Mémoires touchant la vie et les Ecrita de la Marquise de Sévigné, Volume 4 |
From inside the book
Results 1-5 of 39
Page 7
M . ( mercredi 21 octobre 1671 ) , t . II , p . 266 , édit . G . ; t . II , p . 225 , edit . M . ?
Ibid . , t . II , p . 267 , édit . G . ; t . II , p . 226 ; t . II , p . 203 , édit . de la Haye , 1726 ,
in - 12 . Cette lettre est du mercredi 4 novembre , dans cette édition ; elle a été ...
M . ( mercredi 21 octobre 1671 ) , t . II , p . 266 , édit . G . ; t . II , p . 225 , edit . M . ?
Ibid . , t . II , p . 267 , édit . G . ; t . II , p . 226 ; t . II , p . 203 , édit . de la Haye , 1726 ,
in - 12 . Cette lettre est du mercredi 4 novembre , dans cette édition ; elle a été ...
Page 9
M . 2 SÉVIGNÉ , Lettres ( 18 mai 1671 ) , t . II , p . 78 , édit . G . ; t . II , p . 66 , édit .
M . froid rigoureux a chassé d ' auprès d ' elle. 3 . SÉVIGNÉ , Lettres ( 31 mai
1671 ) , édit . G . ; t . II , p . 86 , édit . M . 4 SÉVIGNÉ , Lettres ( 28 octobre 1671 ) , t
.
M . 2 SÉVIGNÉ , Lettres ( 18 mai 1671 ) , t . II , p . 78 , édit . G . ; t . II , p . 66 , édit .
M . froid rigoureux a chassé d ' auprès d ' elle. 3 . SÉVIGNÉ , Lettres ( 31 mai
1671 ) , édit . G . ; t . II , p . 86 , édit . M . 4 SÉVIGNÉ , Lettres ( 28 octobre 1671 ) , t
.
Page 13
G . – 118 octobre 1671 ) , t . II , p . 260 , édit . G . , et t . II , p . 220 , édit . M .
SÉVIGNÉ , Lettres ( 12 et 19 août 1671 ) , t . II , p . 185 , édhit . G . ; t . II , p . 154 ,
édit . M . - ( 6 octobre 1675 ) , t . IV , p . 130 , 133 , édit . G . ; t . IV , p . 19 , 22 , édit
.
G . – 118 octobre 1671 ) , t . II , p . 260 , édit . G . , et t . II , p . 220 , édit . M .
SÉVIGNÉ , Lettres ( 12 et 19 août 1671 ) , t . II , p . 185 , édhit . G . ; t . II , p . 154 ,
édit . M . - ( 6 octobre 1675 ) , t . IV , p . 130 , 133 , édit . G . ; t . IV , p . 19 , 22 , édit
.
Page 19
... se concilier l ' affection des Provençaux , ce n ' est pas que cette dernière fit
moins pour ceuxci que sa mère pour les Bretons : au contraire , madame de
Grignan et son mari agissaient grandement , et faiSéviCNÉ , Lettres ( 11 octobre
1671 ) ...
... se concilier l ' affection des Provençaux , ce n ' est pas que cette dernière fit
moins pour ceuxci que sa mère pour les Bretons : au contraire , madame de
Grignan et son mari agissaient grandement , et faiSéviCNÉ , Lettres ( 11 octobre
1671 ) ...
Page 25
... comme Pascal , il s ' est épuisé . Vous n ' avez pas trop affaire de ce détail ;
mais c ' est la nouvelle du pays , et puis il me semble que la mort est l ' affaire de
tout le monde 2 . » t . II , p . 184 et 185 , édit . M . - ( 4 octobre 1671 ) , t . II , p .
... comme Pascal , il s ' est épuisé . Vous n ' avez pas trop affaire de ce détail ;
mais c ' est la nouvelle du pays , et puis il me semble que la mort est l ' affaire de
tout le monde 2 . » t . II , p . 184 et 185 , édit . M . - ( 4 octobre 1671 ) , t . II , p .
What people are saying - Write a review
We haven't found any reviews in the usual places.
