Textes classiques de la littérature française: extraits des grands écrivains franćais. Moyen Âge, XVIe et XVIIe siècles, Volume 1 |
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... peine à le préserver de toute atteinte ; c'était comme une machine immense , compliquée , pleine de détails déli- cats et fragiles , qui donnait de merveilleux résultats sous une impulsion habile , mais qui ne pouvait supporter sans se ...
... peine à le préserver de toute atteinte ; c'était comme une machine immense , compliquée , pleine de détails déli- cats et fragiles , qui donnait de merveilleux résultats sous une impulsion habile , mais qui ne pouvait supporter sans se ...
Page 13
... peine assez nombreux pour assiéger une des portes de sa capitale . Le grand mérite de l'histo- rien , c'est qu'il s'identifie si bien avec son sujet , qu'il est impossible de l'en distinguer . La narration et l'évènement font corps ...
... peine assez nombreux pour assiéger une des portes de sa capitale . Le grand mérite de l'histo- rien , c'est qu'il s'identifie si bien avec son sujet , qu'il est impossible de l'en distinguer . La narration et l'évènement font corps ...
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... peine la pouvoient - ils croire mais les Vénitiens , pour la leur confirmer , leur envoyèrent en des batteaux nombre de chevaux et de palefroiz de ceux qu'ils avoient desjà gagnez dans la ville . Quand l'empereur Alexis les vit ainsi ...
... peine la pouvoient - ils croire mais les Vénitiens , pour la leur confirmer , leur envoyèrent en des batteaux nombre de chevaux et de palefroiz de ceux qu'ils avoient desjà gagnez dans la ville . Quand l'empereur Alexis les vit ainsi ...
Page 27
... peine soustenir . Lors ils prierent tant Monseigneur Jehan de Vienne , leur capitaine , qu'il monta aux cre- neaux des murs de la ville , et fit signe à ceux de dehors , qu'il vouloit parler à eux . Quand le Roy d'Angleterre ouit ces ...
... peine soustenir . Lors ils prierent tant Monseigneur Jehan de Vienne , leur capitaine , qu'il monta aux cre- neaux des murs de la ville , et fit signe à ceux de dehors , qu'il vouloit parler à eux . Quand le Roy d'Angleterre ouit ces ...
Page 31
... peine . Là fit le roy Jehan , de sa main , merveilles d'armes , et tenoit une hache de guerre , dont bien se deffendoit et combattoit . A la presse rompre et ouvrir , furent prins , assez pres de luy , le comte de Tancarville , messire ...
... peine . Là fit le roy Jehan , de sa main , merveilles d'armes , et tenoit une hache de guerre , dont bien se deffendoit et combattoit . A la presse rompre et ouvrir , furent prins , assez pres de luy , le comte de Tancarville , messire ...
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ABNER AGAMEMNON ALCESTE âme amour Arcas ARMANDE ATHALIE avez avoit beau BÉLISE Boileau Bossuet Britannicus BURRHUS Calchas CÉLIMÈNE charme CHICANNEAU CHIMÈNE chose CHRYSALE ciel Cinna CLYTEMNESTRE cœur comte COMTESSE Corneille coup courage courroux crime DEMOGEOT DIÈGUE Dieu dieux dire discours donne douleur édition enfin ennemis esprit estoit Fénelon fille fils FLÈCHE François Ier frère gens gloire Grecs HARPAGON HERMIONE héros homme HORACE j'ai jamais JOAD JOSABET jour laisse Louis madame main MAÎTRE JACQUES malheur Mardochée Molière monde monsieur mort mourir NARCISSE NÉARQUE NÉRON NICOMÈDE ORESTE ORGON ORONTE parler passé PAULINE pensée père peuple PHILAMINTE PHILINTE pleurs poète POLYEUCTE prince PRUSIAS Pyrrhus qu'à qu'un raison reste rien RODRIGUE rois Romains Rome sage saint sais sang satire SCÈNE seigneur sentiments seul Sire soin sort souffrir temple terre TRISSOTIN triste trouve Ulysse VADIUS VALÈRE venger vertu veut veux Voilà vois voulez yeux
Popular passages
Page 431 - Le second, de diviser chacune des difficultés que j'examinerais en autant de parcelles qu'il se pourrait et qu'il serait requis pour les mieux résoudre. Le troisième, de conduire par ordre mes pensées, en commençant par les objets les plus simples et les plus, aisés à connaître, pour monter peu à peu comme par degrés jusques à la connaissance des plus composés, et supposant même de l'ordre entre ceux qui ne se précèdent point naturellement les uns les autres.
Page 431 - Le premier était de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie que je ne la connusse évidemment être telle; c'est-à-dire d'éviter soigneusement la précipitation et la prévention, et de ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute.
Page 449 - Celui qui règne dans les cieux, et de qui relèvent tous les empires, à qui seul appartient la gloire, la majesté et l'indépendance, est aussi le seul qui se glorifie de faire la loi aux rois, et de leur donner, quand il lui plaît, de grandes et de terribles leçons...
Page 440 - Qu'un ciron lui offre, dans la petitesse de son corps, des parties incomparablement plus petites, des jambes avec des jointures, des veines dans ces jambes, du sang dans ces veines, des humeurs dans ce sang, des gouttes dans ces humeurs, des...
Page 407 - L'âne vint à son tour, et dit : J'ai souvenance Qu'en un pré de moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net.
Page 250 - J'entre en une humeur noire, en un chagrin profond, Quand je vois vivre entre eux, les hommes comme ils font ; Je ne trouve partout, que lâche flatterie, Qu'injustice, intérêt, trahison, fourberie; Je n'y puis plus tenir, j'enrage, et mon dessein Est de rompre en visière à tout le genre humain.
Page 386 - LE CHÊNE ET LE ROSEAU Le chêne un jour dit au roseau : "Vous avez bien sujet d'accuser la nature : Un roitelet pour vous est un pesant fardeau. Le moindre vent qui d'aventure Fait rider la face de l'eau Vous oblige à baisser la tête : Cependant que mon front, au Caucase pareil, Non content d'arrêter les rayons du soleil, Brave l'effort de la tempête.
Page 290 - Hélas ! mon pauvre argent ! mon pauvre argent ! mon cher ami ! on m'a privé de toi ; et, puisque tu m'es enlevé, j'ai perdu mon support, ma consolation, ma joie : tout est fini pour moi, et je n'ai plus que faire au monde. Sans toi, il m'est impossible de vivre. C'en est fait : je n'en puis plus ; je me meurs ; je suis mort ; je suis enterré.
Page 407 - J'ai dévoré force moutons. Que m'avaient-ils fait ? nulle offense. Même il m'est arrivé quelquefois de manger Le berger. Je me dévouerai donc, s'il le faut : mais je pense Qu'il est bon que chacun s'accuse ainsi que moi ; Car on doit souhaiter, selon toute justice, Que le plus coupable périsse.
Page 364 - II n'est point de serpent ni de monstre odieux, Qui, par l'art imité, ne puisse plaire aux yeux : D'un pinceau délicat l'artifice agréable Du plus affreux objet fait un objet aimable.