Seventeenth century French readingsAlbert Schinz, Helen Maxwell King |
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... main lui détache une chaîne , Et lui met un cordeau ; Il n'a goutte de sang qui ne soit lors glacée . Son âme est dans les fers , L'image du gibet lui monte à la pensée , Et l'effroi des enfers . L'imagination de cet objet funeste Lui ...
... main lui détache une chaîne , Et lui met un cordeau ; Il n'a goutte de sang qui ne soit lors glacée . Son âme est dans les fers , L'image du gibet lui monte à la pensée , Et l'effroi des enfers . L'imagination de cet objet funeste Lui ...
Page 19
... main le soc ou la faucille , Le labeur de mes bras nourrissait ma famille ; Et lorsque le soleil en achevant son tour Finissait mon travail en finissant le jour , Je trouvais mon foyer couronné de ma race ; A peine bien souvent y ...
... main le soc ou la faucille , Le labeur de mes bras nourrissait ma famille ; Et lorsque le soleil en achevant son tour Finissait mon travail en finissant le jour , Je trouvais mon foyer couronné de ma race ; A peine bien souvent y ...
Page 47
... main droite une rose et dans sa main gauche la « guirlande » dont il souffle légèrement les fleurs sur la terre . Ce premier ma- drigal ( 8 ° feuillet ) interprète ce dessin . Il est du Marquis de Mon- tausier , qui en a fait seize en ...
... main droite une rose et dans sa main gauche la « guirlande » dont il souffle légèrement les fleurs sur la terre . Ce premier ma- drigal ( 8 ° feuillet ) interprète ce dessin . Il est du Marquis de Mon- tausier , qui en a fait seize en ...
Page 55
... main des hommes . Et disons hardi- ment à la gloire de notre Jésus - Christ et à la honte de leur Dioclétien : « Les tyrans passent , mais la vérité de- meure . » 3. La retraite de Balzac dans l'Angoumois ( lettre à BALZAC 55.
... main des hommes . Et disons hardi- ment à la gloire de notre Jésus - Christ et à la honte de leur Dioclétien : « Les tyrans passent , mais la vérité de- meure . » 3. La retraite de Balzac dans l'Angoumois ( lettre à BALZAC 55.
Page 63
... main en se jouant . C'est , sans mentir , la plus jolie bête du monde . Il n'y a personne en mon logis qui ne porte de ses marques . Mais , quelque aimable qu'il soit de sa per- sonne , ce sera toujours en votre considération que j'en ...
... main en se jouant . C'est , sans mentir , la plus jolie bête du monde . Il n'y a personne en mon logis qui ne porte de ses marques . Mais , quelque aimable qu'il soit de sa per- sonne , ce sera toujours en votre considération que j'en ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 329 - et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible; ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine; et en effet ils sont
Page 329 - des hommes. Ils se retirent la nuit dans des tanières, où ils vivent de pain noir,* d'eau et de racines; ils épargnent aux autres hommes la peine de semer, de labourer et de recueillir pour vivre, et méritent ainsi de ne pas manquer de ce pain qu'ils ont semé.
Page 85 - L'expression la suit, ou moins nette, ou plus pure; Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement, Et les mots pour le dire arrivent aisément. Surtout qu'en vos écrits la langue révérée Dans vos plus grands excès vous soit toujours sacrée.
Page 85 - fois sur le métier remettez votre ouvrage; Polissez-le sans cesse et le repolissez; Ajoutez quelquefois, et souvent effacez. Que d'un art délicat les pièces assorties N'y forment qu'un seul tout de diverses parties; Que jamais du sujet le discours s'écartant N'aille chercher trop loin quelque mot éclatant.
Page 228 - qu'on a plus d'esprit, on 15 trouve qu'il ya plus d'hommes originaux. Les gens du commun ne trouvent pas de différence entre les hommes. 13. L'homme n'est ni ange ni bête, et le malheur veut que qui veut faire l'ange fait la bête. Art. VIII.
Page 182 - seulement cessé de penser, encore que tout le reste de ce que j'avais imaginé eût été vrai, je n'avais aucune raison de croire que j'eusse été, je connus de là que j'étais une substance dont toute l'essence ou la nature n'est que de penser, et qui pour être n'a besoin d'aucun lieu ni ne
Page 167 - l'étude des lettres; et me résolvant de ne chercher plus d'autre science que celle qui se pourrait trouver en moimême, ou bien dans le grand livre du monde, j'employai le reste de ma jeunesse à voyager, à voir des cours et des armées, à fréquenter des gens de diverses humeurs et con- 25
Page 144 - Se sacrifie aux traits du céleste courroux; Peut-être il obtiendra la guérison commune. L'histoire nous apprend qu'en de tels accidents On fait de pareils dévouements. Ne nous flattons donc point ; voyons sans indulgence L'état de notre conscience. Pour moi, satisfaisant mes appétits gloutons J'ai dévoré force moutons. Que m'avaient-ils fait? nulle offense;
Page 133 - met bas son fagot, il songe à son malheur. 20 Quel plaisir at-il eu depuis qu'il est au monde? En est-il un plus pauvre en la machine ronde? Point de pain quelquefois, et jamais de repos: Sa femme, ses enfants, les soldats, 1 les impôts, Le créancier, et la corvée,
Page 129 - Sans mentir, si votre ramage 10 Se rapporte à votre plumage, Vous êtes le phénix des hôtes de ces bois.» A ces mots le corbeau ne se sent pas de joie; Et pour montrer sa belle voix, II ouvre un large bec, laisse tomber sa proie.