Mémoires de la Société académique d'agriculture, des sciences, arts et belles-lettres du département de l'Aube, Volume 571893 - Aube (France) |
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ACADÉMIQUE DE L'AUBE Andouillette année Arch archéologique Archives arpents atelier azotées Barbuise Bertrand billon blanc bois botanique Boulages bronze Cachette du Mesnilot Capendu Cavalerie levée cavaliers Celle-sous-Chantemerle Champagne Charles VII château chevaux comte Corrard Courcemain curé deniers tournois département de l'Aube doubles tournois Doyenné d'Arcis espèces fabrique famille Fère-Champenoise février finage Fleuriot fleurs de lis foin frappées à Troyes Général Susane gens de guerre grains habitants Helianthemum Henri Hist Ibid Infanterie j'ai Jean Jean Léguisé Jehan jours juin KAROLVS kilogr Klephte l'abbé l'église l'Yonne livres Louis LVII maison Marne mars membre associé membre correspondant Méry Messire mètres Mme de Warens Monnaie de Troyes Montiéramey Musée Nicolas paille paroisse Patenôtre pays Pierre Plancy Poids 1 gr pont Président propriétaire ramilles Régiment de cavalerie Rhèges royales saint Saint-Oulph seigneur de Boulages sépulture Sézanne siècle sieur Société Académique terre tourbière troupes trouve troyen Troyes village Vouarces
Popular passages
Page 123 - Sire, dix ans que la campagne, est ruinée, les paysans réduits à coucher sur la paille, leurs meubles vendus pour le payement des impositions auxquelles ils ne peuvent satisfaire; et que, pour entretenir le luxe de Paris, des millions d'âmes innocentes sont obligées de vivre de pain de son et d'avoine, et de n'espérer d'autre protection que celle de leur impuissance.
Page 324 - Mais j'aimerois mieux boire de l'eau de votre fontaine que du lait de vos vaches; et quant aux herbes de votre verger, je crains bien de n'y en trouver d'autres que le lotos, qui n'est pas la pâture des bêtes, et le moly qui empêche les hommes de le devenir.
Page 372 - Celui-ci ne devra pas se faire connaître, sous peine d'être exclu du concours. Les concurrents sont prévenus que la Société ne rendra aucun des ouvrages qui auront été envoyés aux concours.
Page 123 - ... des impositions auxquelles ils ne peuvent satisfaire; et » que pour entretenir le luxe de Paris, des millions d'âmes innocentes » sont obligées de vivre de pain de son et d'avoine, et n'espérer autre » protection que celle de leur impuissance. Ces malheureux ne possèdent « aucuns biens en propriété que leurs âmes, parce qu'elles n'ont pu > être vendues à l'encan.
Page 423 - Dunkerque. Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts. — Lille. Société des sciences, de l'agriculture et des arts.
Page 80 - ... Ils lui coupèrent la tête et la plantèrent au bout d'une lance, et ils ensevelirent son corps sous le laurier. XLIX. LA PRISE DE TRÉBIZONDE. UN oiseau, un bel oiseau, sort de la ville [de Trébizonde] ; il ne gîta pas dans les vignes ni dans les jardins, mais il alla dans la forteresse de Hili et s'y arrêta. Il secoua l'une de ses ailes qui était souillée de sang, il secoua l'autre sous laquelle il y avait un papier écrit. Quand on le lut, ils pleurèrent et se frappèrent la poitrine....
Page 423 - Nantes et du département de la Loire-Inférieure. — Société des sciences naturelles de l'Ouest de la France.
Page 324 - M. Chappuis m'apprend que votre santé est bien mauvaise ; il faudrait la venir rétablir dans l'air natal, jouir de la liberté, boire avec moi du lait de nos vaches, et brouter nos herbes. Je suis très philosophiquement et avec la plus tendre estime, etc.
Page 90 - Veuves, on vend vos maris; mères, on vend vos enfants; et vous, pauvres sœurs, on vend vos frères. » Les mères accoururent avec des florins, les sœurs avec des cadeaux; et les veuves, les veuves désolées, avec des clefs à la main; et celles qui n'avaient rien vinrent les mains jointes. Mais soudain Charon se repentit et coupa les câbles. Et les mères repassent les montagnes; les sœurs, les versants des collines; et les veuves, les veuves désolées, les vallons solitaires.
Page 327 - Les fruits, à la discrétion des promeneurs, ne seraient ni comptés ni cueillis par mon jardinier, et mon avare magnificence n'étalerait point aux yeux des espaliers superbes auxquels à peine on osât toucher.