Port-Royal, Volume 1 |
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âmes Antoine Arnauld assez avoit c'était Camus cardinal catholique charité chose chrétienne Citeaux cloître cœur confesseur Corneille Cyran d'Andilly dévotion Dieu Dioclétien dire disait doctrine écrit esprit étoit évêque Fénelon fille François de Sales Henri IV Hippone homme j'ai Jansénisme Jansénius Jésuites Jésus-Christ jeune abbesse jeune Angélique jour Journée du Guichet juge l'abbaye l'abbé l'abbesse l'Église l'esprit l'évêque laissé Lancelot lettre livre lui-même madame Arnauld madame d'Estrées maison Maître Marion Maubuisson Mémoires ment mère Agnès mère Angélique monastère monde mort n'avait Néarque parler paroles Pascal passer Pauline pénitence pensée Père personne piété poëte Polyeucte Port Port-Royal pourtant premier presque prêtre Racine réforme religieuses religion reste Richelieu rien Rome Rotrou s'en sacrement saint Augustin saint François Saint Genest Saint-Cyran seizième siècle semble sens sentiment Séricourt seul Sévère Singlin sœur solitaires sorte souvent spirituelle sujet théologie tion trouve vérité Vincent de Paul visite voilà vrai Zamet
Popular passages
Page 117 - Oui, si la vie et la mort de Socrate sont d'un sage, la vie et la mort de Jésus sont d'un Dieu.
Page 107 - Il est toujours tout juste et tout bon ; mais sa grâce Ne descend pas toujours avec même efficace ; Après certains moments que perdent nos longueurs, Elle quitte ces traits qui pénètrent les cœurs ; Le nôtre s'endurcit, la repousse, l'égaré : Le bras qui la versait en devient plus avare, Et cette sainte ardeur qui doit porter au bien Tombe plus rarement, ou n'opère plus rien.
Page 379 - L'intrépidité d'un homme incrédule, mais mourant, ne peut le garantir de quelque trouble, s'il raisonne ainsi : Je me suis trompé mille fois sur mes plus palpables intérêts, et j'ai pu me tromper encore sur la religion. Or, je n'ai plus le temps ni la force de l'approfondir, et je meurs...
Page 117 - Chez nos dévots aïeux le théâtre abhorré Fut longtemps dans la France un plaisir ignoré. De pèlerins , dit-on , une troupe grossière : En public à Paris y monta la première : Et , sottement zélée en sa simplicité , Joua les saints , la Vierge , et Dieu , par piété.
Page 110 - Vous remplissez un cœur qui vous peut recevoir : De vos sacrés attraits les âmes possédées Ne conçoivent plus rien qui les puisse émouvoir.
Page 134 - Ont acquis dans la scène un légitime bruit, Et de qui certes l'art comme l'estime est juste , Portent les noms fameux de Pompée et d'Auguste; Ces poèmes sans prix , où son illustre main D'un pinceau sans pareil a peint l'esprit romain, Rendront de leurs beautés votre oreille idolâtre, Et sont aujourd'hui l'âme et l'amour du théâtre.
Page 248 - Rocheposai, évêque de Poitiers, contre ceux qui disent qu'il n'est pas permis aux Ecclésiastiques d'avoir recours aux armes en cas de nécessité.
Page 111 - Monde, pour moi tu n'as plus rien : Je porte en un cœur tout chrétien Une flamme toute divine; Et je ne regarde Pauline Que comme un obstacle à mon bien.
Page 117 - Corneille, et je crois même qu'absolument la forme de vers lui est contraire. Ce livre, le plus beau qui soit parti de la main d'un homme...
Page 150 - Et nous ne recevons ni crainte ni désir De cette liberté qui n'a rien à choisir ? Attachés sans relâche à cet ordre sublime, Vertueux sans mérite et vicieux...