La création et la providence devant la science moderne |
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... différence qui séparait leur théorie de celle de l'unité absolue de la divinité finissait par devenir insaisissable . Voilà donc un premier verdict de la science ; et elle le complète immédiatement par un autre , en déclarant que « la ...
... différence qui séparait leur théorie de celle de l'unité absolue de la divinité finissait par devenir insaisissable . Voilà donc un premier verdict de la science ; et elle le complète immédiatement par un autre , en déclarant que « la ...
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... différence qui est tout à l'avantage de ce dernier sentiment : c'est que le plai- sir résulte du jeu normal du mécanisme , tandis que la peine provient plutôt de quelque intervention extérieure et , par con- séquent , accidentelle , qui ...
... différence qui est tout à l'avantage de ce dernier sentiment : c'est que le plai- sir résulte du jeu normal du mécanisme , tandis que la peine provient plutôt de quelque intervention extérieure et , par con- séquent , accidentelle , qui ...
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... différence entre la religion des races sauvages et celle des peuples civilisés . Pour nous , Dieu est bon ; pour eux , il est mauvais . Nous nous soumettons à sa volonté ; ils essaient de lui imposer la leur . Nous sentons la nécessité ...
... différence entre la religion des races sauvages et celle des peuples civilisés . Pour nous , Dieu est bon ; pour eux , il est mauvais . Nous nous soumettons à sa volonté ; ils essaient de lui imposer la leur . Nous sentons la nécessité ...
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... différent , et plus émouvant pour le philosophe que pour le croyant ! Celui - ci admire , aime son Dieu , soupire et sanglote avec lui , sans trop réfléchir que le Dieu prête à l'homme une force infinie , qui doit se jouer des obstacles ...
... différent , et plus émouvant pour le philosophe que pour le croyant ! Celui - ci admire , aime son Dieu , soupire et sanglote avec lui , sans trop réfléchir que le Dieu prête à l'homme une force infinie , qui doit se jouer des obstacles ...
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... Différence entre ces deux critiques . L'une met simplement en doute la valeur objective des idées et des principes de la raison ; l'autre nie positivement cette valeur , en expliquant leur genèse et en les consi- dérant comme des ...
... Différence entre ces deux critiques . L'une met simplement en doute la valeur objective des idées et des principes de la raison ; l'autre nie positivement cette valeur , en expliquant leur genèse et en les consi- dérant comme des ...
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Common terms and phrases
absolue action animaux associationnistes attributs bonté Bossuet c'est-à-dire cause causes finales choses conception concevoir conscience considérée constitue contraire création crée Cuvier d'abord d'après d'autres termes Darwin degrés Descartes déterminée développement dire divine doctrine effet éléments elle-même Émile Saisset espèces essentiellement facultés finalité force forme Hartmann Hegel hommes humaine idéale idée inconsciente infinie Kant l'absolu l'action l'âme l'esprit l'essence l'être l'évolution l'existence de Dieu l'histoire l'homme l'humanité l'idéal l'idée de Dieu l'infini l'Origine des espèces l'univers Leibniz logique loppement lui-même manière manifestation matière Max Müller ment métaphysique monde moral mouvement nature naturelle nécessaire objet organes panthéisme pensée perfection philosophie physique Platon possible premier présente preuve principe progrès propre Providence providentielle psychologie puissance purement qu'une raison réalité religion représentation Schelling science sélection naturelle sélection sexuelle sens sentiment religieux serait seulement simple sorte spontanée Stuart Mill substance supérieure surtout système théisme théodicée théologie théorie tion Vacherot vérité Victor Cousin volonté vrai
Popular passages
Page 246 - De tous les corps ensemble, on ne saurait en faire réussir une petite pensée : cela est impossible, et d'un autre ordre. De tous les corps et esprits, on n'en saurait tirer un mouvement de vraie charité : cela est impossible, d'un autre ordre, surnaturel.
Page 134 - Mais il est certain , et c'est une opinion communément reçue entre les théologiens, que l'action par laquelle maintenant il le conserve est toute la même que celle par laquelle il l'a créé : de façon qu'encore qu'il ne lui aurait point donné au commencement d'autre forme que celle du chaos, pourvu qu'ayant établi les lois de la nature il lui prêtât son concours pour agir ainsi qu'elle a de coutume, on peut croire, sans faire tort au miracle de la création, que par cela seul toutes les...
Page 327 - Pour ce qui est des autres qualités dont les idées des choses corporelles sont composées, à savoir l'étendue, la figure, la situation et le mouvement, il est vrai qu'elles ne sont point formellement en moi, puisque je ne suis qu'une chose qui pense; mais parce que ce sont là seulement certains modes de la substance, et que je suis moi-même une substance, il semble qu'elles puissent être contenues en moi éminemment.
Page 326 - Car lorsque je pense que la pierre est une substance, ou bien une chose qui de soi est capable d'exister, et que je suis moi-même une substance; quoique je conçoive bien que je suis une chose qui pense, et non étendue, et que la pierre au contraire est une chose étendue et qui ne pense point, et qu'ainsi entre ces deux conceptions il se rencontre une notable...
Page 245 - La distance infinie des corps aux esprits figure la distance infiniment plus infinie des esprits à la charité, car elle est surnaturelle. Tout l'éclat des grandeurs n'a point de lustre pour les gens qui sont dans les recherches de l'esprit. La grandeur des gens d'esprit est invisible aux rois, aux riches, aux capitaines, à tous ces grands de chair.
Page 242 - Un potier n'at-il pas le pouvoir de faire d'une même masse de terre, un vaisseau pour des usages honorables, et un...
Page 246 - Tous les corps, le firmament, les étoiles, la terre et ses royaumes, ne valent pas le moindre des esprits; car il connaît tout cela, et soi; et les corps, rien. Tous les corps ensemble, et tous les esprits ensemble, et toutes leurs productions, ne valent pas le moindre mouvement de charité; cela est d'un ordre infiniment plus élevé.
Page 327 - ... toutes deux des substances. De même , quand je pense que je suis maintenant, et que je me ressouviens outre cela d'avoir été autrefois , et que je conçois plusieurs diverses pensées dont je connais le nombre , alors j'acquiers en moi les idées de la durée et du nombre, lesquelles, par après, je puis transférer à toutes les autres choses que je voudrai.
Page 306 - Dieu. Toutes choses ont été faites par lui, et rien de ce qui a été fait n'a été fait sans lui.
Page 327 - ... moi-même une substance; quoique je conçoive bien que je suis une chose qui pense et non étendue , et que la pierre au contraire est une chose étendue et qui ne pense point , et qu'ainsi entre ces deux conceptions il se rencontre une noble différence, toutefois elles semblent convenir en ce point qu'elles représentent toutes deux des substances.