch arrosé assez autrefois baronnie beau beauté belle bois canton cathédrale de Châlons caverne Châlons pop chapelle chapitre Charles Charmoye charte château Cheminon cité colline commanderie commune comte de Champagne couvent crayeux cultivé culture curé d'Epernay dépendances dimes dîmes étaient levées église élevé entouré de fossés Epernay évêque de Châlons fertile forme François Ier guerre habitants hameau Huiron Joppé l'abbaye de Toussaints l'abbé l'Aisne l'âme l'église Larzicourt Leuvrigny Louis maison Marne médaille Ménehould Messieurs métaphysique mètres Mizy Moiremont Montmirail Montmort pays Pépin Perrier pierres Ponthion pouillé de Châlons pouillé de Troyes prairies prend sa source prés prieuré puissance Reims religieux remarquable reste réuni rivière roche ruisseau saint Sainte-Ménehould Sanctus sciences seigneur Sézanne silex situé Société d'agriculture Somme-Soude Suippes Temple terres labourables territoire Thibault titre de l'abbaye transepts travail Trois-Fontaines trouve Troyes pop Vertus vignes village est bâti Vitry XIIe siècle xve siècle
Popular passages
Page 251 - Dixit, et avertens rosea cervice refulsit, ambrosiaeque comae divinum vertice odorem spiravere, pedes vestis defluxit ad imos, et vera incessu patuit dea.
Page 287 - Mémoires de la Société des Sciences morales, des Lettres et des Arts de Seine-et-Oise, tome XI, Versailles 1878.
Page 286 - Précis analytique des travaux de l'Académie impériale des sciences, belles-lettres et arts de Rouen , pendant l'année 1855-1856. —4.
Page 227 - Par ce coup, elle se sent vaincue, mais vaincue comme elie aime à l'être et comme elle ne rougit point de l'être. Ce n'est pas une défaite, à vrai dire, c'est un envahissement délicieux, une étreinte ravissante dont elle ne cherche ni à se défendre ni à se dégager. Rien dans les voluptés sensuelles les plus permises et les plus modérées, rien ne se rencontre d'analogue à cette volupté. Ce n'est pas non plus une extase, car l'âme n'y perd point la nette conscience d'elle-même.
Page 227 - N'est-elle pas en société étroite et exclusive avec l'ordre, avec l'harmonie, avec la mesure? Tout en elle se coordonne et s'équilibre. Aussi, dans sa jouissance du beau, nulle inquiétude, nulle crainte, surtout nul remords, nulle honte. Cette émotion céleste, l'admiration, n'est pas la passion ardente et déchaînée, ce n'est pas le désir irrité et violent, ce n'est pas le délire de la possession éperdue; c'est cependant une sorte de passion, mais noble, mais pure, mais...
Page 283 - Bulletin de la Société de statistique, des sciences naturelles et des arts industriels du département de l'Isère.
Page 227 - C'est une palpitation intime et suave, où, sous le rayon de l'objet admiré, toutes les forces de notre vie spirituelle se dilatent et se montent à leur ton le plus haut. Ces moments où le beau déploie sur l'âme son influence souveraine sont de ceux dont rien jamais n'efface le souvenir. Pourtant, entre cette émotion intense et un trouble ou une secousse violente et un bouleversement de nous-mêmes, il n'ya rien de commun.
Page 107 - La société rappelle qu'elle décernera en 1843 une médaille d'or de 300 francs à l'auteur du meilleur mémoire sur cette question...
Page 226 - C'est là une vérité exacte, utile, estimable : soit. Mais quelle admiration en puis-je ressentir? Un génie survient, qui, après y avoir toujours pensé, proclame cette vérité que tous les corps de la nature s'attirent mutuellement, en raison directe des masses et en raison inverse du carré de la distance.
Page 223 - Aussitôt que l'âme humaine a reconnu le beau, elle le sent, elle le goûte, elle en reçoit une joie secrète et délicieuse. Ce second phénomène du fait esthétique, qui succède au premier, mais dans le même instant indivisible, se nomme le sentiment du beau. Distinct du jugement du beau, le sentiment du beau se distingue aussi de tous les phénomènes de la sensibilité, auxquels il ressemble en ce qu'il est une émotion , mais dont il diffère en ce qu'il est marqué d'un caracètre propre.