Oeuvres: Pamphlets et lettres politiques avec notice et notes |
From inside the book
Results 1-5 of 33
Page 29
... tion , le firent appeler . Sa réponse fut simple : 11 n'avait pas le temps . M. le maire n'a pas le temps . Voilà ce qu'il leur fit dire par son garde champêtre , qui est l'homme du maire , comme le maire est l'homme du préfet . Quelle ...
... tion , le firent appeler . Sa réponse fut simple : 11 n'avait pas le temps . M. le maire n'a pas le temps . Voilà ce qu'il leur fit dire par son garde champêtre , qui est l'homme du maire , comme le maire est l'homme du préfet . Quelle ...
Page 59
... si l'on ne veut dire en- core et d'impudicité . Parmi les causes d'accroissement de la popula- tion , il ne faut pas compter pour peu le repos de Napoléon . Depuis que ce grand homme est là où AU RÉDACTEUR DU CENSEUR . 59.
... si l'on ne veut dire en- core et d'impudicité . Parmi les causes d'accroissement de la popula- tion , il ne faut pas compter pour peu le repos de Napoléon . Depuis que ce grand homme est là où AU RÉDACTEUR DU CENSEUR . 59.
Page 75
... tion ; le vilain peut prétendre à vivre et s'enrichir comme le gentilhomme sans industrie , talens , mœurs ni probité , dont la noblesse enrage , et sur cela réclame ses antiques priviléges . Tout le monde cependant use du droit acquis ...
... tion ; le vilain peut prétendre à vivre et s'enrichir comme le gentilhomme sans industrie , talens , mœurs ni probité , dont la noblesse enrage , et sur cela réclame ses antiques priviléges . Tout le monde cependant use du droit acquis ...
Page 91
... tion de la liberté de la presse , j'aurais pris la parole ainsi : « Mylord Castelreagh , mêlez - vous de vos affaires ; pour Dieu , Herr Metternich , laissez - nous en repos ; et vous , mein lieber Hardemberg , songez à bien cuire vos ...
... tion de la liberté de la presse , j'aurais pris la parole ainsi : « Mylord Castelreagh , mêlez - vous de vos affaires ; pour Dieu , Herr Metternich , laissez - nous en repos ; et vous , mein lieber Hardemberg , songez à bien cuire vos ...
Page 105
... tion que j'adressai , en 1816 aux deux Chambres , en faveur de la commune de Luynes , et qui com- mence par ces mots : Je suis Tourangeau , j'habite Luynes . - « Vous voyez bien , me dirait - il , que quand vous parliez de la sorte pour ...
... tion que j'adressai , en 1816 aux deux Chambres , en faveur de la commune de Luynes , et qui com- mence par ces mots : Je suis Tourangeau , j'habite Luynes . - « Vous voyez bien , me dirait - il , que quand vous parliez de la sorte pour ...
Common terms and phrases
1er février accusation affaire Allusion Ambillou amis arpens arrondissement de Tours Beaune Bonaparte bonhomme Bourgeau brochure c'est-à-dire cent Chambord chose commune condamné coupe Cour courtisans curé d'autres d'Azai d'Indre-et-Loire danser Decazes députés Dieu dire discours dit-il duc de Bordeaux écrit édition enfans eût famille femme filles François Ier gendarmes gens Gouvernement guerre homme honnêtes j'ai j'en jamais jeune jour journal juges l'accusation l'auteur l'édition là-dessus laboureur Larçai lettres Louis Louis XVIII Luynes m'en maire de Véretz ment Messieurs mieux ministres mœurs monde Monsieur morale publique n'ai n'en Napoléon Ier noble noblesse outragé pamphlet Pamphlet des Pamphlets parler paroles passe PAUL-LOUIS COURIER payer pays paysan pense père Père Canaye personne peuple police préfet président prêtres prince prison procès procureur public raison rédacteur Révolution rien s'il sage Sainte-Pélagie sais serait seul sieurs soldats sorte terre tion Tours trouve Véretz veut vigneron vilains Voilà voté voulait vrai
Popular passages
Page 101 - Le changement de domicile s'opérera par le fait d'une habitation réelle dans un autre lieu, joint à l'intention d'y fixer son principal établissement.
Page 263 - certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides, et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible ; ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine; et en effet ils sont des hommes.
Page 215 - L'ambition dans l'oisiveté, la bassesse dans l'orgueil, le désir de s'enrichir sans travail, l'aversion pour la vérité, la flatterie, la trahison, la perfidie, l'abandon de tous ses engagements, le mépris des devoirs du citoyen, la crainte de la vertu du prince, l'espérance de ses faiblesses, et, plus que tout cela, le ridicule perpétuel jeté sur la vertu, forment, je crois, le caractère du plus grand nombre des courtisans, marqué dans tous...
Page 98 - ... bien, qui déroute la tactique, empêche de faire la guerre par raison démonstrative, et suffit pour déconcerter les plans d'attaque et de défense le plus savamment combinés. Alors, si vous êtes sages, rappelezvous l'avis que je vais vous donner. Lorsque vous marcherez en Lorraine, en Alsace, n'approchez pas des haies, évitez les fossés, n'allez pas le long des vignes...
Page 37 - Toutes choses ont leurs progrès. Du temps de Montaigne, un vilain, son seigneur le voulant tuer, s'avisa de se défendre. Chacun en fut surpris, et le seigneur surtout , qui ne s'y attendait pas , et Montaigne qui le raconte. Ce manant devinait les droits de l'homme.
Page 155 - Là, tout le monde sert ou veut servir. L'un présente la serviette, l'autre le vase à boire. Chacun reçoit ou demande salaire, tend la main, se recommande, supplie. Mendier n'est pas honte à la Cour : c'est toute la vie du courtisan.
Page 51 - En effet, tout propriétaire veut l'ordre, la paix, la justice, hors qu'il ne soit fonctionnaire ou pense à le devenir. Faire propriétaire, sans dépouiller personne, l'homme qui n'est que mercenaire, donner la terre au laboureur, c'est le plus grand bien qui se puisse faire en France, depuis qu'il n'ya plus de serfs à affranchir. C'est ce que font ces gens.
Page 131 - C'est tout, si j'ai mémoire. Je vois ce qu'il veut dire; il entend que lui et moi sommes d'avis différent ; peut-être se trompe-t-il.
Page 216 - L'HISTOIRE DE LA PLUPART DE CEUX QUI Y VIVENT... «... Le peuple regarde comme un bon air de marcher sur vos traces; la ville croit se faire honneur en prenant lout le mauvais de la Cour; vos mœurs forment un poison qui gagne les peuples et les provinces, qui infecte tous les États, qui change les mœurs publiques, qui donne à la licence un air de noblesse et de bon goût, et qui substitue à la simplicité de nos pères et à l'innocence des mœurs anciennes la nouveauté de vos plaisirs, de...