Revue pédagogique, Volume 12, Part 1Ch. Delagrave, 1888 - Education |
Other editions - View all
Common terms and phrases
27 juillet BEURIER bibliothèque Bossuet Bourg-d'Iré breton cahier de devoirs cahier mensuel Camille Sée cart Circulaire de l'inspecteur classe commission Conseil cours décret démocratie devoirs mensuels dire directeur donner duc d'Enghien écoles centrales écoles maternelles écoles normales écoles normales primaires écoles primaires Edgar Quinet éducation élémentaire élèves enfants enseignement esprit études exercices Falloux Félix PÉCAUT Fénelon filles française général Gréard Hachette homme Horace Mann indigènes inspecteurs instituteurs institutrices jeunes l'école l'éducation l'élève l'enfant l'enseignement primaire l'esprit l'étude l'histoire l'inspecteur d'académie l'instruction publique laisser langue leçon de choses lecture Léon Say lettres littéraire livre lycée maître ment méthode ministère de l'instruction ministre morale moyen Musée pédagogique nombre parler pays pensée politique pratique premier préparation primaires supérieures professeur programme publié question raison Ratio Studiorum reste REVUE PÉDAGOGIQUE 1888 rien science scolaire sentiment serait seulement siècle société spécial Sully Prudhomme surtout système tion travail manuel trouve Turgot volume
Popular passages
Page 233 - Il sera créé et organisé une instruction publique, commune à tous les citoyens , gratuite à l'égard des parties d'enseignement indispensables pour tous les hommes, et dont les établissemens seront distribués graduellement, dans un rapport combiné avec la division du royaume.
Page 383 - A la nuit, qu'il fallut passer en présence des ennemis, comme un vigilant capitaine, il reposa le dernier; mais jamais il ne reposa plus paisiblement.
Page 386 - Fontaines, qu'on voyait porté dans sa chaise et, malgré ses infirmités, montrer qu'une âme guerrière est maîtresse du corps qu'elle anime. Mais enfin il faut céder. C'est en vain qu'à travers des bois, avec sa cavalerie toute fraîche...
Page 389 - Ainsi la première victoire fut le gage de beaucoup d'autres. Le Prince fléchit le genou, et dans le champ de bataille il rend au Dieu des armées la gloire qu'il lui envoyait.
Page 438 - ... dispense. Nous assistons depuis trois quarts de siècle au spectacle de l'insuffisance et de la fragilité de toutes les supériorités que donne le sort, de la naissance, de la richesse, de la tradition, du rang; nous avons vu en même temps, à tous les étages et dans toutes les carrières de la société, une foule d'hommes s'élever et prendre en haut leur place par la seule puissance de l'esprit, du caractère, du savoir, du travail. A côté des tristes et mauvaises impressions que suscite...
Page 386 - ... que le combat. Pendant qu'avec un air assuré il s'avance pour recevoir la parole de ces braves gens, ceux-ci toujours en garde craignent la surprise de quelque nouvelle attaque ; leur effroyable décharge met les nôtres en furie : on ne voit plus que carnage, le sang enivre le soldat; jusqu'à ce que...
Page 387 - ... ne put voir égorger ces lions comme de timides brebis, calma les courages émus, et joignit au plaisir de vaincre celui de pardonner. Quel fut alors l'étonnement de ces vieilles troupes et de leurs braves officiers, lorsqu'ils virent qu'il n'y avait plus de salut pour eux qu'entre les bras du vainqueur!
Page 604 - Le conseil départemental de l'instruction publique, après avoir pris l'avis des conseils municipaux, détermine, sous réserve de l'approbation du ministre, le nombre, la nature et le siège des écoles primaires publiques de tout degré qu'il ya lieu d'établir ou de maintenir dans chaque commune, ainsi que le nombre des maîtres qui y sont attachés.
Page 386 - Pendant qu'avec un air assuré il s'avance pour recevoir la parole de ces braves gens, ceux-ci, toujours en garde, craignent la surprise de quelque nouvelle attaque; leur effroyable décharge met les nôtres en furie; on ne voit plus que carnage; le sang enivre le soldat, jusqu'à ce que le grand prince, qui ne put voir égorger ces lions comme de timides brebis, calma les courages émus, et joignit au plaisir de vaincre celui de pardonner.
Page 382 - Mellos l'attend de pied ferme ; et, sans pouvoir reculer, les deux généraux et les deux armées semblent avoir voulu se renfermer dans des bois et dans des marais pour décider leur querelle, comme deux braves, en champ clos.