Histoire des Français, Volume 4Wouters frères, 1846 |
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Common terms and phrases
Aigues-Mortes Albigeois Anglais Angliæ armée Armoricus attaquer avaient barons c'était cardinal Charles d'Anjou château chevaliers chrétiens Chron clergé comte de Bretagne comte de Foix comte de Toulouse comte Raimond concile conquête cour de Rome couronne croisade croisés croix d'Angleterre d'Aragon Damiette devant Eccles ennemis étoit évêques féodale fiefs fils Flandre Frédéric frère Grégoire Grégoire IX guerre Guill Guillaume Henri hérétiques Hist Ibid Innocent Innocent IV Jean Jean de Brienne Jérusalem Joinville l'Albigeois l'armée l'autorité l'Église l'empereur l'évêque Languedoc légat Leicester Louis IX Louis VIII Matth Mauclerc monarque mort musulmans n'avait n'était Nangis Narbonne Navarre négociations paix pape père Petri Val peuple Philippe Philippe-Auguste Pierre Mauclerc Podio Laurentii Poitou pouvait prélats prêtres prince provinces Raimond VII rassemblé Raynaldi Ann reine Blanche rois royale royaume Rymer s'était saint Louis Saint-Denis Sarrasins seigneurs serment seulement Simon de Montfort soldats terre sainte Thibaud trêve trouvait vassaux Westmon
Popular passages
Page 519 - Castille et la France. Naguère saint Louis faisant baptiser à Saint-Denis un juif converti, il voulut que les ambassadeurs de Tunis assistassent à la cérémonie, et il leur dit ensuite : « Rapportez à votre maître que je désire si fort le salut de son âme, que je voudrais être dans les prisons des Sarrasins pour le reste de ma vie et ne jamais revoir la lumière du jour, si je pouvais, à ce prix, rendre votre roi et son peuple chrétiens comme cet homme.
Page 379 - Seigneur, nous sommes au plus » grand péril que nous fussions oncques; car s'ils ardent nos chats» châteaux et nous y demeurons, nous sommes perdus et ars, et si » nous laissons nos défenses que l'on nous a baillées à garder, nous » sommes honnis ; dont nul de ce péril ne nous peut défendre fors » que Dieu. Si vous loue et vous conseille que toutes les fois...
Page 252 - ... blessée d'un enfant qu'elle avoit » eu. Là vint la reine Blanche et prit son fils par » la main , et lui dit : venez-vous-en, vous ne y> faites rien ici. Quand la reine Marguerite vit » que la mère emmenoit le roi, elle s'écria: hélas! » vous ne me laisserez voir mon...
Page 36 - Si dans ce moment Philippe-Auguste courut un grand danger, l'empereur Othon ne tarda pas à se voir exposé à un péril non moins grave. En effet, les chevaliers français parvinrent jusqu'à lui. « Pierre » de Mauvoisin saisit même la bride de son cheval : comme il ne...
Page 191 - D'illec se partit tout pensif, et lui venoit souvent » en remembrance le doux regard de la reine et sa belle contenance.
Page 479 - 2. naie avait été usurpé, comme tous les autres droits régaliens, par les seigneurs sur les terres desquels se trouvaient les anciens hôtels des monnaies de Charlemagne. D'après le compte qu'en a fait l'abbé de Mably, il y...
Page 462 - ... qui commence par ces mots : « Sachez que , par délibération de notre conseil, nous avons prohibé toute guerre dans notre royaume, tout incendie, tout empêchement donné aux charrues...
Page 35 - Saint-Paul, fit une trouée au milieu des ennemis, et revint par un autre endroit, après avoir traversé deux fois leur ligne. Le duc de Bourgogne, qui eut un cheval tué sous lui, et qui, ayant beaucoup d'embonpoint, aurait été fait prisonnier sans la prompte assistance de ses Bourguignons.
Page 523 - ... chrétienne, répondant les litanies et les psaumes, dictant pour son fils une belle et touchante instruction, accueillant même les ambassadeurs des Grecs, qui venaient le prier d'intervenir en leur faveur auprès de son frère Charles d'Anjou, dont l'ambition les menaçait. Il leur parla avec bonté, il leur promit de s'employer avec zèle, s'il vivait pour leur conserver la paix ; mais, dès le lendemain, il entra lui-même dans la paix de Dieu.
Page 391 - Il y avoit tout plein de gens qui se confessoient à un frère de la Trinité , qui estoit au conte Guillaume de Flandres.