Other editions - View all
Common terms and phrases
affaires aimait amis amour année août assez avaient avant avril beau belle Bossuet Bussy c'était cause château comte comtesse Conférez cour d'autres d'elle d'être dame date décembre demande dernier devait dire donner duchesse écrit écrivait édit esprit états états de Bretagne faisait famille Fayette femme février fille fils frère général gouverneur guerre Histoire homme Ibid janvier jeune jouer jours juillet juin l'abbé l'assemblée l'avait Lettres lieu ligne livres Louis XIV Louvois madame de Coulanges madame de Grignan madame de Sévigné mademoiselle maison marquis mars Marseille Mémoires mère Molière monde mort n'avait n'était nombre nommé nouvelles novembre octobre Page parlement passer passion pays pendant père personnes pièce place plaisir porte pouvait première prince Provence quitter Recueil rendit rendre reste rien Rochers s'était SAINT-SIMON savait sentiments septembre serait seul Sidonia société sorte souvent suite suivant traité trouve Villeroi voyage Voyez
Popular passages
Page 316 - ... de façon que cette indifférence que je sens lorsque je ne suis point emporté vers un côté plutôt que vers un autre par le poids d'aucune raison , est le plus bas degré de la liberté, et fait plutôt paraître un défaut dans la connaissance...
Page 129 - Dieu ? qu'aurai-je à lui présenter? la crainte, la nécessité ferontelles mon retour vers lui ? n'aurai-je aucun autre sentiment que celui de la peur? que puis-je espérer? suis-je digne du paradis? suis-je digne de l'enfer? Quelle alternative !-quel embarras! Rien n'est si fou que de mettre son salut dans l'incertitude ; mais rien n'est si naturel, et la sotte vie que je mène est la chose du monde la plus aisée à comprendre...
Page 129 - Vous me demandez, ma chère enfant, si j'aime toujours bien la vie : je vous avoue que j'y trouve des chagrins cuisants; mais je suis encore plus dégoûtée de la mort : je me trouve si malheureuse d'avoir à finir tout ceci par elle, que si je pouvois retourner en arrière, je ne demanderois pas mieux.
Page 31 - Coëtlogon dansèrent avec deux Bretonnes des passe-pieds merveilleux , et des menuets, d'un air que les courtisans n'ont pas à beaucoup près : ils y font des pas de Bohémiens et de bas Bretons avec une délicatesse et une justesse qui charment.
Page 371 - Le succès de ses études fut tel qu'on pouvait l'attendre d'un génie aussi heureux que le sien. S'il fut fort bon humaniste , il devint encore plus grand philosophe.
Page 198 - ... j'en suis honteuse ; je ne sais ce qu'on a à me tant estimer. Je voulois partir demain; madame de Coulanges a voulu encore un jour , et met à ce prix son voyage de Grignan ; j'ai cru vous faire plaisir de conclure...
Page 130 - Rien n'est si fou que de mettre son salut dans l'incertitude ; mais rien n'est si naturel, et la sotte vie que je mène est la chose du monde la plus aisée à comprendre. Je m'abîme dans ces pensées, et je trouve la mort si terrible, que je hais plus la vie parce qu'elle m'y mène, que par les épines qui s'y rencontrent.
Page 191 - ... souhaiter. Notre Mousse prend courage; nous voyageons un peu gravement; M. de Coulanges nous eût été bon pour nous réjouir. Nous n'avons point trouvé de lecture qui...
Page 261 - Saint-Hérem, etc.; des aventuriers, des épées, des chapeaux du bel air, une idée de guerre, de roman, d'embarquement, d'aventures, de chaînes, de fers, d'esclaves, de servitude, de captivité; moi, qui aime les romans, je suis transportée.
Page 314 - Scarron, mille personnes, et je ne lui vois plus aucune espérance de quoi que ce puisse être ; on donne des pensions aux beaux esprits ; c'est un fonds abandonné à cela ; il en mérite mieux que tous ceux qui en ont; point de. nouvelles, on ne peut rien obtenir pour lui. Je dois voir demain madame de Vill — ; c'est une certaine ridicule à qui M.