| 1823 - 580 pages
...Sflng l'entendre prononcer un seul mol. On assurait cependant qu'elle montrait île l'esprit, et môme de l'amabilité dans la société de quelques dames...beaucoup, mais elle lisait seule; la présence d'une leclrice l'eût infiniment gênée. Il y avait pourtaut des occasions où celle princesse si sauvage,... | |
| Mme Campan (Jeanne-Louise-Henriette) - Anecdotes - 1822 - 470 pages
..., elle avait pris l'habitude de voir de côté, à la manière des lièvres. Cette princesse était d'une si grande timidité qu'il était possible de...occasions où cette princesse, si sauvage, devenait tout-à-coup affable, gracieuse et montrait la bonté la plus eommunicative ; c'était lorsqu'il faisait... | |
| Saint Albin Berville, François Barrière - France - 1823 - 456 pages
...elle avait pris l'habitude de voir de côté , à la manière des lièvres. Cette princesse était d'une si grande timidité, qu'il était possible de...sans l'entendre prononcer un seul mot. On assurait cepen. dant qu'elle montrait de l'esprit et même de l'amabilité dans la société de quelques dames... | |
| Rose Bertin - 1824 - 304 pages
...elle avait pris l'habitude de les voir de côté, à la manière des lièvres. Cette princesse était d'une si grande timidité qu'il était possible de...des années , sans l'entendre prononcer un seul mot. Madame Louise entrait dans sa quatorzième année, lorsquen 1751 elle revint de Fontevrault avec ses... | |
| Mme Campan (Jeanne-Louise-Henriette) - France - 1826 - 478 pages
...elle avait pris l'habitude de voir de côté , à la manière des lièvres. Cette princesse était d'une si grande timidité , qu'il était possible...la société de quelques dames préférées ; elle s'intruisait beaucoup , mais elle lisait seule; la présence d'une lectrice l'eût iniiniment gênée.... | |
| abbe Antoine Eugene de Genoude - 1847 - 706 pages
...passage, elle avait pris l'habitude de voir de coté, à la manière des lièvres. Cette princesse était d'une si grande timidité , qu'il était possible...occasions où cette princesse , si sauvage , devenait tout à coup affable , gracieuse , et montrait la bouté la plus communicative; c'était lorsqu'il... | |
| François Barrière - France - 1849 - 504 pages
..., elle avait pris l'habitude de voir de côté, à la manière des lièvres. Cette princesse était d'une si grande timidité qu'il était possible de...occasions où cette princesse si sauvage devenait tout à coup affable, gracieuse, et montrait la bouté la plus communicative; c'était lorsqu'il faisait... | |
| France - 1849 - 496 pages
..., elle avait pris l'habitude de voir de côté, à la manière des lièvres. Cette princesse était d'une si grande timidité qu'il était possible de...dames préférées ; elle s'instruisait beaucoup, maiselle lisait seule; la présenced'une lectrice l'eût inDniment gênée. Il y avait pourtant des... | |
| Just-Jean-Etienne Roy - 1866 - 254 pages
...laide; d'un caractère timide, qui allait jusqu'à la sauvagerie, elle ne parlait presque jamais, et il était possible de la voir tous les jours, pendant des années, sans l'entendre prononcer un mot. Cependant, quand les trois princesses furent présentées par le roi à la Dauphine, elles lui... | |
| François Barrière, Mathurin Lescure - France - 1867 - 496 pages
..., elle avait pris l'habitude de voir de côté, à la manière des lièvres. Cette princesse était d'une si grande timidité qu'il était possible de...des années, sans l'entendre prononcer un seul mot. OD assurait cependant qu'elle montrait de l'esprit, et même de l'amabilité dans la société de quelques... | |
| |