Bourgeoisie romaine (le droit de). Accordé à tous les alliés dé Rome, 100. Inconvénients qui en résultent, ibid

Boussolé (invention de la'). A poré la marine à tune grande perfection, 43.

Brigue. Introduite à Rome, surtout pendant les guerres civiles, 141.

BRUTUS et CASSIUS. Font une faute funeste à la répu

blique, 121. Se donnent tous deux la mort, 135. Butin. Comment il se partageoit chez les Romains, 12.

C

CALIGULA. Portrait de cet empereur. Il rétablit les co-
micès, 159. Supprime les accusations du crime de
lèse-majesté, ibi. Bizarrerie dans sa cruauté, 128 et
suiv. Il est tué: Claude lui succède, 164 et suiv.
CALLINIQUE. Inventeur du feu grégeois, 269.
Campanie. Portrait des peuples qui l'habitoient,
Cannes (bataille de). Perdue par les Romains contre les
Carthaginois, 46. Fermeté du sénat romain malgré
cette porte, ibid.

Carotians. Peuple oísif et volupiaeux, 15.
Cappadoce. Origine de ce royaume, 58.

1.5.

CARACALLA. Caractère et conduite de cet empereur, 180, Augmente la paye des soldats, 181. Met Géta, son frère, qu'il a tué, au rang des dieux, 184. Il est mis au rang des dieux par l'empereur Macrin, son successeur et son meurtrier, 185. Effets des profusións de cet empereur, ibid. Les soldats le regrettent, 186 et

suiv.

Carthage. Portrait de cette république, lors de la pre. mière guerre punique, 35. Parallèle de cette république avec celle de Rome, ibid. N'avoit que des sol

dats empruntés, 37. Son établissement moins solide que celui de Rome, 38. Sa mauvaise conduite dans la guerre, 39. Son gouvernement : dur, ibid. La fondation d'Alexandrie nuit à son commerce, 40. Reçoit la paix des Romains, après la seconde guerre punique, à de dures conditions, 50. Une des causes de la ruine de cette république, 100 et suiv. CASSIUS et BRUTUS. Font une faute funeste à la répu

blique, 121. Se donnent tous deux la mort, 135. GATON. Son mot sur le premier triumvirat, 117. Conseilloit, après la bataille de Pharsale, de traîner la guerre en longueur, 121. Parallèle de Caton avec Ccéron, 134.

Cavalerie. A moins besoin d'être disciplinée que l'infanterie, 211 et suiv.

Cavalerie d'Asie. Étoit meilleure que celle d'Europe, 252. Cavalerie numide. Passe au service des Romains, 40. 'Cavalerie romaine. Devenue aussi bonne qu'aucune au

tre, 26. Lors de la guerre contre les Carthaginois, elle étoit inférieure à celle de cette nation, 40. N'étoit d'abord que la onzième partie de chaque légion : multipliée dans la suite, 211. Exercée à tirer de l'arc, 230. Censeurs. Quel étoit le pouvoir de ces magistrats, 93. Ne pouvoient pas destituer un magistrat, 94. Leurs fonc tions par rapport au cens, 96.

Centuries. Servius Tullius divise le peuple romain par centuries, 94.

CÉSAR. Parallèle de ce Romain avec Pompée et Crassus, 116. Donne du dessous à Pompée, 117. Ce qui le met en état d'entreprendre sur la liberté de sa patrie, ibid. Effrais autant Rome qu'avoit fait Annibal, 119. Ses grandes qualités firent plus pour son élévation que sa fortune tant vantée, 120. Poursuit Pompée en

1

Grèce, ibid. Si sa clémence mérite de grands éloges, 123. Si l'on a eu raison de vanter sa diligence, ibid. Tente de se faire mettre le diadème sur la tête, 124. Méprise le sénat, et fait lui-même des sénatus-consultes, 125. Conspiration contre lui, ́125. Si l'assassinat de César fut un vrai crime, 128. Tous les actes qu'il avoit faits, confirmés par le sénat après sa mort, 130. Ses obsèques, 131. Ses conjurés finissent presque tous leur vie malheureusement, 138. Parallèle de César avec Auguste, 143 et suiv. Extinction totale de sa maison, 167 et suiv.

Champ de Mars, 21.

Change (variations dans le ). On en ti.e des inductions, 249.

