First French reader: for beginners |
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Page 37
... cher cousin , lui répondit le roi , on ne sau- rait ' marcher bien vîte , lorsqu'on est chargé de lauriers comme vous l'êtes . " 28 . Dans le temps que Turenne commandait en Allemagne , une ville neutre croyant que l'armée allait passer ...
... cher cousin , lui répondit le roi , on ne sau- rait ' marcher bien vîte , lorsqu'on est chargé de lauriers comme vous l'êtes . " 28 . Dans le temps que Turenne commandait en Allemagne , une ville neutre croyant que l'armée allait passer ...
Page 47
... Chers témoins de ma paix secrète ! C'est vous ! Vous voilà ! je vous voi ! " Qu'avec plaisir je vous répète : Il n'est point de petit chez soi . Ducis . LE VOYAGE . Partir avant le jour , à tâtons , sans voir goutte , ' Sans songer ...
... Chers témoins de ma paix secrète ! C'est vous ! Vous voilà ! je vous voi ! " Qu'avec plaisir je vous répète : Il n'est point de petit chez soi . Ducis . LE VOYAGE . Partir avant le jour , à tâtons , sans voir goutte , ' Sans songer ...
Page 57
... Lui rend ce bien si cher , le pose à ses genoux , Contemple de l'enfant le paisible sourire , Et dans le fond des bois lentement se retire . Millevoye . ODE . Les cieux instruisent la terre A révérer leur FIRST FRENCH READER . 57.
... Lui rend ce bien si cher , le pose à ses genoux , Contemple de l'enfant le paisible sourire , Et dans le fond des bois lentement se retire . Millevoye . ODE . Les cieux instruisent la terre A révérer leur FIRST FRENCH READER . 57.
Page 105
... cher , mon vénérable Rollin , que je vous en ai une sincère obligation , et que les marques d'amitié que vous me témoignez , me sont plus agréables que tous les compliments très souvent faux ou insipides que je ne dois qu'à mon rang ...
... cher , mon vénérable Rollin , que je vous en ai une sincère obligation , et que les marques d'amitié que vous me témoignez , me sont plus agréables que tous les compliments très souvent faux ou insipides que je ne dois qu'à mon rang ...
Page 110
... cher Comte , pour vous écrire une des plus fâcheuses pertes , qui pût arriver en France ; c'est celle de Mr. de Turenne , dont je suis assu- rée que vous serez aussi touché et aussi désolé que nous le sommes ici . Cette nouvelle arriva ...
... cher Comte , pour vous écrire une des plus fâcheuses pertes , qui pût arriver en France ; c'est celle de Mr. de Turenne , dont je suis assu- rée que vous serez aussi touché et aussi désolé que nous le sommes ici . Cette nouvelle arriva ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 109 - Les habitants de Paris sont d'une curiosité qui va jusqu'à l'extravagance. Lorsque j'arrivai, je fus regardé comme si j'avais été envoyé du ciel: vieillards, hommes, femmes, enfants, tous voulaient me voir. Si je sortais...
Page 68 - ... porte se referme, la lampe s'en va, et je reste seul à mes réflexions. Dès que le jour parut, toute la famille, à grand bruit, vint nous éveiller, comme nous l'avions recommandé. On apporte à manger : on sert un déjeuner fort propre, fort bon, je vous assure. Deux chapons en faisaient partie, dont il fallait, dit notre hôtesse, emporter l'un et manger l'autre. En les voyant, je compris enfin le sens de ces terribles mots : faut-il les tuer tous deux?
Page 62 - L'amour, la gloire, le génie, Ont trop enivré mes beaux jours; Dans l'inculte Calédonie De mon sort va changer le cours.
Page 109 - Chose admirable ! je trouvais de mes portraits partout ; je me voyais multiplié dans toutes les boutiques, sur toutes les cheminées, tant on craignait de ne m'avoir pas assez vu. Tant d'honneurs ne laissent pas d'être à charge : je ne me croyais pas un homme si curieux et si rare; et quoique j'aie...
Page 73 - ... les trouvèrent également savoureuses. Ils firent ce repas frugal, remplis de joie par le souvenir de la bonne action qu'ils avaient faite le matin ; mais cette joie était troublée par l'inquiétude où ils se doutaient bien que leur longue absence de la maison jetterait leurs mères. Virginie revenait souvent sur cet objet. Cependant Paul, qui sentait ses forces rétablies, l'assura qu'ils ne tarderaient pas à tranquilliser leurs parents. Après dîner, ils se trouvèrent bien embarrassés...
Page 66 - ... promit à ces gens pour la dépense, et pour nos guides le lendemain, ce qu'ils voulurent. Enfin, il parla de sa valise, priant fort qu'on en eût grand soin, qu'on la mît au chevet de son lit; il ne voulait point, disait-il, d'autre traversin.
Page 67 - Au bout d'un quart d'heure, qui fut long, j'entends sur l'escalier quelqu'un, et par la fente de la porte, je vis le père, sa lampe dans une main, dans l'autre un de ses grands couteaux. Il montait, sa femme après lui, moi derrière la porte ; il ouvrit ; mais, avant d'entrer il posa la lampe, que sa femme vint prendre ; puis il entre pieds nus, et elle, de dehors,; lui disait à voix basse, masquant avec ses doigts le trop de lumière de a lampe, doucement, va doucement.
Page 67 - Et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je? je restai respirant à peine, tout mon corps froid comme un marbre; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Dieu!
Page 72 - Ils remontèrent ensemble le revers du morne par où ils étaient descendus, et, parvenus au sommet, ils s'assirent sous un arbre, accablés de lassitude, de faim et de soif. Ils avaient fait à jeun plus de cinq lieues depuis le lever du soleil. Paul dit à Virginie : « Ma sœur, il est plus de midi : tu as faim et soif : nous ne trouverons point ici à dîner : redescendons le morne et allons demander à manger au maître de l'esclave.
Page 51 - Il est si beau l'enfant, avec son doux sourire , Sa douce bonne foi, sa voix qui veut tout dire, Ses pleurs vite apaisés. Laissant errer sa vue étonnée et ravie, Offrant de toutes parts sa jeune ârne à la vie, Et sa...