Principes pour la lecture des poetes, Volume 1 |
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Edme Mallet. Refle- » qui peuvent porter les hom- ique fumes aux pensées vertueuses , que les actions qui peuvent xion cri- tique la Poëfie & fur la Peinture fortifier les inclinations cor- Tom . I. Sect . 5 . २ ) 5 ) rompuës ; il ne s ...
Edme Mallet. Refle- » qui peuvent porter les hom- ique fumes aux pensées vertueuses , que les actions qui peuvent xion cri- tique la Poëfie & fur la Peinture fortifier les inclinations cor- Tom . I. Sect . 5 . २ ) 5 ) rompuës ; il ne s ...
Page 16
... pensées , la clarté des termes , & même le fonds des fentimens , & qu'enfin la rime qui déplait dans la Profe ne fçauroit flatter l'oreille dans la Poëfie . C'étoit en dire affez de mal ; il n'a cependant pas ofé pro- noncer qu'il ...
... pensées , la clarté des termes , & même le fonds des fentimens , & qu'enfin la rime qui déplait dans la Profe ne fçauroit flatter l'oreille dans la Poëfie . C'étoit en dire affez de mal ; il n'a cependant pas ofé pro- noncer qu'il ...
Page 21
... fens vont chercher Chant leur pensée . Ils croiroient s'abbaiffer dans leurs Vers monftrueux , S'ils penfoient ce qu'un autre a pû penfer comme eux . prem , Uniquement occupé du foin de leur plaire , il néglige DES POETES . 21.
... fens vont chercher Chant leur pensée . Ils croiroient s'abbaiffer dans leurs Vers monftrueux , S'ils penfoient ce qu'un autre a pû penfer comme eux . prem , Uniquement occupé du foin de leur plaire , il néglige DES POETES . 21.
Page 22
... lieu que l'affectation du bel efprit les fati- gue . Eh ! quelle contention ne faut - il pas pour fuivre un mifté- rieux tiffu de pensées , quelle pé- nétration pour en deviner le fens ? Je n'en veux 22 DE LA LECTURE.
... lieu que l'affectation du bel efprit les fati- gue . Eh ! quelle contention ne faut - il pas pour fuivre un mifté- rieux tiffu de pensées , quelle pé- nétration pour en deviner le fens ? Je n'en veux 22 DE LA LECTURE.
Page 27
... pensée . Ne fuffifoit - il pas à Théramene de dire en parlant du monftre en- voyé par Neptune . L'Onde approche , se brife & vomit à nos Ibid . yeux , Parmi des flots d'écume , un monftre fu- rieux , Sans ajouter cette longue de ...
... pensée . Ne fuffifoit - il pas à Théramene de dire en parlant du monftre en- voyé par Neptune . L'Onde approche , se brife & vomit à nos Ibid . yeux , Parmi des flots d'écume , un monftre fu- rieux , Sans ajouter cette longue de ...
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Common terms and phrases
affez aifé ainfi Art Poët auffi Auteur avoient avoit beautés befoin bon fens Bouts-rimés Burleſque c'eft c'eſt Cantate caractere caufe Chant chofes coeur confifte connoiffance défauts Defpréaux délicateffe Dieux difcours doit efpeces efprit embraffe Epique eſt étoient étoit exem expreffions fage fageffe faifir fans fçait fçauroit fecond femble fenfé fens fent fentimens feroit feul fiécle fillabes fimple fimplicité fions fociété foient foin foit folides fous fouvent ftances ftile ftyle fublime fuccès fuffit fuiv fujet génie genre goût graces ibid Incipe jufte l'amour l'art l'efprit l'Ode laiffe Lecteurs Lirique lumieres Madame Dacier mafculine Malherbe Marot matiere mefure ment moeurs monieux Mothe n'eft n'eſt néceffaire néceffité nobleffe ouvrages paffé paffions penfées penſées perfonnes Philofophie Pindare plaifir Poë Poëfie Poëme Poëtique poffedé prefque propofe qu'un raifon refte Religion réuffi rimes Rondeau Rouffeau s'eft Sappho Satire Segrais ſtyle tems tion ufage Voltaire
Popular passages
Page 78 - L'expression la suit ou moins nette, ou plus pure. Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement , Et les mots pour le dire arrivent aisément.
Page 238 - Sa voix redoutable Trouble les enfers; Un bruit formidable Gronde dans les airs ; Un voile effroyable Couvre l'univers; La terre tremblante Frémit de terreur; L'onde turbulente Mugit de fureur ; La lune sanglante Recule d'horreur.
Page 178 - Apollon à portes ouvertes Laisse indifféremment cueillir Les belles feuilles toujours vertes Qui gardent les noms de vieillir ; Mais l'art d'en faire des couronnes N'est pas su de toutes personnes , Et trois ou quatre seulement, Au nombre desquels on me range, Peuvent donner une louange Qui demeure éternellement.