First French reader: for beginners |
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Page 20
... Devant le tribunal de l'histoire , dit Ségur , les conqué- rants descendent " de leurs chars de triomphe , les tyrans n'effraient plus par leurs satellites , les princes nous appa- raissent dépouillés de la fausse grandeur que leur ...
... Devant le tribunal de l'histoire , dit Ségur , les conqué- rants descendent " de leurs chars de triomphe , les tyrans n'effraient plus par leurs satellites , les princes nous appa- raissent dépouillés de la fausse grandeur que leur ...
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... devant lui . - Un petit - maître vou- lant un jour jeter du ridicule sur l'incapacité d'un jeune homme , dit à ce prince , qu'on ferait un gros livre de ce que ce seigneur ne savait pas . Le roi prenant * un air sé- vère , dit à ce ...
... devant lui . - Un petit - maître vou- lant un jour jeter du ridicule sur l'incapacité d'un jeune homme , dit à ce prince , qu'on ferait un gros livre de ce que ce seigneur ne savait pas . Le roi prenant * un air sé- vère , dit à ce ...
Page 56
... devant le soleil , le souffle des autans Fait passer tour à tour les nuages flottants , Le cœur le plus heureux recèle quelques peines . Tel un insecte impur , caché dans nos fontaines , De leurs plus belles eaux empoisonne le cours ...
... devant le soleil , le souffle des autans Fait passer tour à tour les nuages flottants , Le cœur le plus heureux recèle quelques peines . Tel un insecte impur , caché dans nos fontaines , De leurs plus belles eaux empoisonne le cours ...
Page 63
... devant la porte d'Aarberg , à Berne ; nous en demandâmes la cause ; on nous répondit laconiquement : -Les ours . Nous parvînmes en effet jusqu'à un parapet autour duquel étaient appuyées , comme sur une galerie de salle de spectacle ...
... devant la porte d'Aarberg , à Berne ; nous en demandâmes la cause ; on nous répondit laconiquement : -Les ours . Nous parvînmes en effet jusqu'à un parapet autour duquel étaient appuyées , comme sur une galerie de salle de spectacle ...
Page 65
... devant , un sentier qui lui parut plus praticable et plus court nous égara . Ce fut ma faute ; devais - je me fier à une tête de vingt ans ? Nous cherchâmes , tant qu'il fit jour , notre chemin à travers ces bois ; mais plus nous ...
... devant , un sentier qui lui parut plus praticable et plus court nous égara . Ce fut ma faute ; devais - je me fier à une tête de vingt ans ? Nous cherchâmes , tant qu'il fit jour , notre chemin à travers ces bois ; mais plus nous ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 109 - Les habitants de Paris sont d'une curiosité qui va jusqu'à l'extravagance. Lorsque j'arrivai, je fus regardé comme si j'avais été envoyé du ciel: vieillards, hommes, femmes, enfants, tous voulaient me voir. Si je sortais...
Page 68 - ... porte se referme, la lampe s'en va, et je reste seul à mes réflexions. Dès que le jour parut, toute la famille, à grand bruit, vint nous éveiller, comme nous l'avions recommandé. On apporte à manger : on sert un déjeuner fort propre, fort bon, je vous assure. Deux chapons en faisaient partie, dont il fallait, dit notre hôtesse, emporter l'un et manger l'autre. En les voyant, je compris enfin le sens de ces terribles mots : faut-il les tuer tous deux?
Page 62 - L'amour, la gloire, le génie, Ont trop enivré mes beaux jours; Dans l'inculte Calédonie De mon sort va changer le cours.
Page 109 - Chose admirable ! je trouvais de mes portraits partout ; je me voyais multiplié dans toutes les boutiques, sur toutes les cheminées, tant on craignait de ne m'avoir pas assez vu. Tant d'honneurs ne laissent pas d'être à charge : je ne me croyais pas un homme si curieux et si rare; et quoique j'aie...
Page 73 - ... les trouvèrent également savoureuses. Ils firent ce repas frugal, remplis de joie par le souvenir de la bonne action qu'ils avaient faite le matin ; mais cette joie était troublée par l'inquiétude où ils se doutaient bien que leur longue absence de la maison jetterait leurs mères. Virginie revenait souvent sur cet objet. Cependant Paul, qui sentait ses forces rétablies, l'assura qu'ils ne tarderaient pas à tranquilliser leurs parents. Après dîner, ils se trouvèrent bien embarrassés...
Page 66 - ... promit à ces gens pour la dépense, et pour nos guides le lendemain, ce qu'ils voulurent. Enfin, il parla de sa valise, priant fort qu'on en eût grand soin, qu'on la mît au chevet de son lit; il ne voulait point, disait-il, d'autre traversin.
Page 67 - Au bout d'un quart d'heure, qui fut long, j'entends sur l'escalier quelqu'un, et par la fente de la porte, je vis le père, sa lampe dans une main, dans l'autre un de ses grands couteaux. Il montait, sa femme après lui, moi derrière la porte ; il ouvrit ; mais, avant d'entrer il posa la lampe, que sa femme vint prendre ; puis il entre pieds nus, et elle, de dehors,; lui disait à voix basse, masquant avec ses doigts le trop de lumière de a lampe, doucement, va doucement.
Page 67 - Et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je? je restai respirant à peine, tout mon corps froid comme un marbre; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Dieu!
Page 72 - Ils remontèrent ensemble le revers du morne par où ils étaient descendus, et, parvenus au sommet, ils s'assirent sous un arbre, accablés de lassitude, de faim et de soif. Ils avaient fait à jeun plus de cinq lieues depuis le lever du soleil. Paul dit à Virginie : « Ma sœur, il est plus de midi : tu as faim et soif : nous ne trouverons point ici à dîner : redescendons le morne et allons demander à manger au maître de l'esclave.
Page 51 - Il est si beau l'enfant, avec son doux sourire , Sa douce bonne foi, sa voix qui veut tout dire, Ses pleurs vite apaisés. Laissant errer sa vue étonnée et ravie, Offrant de toutes parts sa jeune ârne à la vie, Et sa...