Principes pour la lecture des poetes, Volume 1 |
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Page xix
... fortes , d'eftomacs : tandis que pris en nature , ils font triturés fans peine par un eftomach robufte ; il faut les mélanger , les tempérer , les broyer d'avance par le moyen de l'affaifonnement pour les proportionner à la foibleffe d ...
... fortes , d'eftomacs : tandis que pris en nature , ils font triturés fans peine par un eftomach robufte ; il faut les mélanger , les tempérer , les broyer d'avance par le moyen de l'affaifonnement pour les proportionner à la foibleffe d ...
Page xxxii
... forte qu'à proprement parler , ce n'est point moi qui inftruirai mes Le- & teurs , mais Defpréaux , & fes amis , fes contemporains , fes éleves . C'est le P. Rapin , Ra- cine Corneille , Moliere , 2 Rouffeau , qui prendront le ton ...
... forte qu'à proprement parler , ce n'est point moi qui inftruirai mes Le- & teurs , mais Defpréaux , & fes amis , fes contemporains , fes éleves . C'est le P. Rapin , Ra- cine Corneille , Moliere , 2 Rouffeau , qui prendront le ton ...
Page 12
... fortes de Rimes , Rimes Normandes , parce qu'en Normandie on prononce Mé & En- fé au lieu de Mer & Enfer on en trou- ve plufieurs dans le grandCorneille . La Rime fe divife en Mafculine & Féminine . La Rime Masculine eft celle qui fe ...
... fortes de Rimes , Rimes Normandes , parce qu'en Normandie on prononce Mé & En- fé au lieu de Mer & Enfer on en trou- ve plufieurs dans le grandCorneille . La Rime fe divife en Mafculine & Féminine . La Rime Masculine eft celle qui fe ...
Page 20
... forte ? Où me cacher ? fuyons dans l'infernale nuit , Mais , que dis - je , mon Pere y tient l'urne fatale . Le fort , dit - on , l'a mife en fes févéres mains . Minos juge aux Enfers tous les pâles mor tels . Qu'euffent été que des ...
... forte ? Où me cacher ? fuyons dans l'infernale nuit , Mais , que dis - je , mon Pere y tient l'urne fatale . Le fort , dit - on , l'a mife en fes févéres mains . Minos juge aux Enfers tous les pâles mor tels . Qu'euffent été que des ...
Page 21
Edme Mallet. de la forte ? cependant M. de la Mothe avoit compofé une Tragé die d'Oedipe en Profe qu'il comp- toit faire représenter s'il met Oedipe en Profe , dit à ce fujet M. de Voltaire , je mettrai Inés ,, en Vers , " l'on fçait ...
Edme Mallet. de la forte ? cependant M. de la Mothe avoit compofé une Tragé die d'Oedipe en Profe qu'il comp- toit faire représenter s'il met Oedipe en Profe , dit à ce fujet M. de Voltaire , je mettrai Inés ,, en Vers , " l'on fçait ...
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Common terms and phrases
affez aifé ainfi Art Poët auffi Auteur avoient avoit beautés befoin bon fens Bouts-rimés Burleſque c'eft c'eſt Cantate caractere caufe Chant chofes coeur confifte connoiffance défauts Defpréaux délicateffe Dieux difcours doit efpeces efprit embraffe Epique eſt étoient étoit exem expreffions fage fageffe faifir fans fçait fçauroit fecond femble fenfé fens fent fentimens feroit feul fiécle fillabes fimple fimplicité fions fociété foient foin foit folides fous fouvent ftances ftile ftyle fublime fuccès fuffit fuiv fujet génie genre goût graces ibid Incipe jufte l'amour l'art l'efprit l'Ode laiffe Lecteurs Lirique lumieres Madame Dacier mafculine Malherbe Marot matiere mefure ment moeurs monieux Mothe n'eft n'eſt néceffaire néceffité nobleffe ouvrages paffé paffions penfées penſées perfonnes Philofophie Pindare plaifir Poë Poëfie Poëme Poëtique poffedé prefque propofe qu'un raifon refte Religion réuffi rimes Rondeau Rouffeau s'eft Sappho Satire Segrais ſtyle tems tion ufage Voltaire
Popular passages
Page 78 - L'expression la suit ou moins nette, ou plus pure. Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement , Et les mots pour le dire arrivent aisément.
Page 238 - Sa voix redoutable Trouble les enfers; Un bruit formidable Gronde dans les airs ; Un voile effroyable Couvre l'univers; La terre tremblante Frémit de terreur; L'onde turbulente Mugit de fureur ; La lune sanglante Recule d'horreur.
Page 178 - Apollon à portes ouvertes Laisse indifféremment cueillir Les belles feuilles toujours vertes Qui gardent les noms de vieillir ; Mais l'art d'en faire des couronnes N'est pas su de toutes personnes , Et trois ou quatre seulement, Au nombre desquels on me range, Peuvent donner une louange Qui demeure éternellement.