Mélanges religieux, historiques, politiques et littéraires : [1re série]: 1847-1850L. Vivès, 1861 |
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... coups . Il n'a pas long- temps obtenu le silence . De vives clameurs s'élèvent et cou- vrent sa voix ; c'est ainsi que la montagne a coutume de se boucher les oreilles . M. de Sèze est pourtant un orateur conciliant et poli . Il s ...
... coups . Il n'a pas long- temps obtenu le silence . De vives clameurs s'élèvent et cou- vrent sa voix ; c'est ainsi que la montagne a coutume de se boucher les oreilles . M. de Sèze est pourtant un orateur conciliant et poli . Il s ...
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... coups de poings qui s'est vidée récemment dans l'officine des lois fraternelles , au pied de la tribune ' . Je n'ai aucune autre glose à faire , tu sors des sociétés secrètes , ci- toyen procureur de la République tu reconnaîtras dans ...
... coups de poings qui s'est vidée récemment dans l'officine des lois fraternelles , au pied de la tribune ' . Je n'ai aucune autre glose à faire , tu sors des sociétés secrètes , ci- toyen procureur de la République tu reconnaîtras dans ...
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... coups pour venger tant de tortu- res ? SPARTACUS . Je connais les douleurs du pauvre , et j'y compatis . VINDEX . Tu mens . Non ; les dieux ... Tu mens . SPARTACUS . VINDEX . SPARTACUS . Les dieux me sont témoins que ce long martyre du ...
... coups pour venger tant de tortu- res ? SPARTACUS . Je connais les douleurs du pauvre , et j'y compatis . VINDEX . Tu mens . Non ; les dieux ... Tu mens . SPARTACUS . VINDEX . SPARTACUS . Les dieux me sont témoins que ce long martyre du ...
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... coups dont on guérit . Je t'en ferai connaître un autre , moins sentimental et moins conservateur . SPARTACUS . Tu me braves en vain , je t'aimerai malgré toi ; je te défie de vaincre ma patience et mon amour , ô frère infortuné ...
... coups dont on guérit . Je t'en ferai connaître un autre , moins sentimental et moins conservateur . SPARTACUS . Tu me braves en vain , je t'aimerai malgré toi ; je te défie de vaincre ma patience et mon amour , ô frère infortuné ...
Page 68
... coup de poing . Je verrai s'il est vrai que Dieu se soit laissé vaincre par vous , et si ce n'est pas pour vous punir , pyg- mées insolents , qu'il vous a permis de le chasser de mon cœur . Je changerai donc la face de ce monde 68 L ...
... coup de poing . Je verrai s'il est vrai que Dieu se soit laissé vaincre par vous , et si ce n'est pas pour vous punir , pyg- mées insolents , qu'il vous a permis de le chasser de mon cœur . Je changerai donc la face de ce monde 68 L ...
Common terms and phrases
amis assez aujourd'hui aurait avons Barrot besoin bon sens Bossuet catholicisme catholiques Chambolle chose chrétienne citoyen Clément Thomas cœur conservateurs Constitution Constitutionnel croire croyons d'Orléans demande démocratique Dieu dire discours discussion doctrines donner doute ennemis esprit évêques Félix Pyat force gens gouvernement Graziella hommes Hugo j'ai jamais jour journal Journal des Débats Jules Favre l'Assemblée l'Eglise l'Ere nouvelle l'esprit l'ordre laisser Lamartine Ledru-Rollin liberté lois ment miracles monarchie monde montagne Montalembert morale motu proprio n'en National Odilon Barrot Pape parle parole passé pauvres Pelletan pensée père péril peuple Phémie Pie IX Pierre Leroux politique prêt à intérêt prêtres principes projet propriété Proudhon Pyat qu'un question raison Raphaël religieuse religion républicain république république romaine respect reste révolution révolutionnaire rien rire romaine Rome s'est s'il saint sent sera seul siècle socialistes société sommes SPARTACUS suffrage universel talent Thiers tion tribune trouve vérité veut VINDEX Voilà voix vote vrai
Popular passages
Page 223 - ... montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes. Ils se retirent la nuit dans des tanières où ils vivent de pain noir, d'eau et de racines ; ils épargnent aux autres hommes la peine de semer, de labourer et de recueillir pour vivre, et méritent ainsi de ne pas manquer de ce pain qu'ils ont semé.
Page 222 - L'on voit * certains animaux farouches , des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs , livides, et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible : ils ont comme une voix articulée ; et quand ils se lèvent sur leurs pieds , ils montrent une face humaine , et en effet ils sont des hommes.
Page 296 - A quoi ne doit pas s'attendre le siècle qui suivra le nôtre! La cognée est mise à la racine de l'arbre: d'une part, les philosophes s'élèvent contre les absurdités d'une superstition révérée; d'une autre, les abus de la dissipation forcent les princes à s'emparer des biens de ces reclus, les suppôts et les trompettes du fanatisme.
Page 539 - Quoi ! partout votre raison demeure arrêtée ! partout ou elle gauchit, ou elle s'égare, ou elle succombe! Cependant vous ne voulez pas que la foi vous prescrive ce qu'il faut croire. Aveugle , chagrin et dédaigneux , vous ne voulez pas qu'on vous guide et qu'on vous donne la main.
Page 539 - Mais vous vous irez engager dans des détours infinis , dans quelque chemin perdu ; vous vous jetterez dans quelque précipice. Voulez-vous qu'on vous fasse entendre clairement toutes les vérités divines? Mais considérez où vous êtes, et en quelle basse région du monde vous avez été relégué. Voyez cette nuit profonde, ces ténèbres épaisses qui vous environnent : la faiblesse, l'imbécillité, l'ignorance de votre raison . Concevez que ce n'est pas ici la région de l'intelligence.
Page 550 - Nos gouvernements modernes doivent incontestablement au christianisme leur plus solide autorité, et leurs révolutions moins fréquentes; il les a rendus eux-mêmes moins sanguinaires : cela se prouve par le fait , en les comparant aux gouvernements anciens. La religion, mieux connue , écartant le fanatisme , a donné plus de douceur aux mœurs chrétiennes. Ce changement n'est point l'ouvrage des lettres; car partout où elles ont brillé, l'humanité...
Page 550 - Gengiskan, qui ont dévasté l'Asie ; et nous verrons que nous devons au christianisme, et dans le gouvernement un certain droit politique, et dans la guerre un certain droit des gens, que la nature humaine ne saurait assez reconnaître.
Page 539 - Dieu, ça, paraissez, venez en présence, développez-nous les énigmes de la nature ; choisissez ou ce qui est loin, ou ce qui est près, ou ce qui est à vos pieds, ou ce qui est bien haut...
Page 87 - C'est ainsi que j'expiai par ces larmes écrites la dureté et l'ingratitude de mon cœur de dix-huit ans. Je ne puis jamais relire ces vers sans adorer cette fraîche image que rouleront éternellement pour moi les vagues transparentes et plaintives du golfe de Naples... et sans me haïr moimême; mais les âmes pardonnent là-haut. La sienne m'a pardonné. Pardonnez-moi aussi, vous!!! J'ai pleuré.
Page 159 - Phémie est une personne de dix-neuf ans, taillée en poutre. Larges pieds, larges mains, large nez, large bouche, avec de certains petits yeux picards pas trop timides, et un gros coloris rouge broyé à l'huile sur une peau noire. Elle n'est point mécontente de ce partage.