Chemins publics. Bien entretenus chez les Romains, 24.
Chevaux. On en élève en beaucoup d'endroits qui n'en
avoient pas, 253.
Chrétiens. Opinion où l'on étoit dans l'empire grec qu'il

ne falloit pas verser le sang des Chrétiens, 246. Christianisme. Ce qui facilita son établissement dans l'eme pire romain, 180. Les Païens le regardoient conime la cause de la chute de l'empire romain, 215 et suiv. Fait place au mahométisme dans une partie de l'Asie et de l'Afrique, 251. Pourquoi Dieu permit qu'il s'éteignît dans tant d'endroits, 253.

CICERON. Sa conduite après la mort de César, 131. Travaille à l'élévation d'Octave, 133. Parallèle de Ciceron avec Caton, 134.

Civiles (guerres). Celles de Rome n'empêchent point son agrandissement, 122. En général, elles rendent un peuple plus belliqueux et plus formidable à ses voi sius, ibid. De deux sortes en France, 141.

CLAUDE, empereur. Donne à ses officiers le droit d'administrer la justice, 165.

Clémence. Si celle d'un usurpateur heureux mérite de grands éloges, 123.

CLEOPATRE. Fuit à la bataille d'Action, 140 et suiv. Avoit sans doute envie de gagner le cœur d'Octave, ibid. Colonies romaines, 38.

Comices. Devenus tumultu ux, 102.

Commerce. Raisons pourquoi la puissance oûì il élève une nation n'est pas toujours de longue durée, 40. Etoit réputé, comme les arts, chez les Romains, une occupation servile, 109 et suiv.

COMMODE. Succède à Marc-Aurèle, 155.

COMNENE. Voyez ANDRONIC, ALEXIS, JEAN, MANUEL.
Conjuration contre César, 126 et suiv.

Conquêtes. Celles des Romains lentes dans les commen-
cements, mais continues, 8. Plus difficiles à conserver
qu'à faire, 48.
Conspirations. Fréquentes dans les commencements du
règne d'Auguste, 143 et suiv. Devenues plus difficiles
qu'elles ne l'étoient chez les anciens : pourquoi, 249.
CONSTANT, petit-fils d'Héraclius
par Constantin. Tué en
Sicile, 253.
CONSTANTIN. Transporte le siége de l'empire en Orient,
196 et suiv. Distribue du blé à Constantinople et à
Rome, 197 et suiv. Retire dans l'intérieur des pro-
vinces les légions romaines placées sur les frontiers:
suite de cette innovation, 200.

CONSTANTIN, fils d'Héraclius. Empoisonné, 253. CONSTANTIN-LE-BARBU, fils de Constant. Succède à son père, ibid.

Constantinople. Ainsi nommée du nom de Constantin, 196. Divisée en deux factions, 36. Pouvoir immense

de ses patriarches, 259. Se soutenoit, sous les derniers empereurs grecs, par son commerce, 270. Prise par les croisés, 274. Reprise par les Grecs, 277. Sop commerce ruiné, ibid.

CONSTANTIUS. Envoie Julien dans les Gaules, 200.
Consuls annuels. Leur établissement à Rome, 19.
CORIOLAN. Sur quel ton le sénat traite avec lui, 4.,
Courage guerrier. Sa définition, 24.

Croisades, 274, et suiv.

Croisés. Font la guerre aux Grecs, et couronnent empe reur le comte de Flandre, 273. Possèdent Constantipople pendant soixante ans, 277,

Cynocéphales (journée des). Philippe y ęs vaincu pa les Etoliens unis aux Romains, 273

D

Danoises (troupes de terre), Presque toujours, battue par celles de Suède depuis près de deux siècles, 210. Danse. Chez les Romains n'étoit point un exercice étranger à l'art militaire, 21.

Décadence de la grandeur romaine. Ses causes, 97 et suiv. 1o. Les guerres dans les pays lointains, S. 2o. La concession du droit de bourgeoisie romaine à tous los alliés, 101. 3o. L'i suffisance de ses lois dans son état de grandeur, 104. 4o. La dépravation des mœurs, 107. 5o. L'abolition des triomphes, 145. 6o. L'inva sion des barbares dans l'empire, 150 et 221. 7°. Les troupes de barbares auxiliaires incorporées en trop grand nombre dans les armées romaines, 208. Comparaison des causes générales de la grandeur de Rome avec celles de sa décadence. 212 et suiv.

Decadence de Rome. Imputée par les Chrétiens aux Paiens, et par ceux-ci aux Chrétiens, 215 et suiv.